Si vous souhaitez accéder à ce lien, cliquez sur Continuer.
ALGER - Le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Ouacim Kouidri, a annoncé, lundi, qu'il sera procédé prochainement à la pose de la première pierre pour la réalisation d'un projet d'unité de thérapie cellulaire pour la prise en charge des patients atteints de maladies complexes, telles que les cancers et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).
Intervenant sur les ondes de la Radio algérienne, M. Kouidri a précisé que ce projet, qui sera réalisé par le Groupe Saidal en partenariat avec l'Institut suédois Karolinska, introduira en Algérie cette technologie thérapeutique moderne ayant apparu dans le monde il y a 18 ans.
Parallèlement à la réalisation de ce projet, un cadre juridique sera adapté pour inclure ce nouveau type de traitement innovant, permettant de soigner entre 86 et 90 maladies complexes, dont la moitié sont des cancers, y compris les leucémies, a-t-il expliqué.
Ce projet permettra également à Saidal de devenir "un leader continental dans ce domaine", a affirmé le ministre... - Lire cet article
Henriette Poaty, directrice scientifique à l’Institut national de recherche en sciences de la santé (IRSSA), et le Dr Blondy Mboungou-Bouesse, spécialiste en pharmacologie, pointent dans un rapport les « déconvenues » et les « conséquences » des vendeurs à la sauvette qui exposent la population à des risques sanitaires et interfèrent sur la profession légale des pharmaciens.
Le rapport de l’IRSSA a estimé que sur le plan scientifique, ces produits peuvent induire des maladies iatrogènes (des pathologies causées par la prise de ces médicaments) ; parfois ce sont des simples placebos ou des molécules non complètes qui peuvent poser des problèmes de résistance médicamenteuse.
Selon le rapport, les conditions de conservation sont douteuses et les notices spécifiant les effets secondaires ne sont pas toujours lues par les acheteurs ; la prescription des doses est effectuée par un non professionnel ; des associations inexpliquées des médicaments sont parfois effectuées par des acheteurs eux-mêmes ou recommandées par le vendeur. Exemple : le Tramadol (une drogue ?) est souvent associé à l’Ibucap (anti-inflammatoire)... - Lire cet article
Après des années d’avancée, la vaccination reflue dans les pays pauvres sous l’effet des conflits, du changement climatique et, aujourd’hui, des coupes américaines dans l’aide humanitaire. Quatre chercheuses appellent, dans une tribune au « Monde », à remédier à la totale dépendance du continent africain à l’égard des producteurs étrangers de vaccins.
La vaccination est l’une des interventions de santé publique les plus efficaces et les plus rentables au monde. Pourtant, de nombreuses maladies « évitables » (c’est-à-dire pour lesquelles un vaccin ou un traitement existent) progressent aujourd’hui, sous l’effet du changement climatique, des conflits et des déplacements de populations, et mettent en péril des années d’avancées réalisées en matière de santé mondiale.
Ainsi, en 2023, 11 millions d’enfants n’avaient toujours pas reçu leur premier vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, dans les 57 pays pauvres soutenus par l’Alliance du vaccin, soit 18 % de plus qu’en 2019. Dans ce contexte, l’annonce de coupes potentielles dans le financement américain de l’organisation, qui approvisionne la majorité des pays africains, suscite de vives préoccupations : plus d’un million de décès supplémentaires dus à des maladies évitables pourraient être enregistrés, dont une grande partie surviendrait en Afrique... - Lire cet article
Garantir l’accessibilité des traitements vitaux à tous en Afrique, quel que soit le statut économique. Tel est le vœu des pays africains où le problème d’accès aux médicaments se pose avec acuité. Le Conseiller technique système pharmaceutique et produits de santé à l’Oms à Dakar informe que, selon l’Onu, «environ 2 milliards de personnes dans le monde n’ont pas accès aux médicaments essentiels».
Et D’après Dr Njambong Guy, l’Oms a constaté qu’en «Afrique, et particulièrement en Afrique subsaharienne, 50% de la population sont concernés par ce manque d’accès». Pour le Conseiller technique système pharmaceutique et produits de santé de l’Oms à Dakar, il urge d’unir les forces pour pallier ce problème. «Ces chiffres alarmants soulignent l’urgence et la nécessité d’agir ensemble pour améliorer la situation», a-t-il dit.
C’est d’ailleurs dans ce cadre que le Réseau d’information sur les prix et le remboursement des produits pharmaceutiques en Afrique (Ppri) tient, depuis hier, un atelier qui a réuni les délégations de l’Afrique du Sud, de l’Algérie, de la Côte d’Ivoire, de l’Egypte, de la Gambie, de la Guinée, du Kenya, du Maroc, du Niger, du Rwanda, de la Tunisie et du Sénégal, en collaboration avec la fondation belge Enabel et la République d’Autriche... - Lire cet article
L’initiative de l’Équipe Europe sur la fabrication et l’accès aux vaccins, aux médicaments et aux technologies de la santé («MAV+») travaille avec des partenaires africains pour renforcer leurs systèmes pharmaceutiques locaux et leurs capacités de fabrication.
MAV+ propose une approche complète à 360 degrés pour s'attaquer aux obstacles tant du côté de l'offre que de la demande. Il crée un environnement favorable à la fabrication locale durable en Afrique à travers 3 dimensions: du côté de l’offre, du côté de la demande et de l’environnement favorable.
L’objectif général de l’initiative TEI est de faciliter l’accès à des produits de santé de qualité, sûrs, efficaces et abordables, comme indiqué dans la cible 3.8 de l’objectif de développement durable des Nations unies. Soutenir l’accès aux produits et technologies de santé essentiels est l’occasion de cibler plusieurs objectifs de développement et priorités géopolitiques communs à l’UE et à l’Union africaine. Elle peut stimuler la croissance et des emplois décents, faciliter les échanges commerciaux, diversifier les chaînes de valeur mondiales, créer un engagement du secteur privé et renforcer nos liens sanitaires, scientifiques et diplomatiques avec les pays partenaires, tout en faisant progresser la couverture sanitaire universelle et les objectifs de développement humain et de santé publique... - Lire cet article
La 11e édition du Salon « Maghreb Pharma Expo » s’illustre cette année par un engagement marqué des parties prenantes du secteur pharmaceutique en faveur de l’augmentation du taux d’intégration nationale dans la fabrication de médicaments et de dispositifs médicaux.
Lors de l’ouverture du salon, le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Wassim Kouidri, a réaffirmé le soutien de son département aux opérateurs économiques souhaitant investir dans la production locale, que ce soit dans les médicaments ou les dispositifs médicaux, soulignant que cette orientation est désormais une priorité du secteur.
Le ministre a aussi assuré que toutes les facilités nécessaires sont mises en place pour encourager l’implantation de projets en Algérie.
Le directeur de la société organisatrice de l’événement, Olivier Hichem-Allard, a pour sa part indiqué que cette nouvelle édition vise à accélérer la production locale en substitution aux importations, en réunissant l’ensemble des fournisseurs essentiels au développement d’un médicament, des machines aux composants en passant par les solutions technologiques... - Lire cet article
Dakar, 22 avr (APS) – Le réseau africain d’information sur la tarification et le remboursement des produits pharmaceutiques (PPRI) lancé mardi à Dakar permettra de garantir un meilleur accès aux médicaments en Afrique, a déclaré le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Ibrahima Sy.
”Avec un tel réseau, nos pays pourront travailler ensemble, de manière harmonisée sur les prix et le remboursement des produits pharmaceutiques, échanger nos expériences et bonnes pratiques, comparer les instruments qui sont utilisés, en tenant compte des spécificités de chaque zone”, a notamment dit Ibrahima Sy lors de la réunion inaugurale du réseau d’informations sur les prix et le remboursement des produits pharmaceutiques en Afrique (PPRI Africa).
De plus, a-t-il ajouté, ”le réseau d’informations constituera un cadre approprié pour renforcer la sensibilisation des patients sur les prix et mieux maitriser l’impact des prix pharmaceutiques sur les budgets des structures publiques et privées ainsi que ceux des ménages qui, nous le savons, disposent d’un pouvoir d’achat souvent très limité’’... - Lire cet article
Le pharmacien de ville joue un rôle important dans la chaîne de traitement et la promotion des activités du système de santé», c’est ce qu’a affirmé le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Wassim Kouidri, lors de son intervention à la 18e conférence nationale de pharmacie, organisée par le Syndicat national des pharmaciens d’officine.
Autour du thème «La pharmacie entre le cadre juridique et les défis économiques», cette journée fut consacrée au pharmacien de ville. D’ailleurs, le slogan choisi cette année était «Pharmacie de ville : un cadre à moderniser, un avenir à préserver».
A ce sujet, M. Kouidri a souligné que cette conférence est une opportunité de consultation sérieuse et un espace de discussion constructive. «Elle permet non seulement de soulever les préoccupations des uns et des autres, mais est aussi l’occasion de soumettre des propositions qui feraient avancer le secteur vers un horizon plus large, et trouver des solutions appropriées à tous les problèmes soulevés concernant la profession de pharmacien»... - Lire cet article
Afef Hammami, présidente de l’Association tunisienne de lutte contre la maladie d’Alzheimer, a annoncé ce mardi 22 avril que le médicament Leqembi, un traitement révolutionnaire permettant de freiner l’évolution de la maladie d’Alzheimer de 27%, a récemment obtenu, il y a 10 jours, l’autorisation de mise sur le marché européen par l’Agence européenne des médicaments. Selon Dr Hammami, cette approbation ouvre la voie à une future autorisation de commercialisation en Tunisie.
Dans une déclaration à l’Agence TAP, la présidente de l’association a précisé que ce médicament avait déjà obtenu, il y a deux ans, l’approbation de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, après des essais cliniques concluants qui ont démontré son efficacité à traiter spécifiquement la maladie d’Alzheimer, et non simplement ses symptômes. Dr Hammami a insisté sur l’importance d’un diagnostic précoce, qui permettrait de préserver la qualité de vie des patients tout au long de leurs années avancées.
Leqembi est administré sous forme d’injections bihebdomadaires, pendant une durée de 18 mois, dès les premiers signes de la maladie, notamment la perte de mémoire et les troubles décisionnels caractéristiques de la phase précoce de la maladie d’Alzheimer. Toutefois, le coût de ce traitement est estimé à environ 50 000 dinars, une somme élevée selon les experts... - Lire cet article
Hichem Boughanmi, membre de la Fédération nationale de la santé et secrétaire général du syndicat des agents des pharmacies privées de Tunisie, a alerté sur la crise actuelle du marché pharmaceutique en Tunisie. Lors de son intervention ce mardi 22 avril 2025 sur les ondes de Mosaïque, il a déclaré que la voix des patients n’est pas entendue, soulignant les graves conséquences de cette situation sur la santé publique.
Boughanmi a précisé que la pénurie de médicaments, qui n’est pas un phénomène récent, se fait de manière plus marquée à certains moments. “Nous avons lancé plusieurs alertes et appelons à une réaction rapide. Des médicaments vitaux, essentiels pour des populations sensibles, manquent cruellement. Parmi eux, les traitements pour l’épilepsie et les maladies cancéreuses, qui n’ont malheureusement aucune alternative”, a-t-il ajouté... - Lire cet article
La responsabilité du Leem ne saurait être engagée au titre d'un site tiers auquel l'Utilisateur aurait accès via un lien hypertexte présent sur le Site. Le Leem ne dispose d'aucun moyen de contrôle du contenu de ces sites tiers. En tout état de cause, le Leem n'est pas responsable de l'indisponibilité des sites tiers, de leur contenu, publicité ou autres éléments disponibles sur ces sites tiers. Plus d'informations
Ce site utilise des Cookies collectant des données pour optimiser votre navigation. Plus d'informations.
Les Entreprises du médicament (LEEM) ont pour missions de représenter et défendre l'industrie du médicament, conduire la politique conventionnelle avec l'Etat, négocier avec les partenaires sociaux, promouvoir et défendre l'éthique.
LEEM, Direction des Affaires publiques
58 bd Gouvion Saint Cyr
75858 Paris CEDEX 17