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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Souveraineté pharmaceutique : Téranga Pharma met 4 milliards de FCfa pour la modernisation de son usine - 12/09/2025 - Le soleil - Sénégal

Alors que le Sénégal a l’ambition de produire localement un médicament sur deux d’ici 2035, Téranga Pharma se positionne comme un acteur clé dans la relance de l’industrie pharmaceutique nationale. Hier, à la zone industrielle de Mbao, l’entreprise a lancé le projet de modernisation de son usine. Un investissement de 4 milliards de FCfa sera mobilisé entre octobre 2025 et mars 2027.

RUFISQUE – « Nous sommes réunis pour marquer le point de départ de la contribution de Téranga pharma à la longue marche vers la souveraineté pharmaceutique », a indiqué, hier, son Président du conseil d’administration (Pca), Aimé Sène, lors du lancement de la modernisation de son usine. La cérémonie a été présidée par le ministre de l’Industrie et du Commerce (Mincom), Dr Serigne Gueye Diop, et lse directeur de cabinet du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, Samba Cor Sarr. Selon le Pca de Téranga pharma, cette évolution s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’axe 3 du plan stratégique 2020-2030 défini par l’entreprise.

Ainsi, renseigne-t-il, un investissement à hauteur de 4 milliards de FCfa est prévu entre octobre 2025 et mars 2027. Aimé Sène annonce que l’inauguration de la nouvelle usine moderne, qui, d’après lui, sera conforme aux normes Oms, se fera au cours du premier trimestre 2027. Le directeur de Téranga pharma, Mouhamadou Sow, souligne que ce projet est guidé par une logique de santé publique, autrement dit, « répondre aux besoins des populations à des coûts réduits ».

À cet effet, il précise que cet ambitieux projet aura un impact aussi bien sur le plan économique que sanitaire à travers la quête de la souveraineté pharmaceutique. « En décembre 2026, l’usine va générer 306 emplois directs. Elle permettra de réduire les importations à plus de 25 milliards de FCfa par an à partir de 2027 et à plus de 50 milliards de FCfa par an à partir de 2030 », a-t-il dit.

Outre ce projet qui inclut un transfert de technologie, il vise à réduire les coûts des médicaments 2027-202 ? et à proposer des traitements sûrs, efficaces, de qualité à coût abordable pour traiter 90 % des maladies les plus fréquentes au Sénégal. « D’ici 2030, nous voulons arriver à avoir une souveraineté pharmaceutique pour 75 molécules qui vont combattre les maladies fréquentes », ambitionne-t-il... - Lire cet article


Un infectiologue sénégalais élabore un guide d’antibiothérapie - 10/09/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 10 sept (APS) – Le professeur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses du centre national hospitalier universitaire de Fann, a annoncé mercredi avoir préparé un guide d’antibiothérapie destiné aux praticiens et dont l’ambition est de limiter les dégâts liés à la résistance aux antimicrobiens.

“Nous avons créé un guide d’antibiothérapie. Nous plaidons pour que ce guide puisse être utilisé pour la confection d’applications. Ces applications pourront être téléchargées sur les téléphones”, a expliqué le professeur Seydi.

S’exprimant en marge de la journée de plaidoyer et de sensibilisation sur la résistance aux antimicrobiens, il a indiqué que ce guide pourrait être consulté en urgence, car “ce n’est pas tout le temps qu’on peut aller voir des livres, ou autres documents. Parfois, il faut agir en urgence, de manière pragmatique”.

L’universitaire a aussi relevé que la sensibilité des bactéries aux antibiotiques peut changer d’année en année, insistant sur la nécessité “d’une mise à jour des données”.

“Autre chose, c’est qu’il faut, au niveau des structures, que les responsables puissent prendre des décisions”, a ajouté le professeur Seydi.

“Si elles n’existent pas, le personnel ne peut pas faire un sondage urinaire dans les règles, ne peut pas faire une pension plurale, ne peut pas faire certains gestes médicaux. Et ces gestes non faits dans les règles peuvent entraîner des infections”, a expliqué le spécialiste.

Le chef du service des maladies infectieuses du CHU de Fann a aussi invité le ministère de tutelle à initier des messages d’alerte qui pourront être diffusés pour mieux sensibiliser les populations afin qu’elles sachent que “les antibiotiques peuvent constituer un danger pour la communauté”.

“Il faut que les antibiotiques ne puissent pas être vendus, par exemple, sans ordonnance. Il faut éliminer les sites où on vend illicitement ces antibiotiques”, a souligné l’infectiologue... - Lire cet article


Un infectiologue met en garde contre la prescription abusive d’antibiotiques - 10/09/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 10 sept (APS) – Le docteur Sadikh Badiane, infectiologue diplômé en anti biologie-antibiothérapie, a mis en garde, mercredi à Dakar, contre une prescription médicale abusive d’antibiotiques pouvant favoriser une résistance à ces médicaments.

”Notre comportement est un facteur favorisant la Résistance aux antimicrobiens (Ram). Au Sénégal, il y a relativement une prescription abusive de ces antibiotiques. 40% des prescriptions médicales contiennent des antibiotiques”, a-t-il déclaré lors d’une journée de plaidoyer et de sensibilisation sur la RAM.

Il a expliqué que l’antibiorésistance est un phénomène qui apparait lorsqu’une bactérie évolue et devient résistante aux antibiotiques utilisées pour traiter les infections dont elle est responsable.

Selon le docteur Badiane, dans cette situation, les malades arrivent avec déjà de la résistance aux antimicrobiens à l’hôpital.

Le spécialiste a également relevé ”une utilisation abusive des antibiotiques dans le secteur de l’élevage”. D’où la nécessité de faire, selon lui, une surveillance à tous les niveaux compte tenu du manque d’hygiène et d’un assainissement.

L’ancien interne des hôpitaux et spécialiste en épidémiologie considère que le contexte africain est marqué par un accès très facile aux antibiotiques, une vente illicite des médicaments et les faux médicaments.

Il est revenu sur les causes de la résistance aux antibiotiques, en citant la prescription excessive d’antibiotiques, la situation de patients qui ne terminent pas leur traitement, le manque d’hygiène et un assainissement insuffisant.

A cela s’ajoutent, selon lui, des pratiques inadéquates de lutte contre les infections dans les établissements de santé.

Face à cette situation, docteur Badiane plaide un bon usage des antimicrobiens, ce qui devrait se traduire par “une meilleure efficacité” pour le patient avec le moins possible d’effets secondaires... - Lire cet article


Après la maturité 3 pour les médicaments : l’ARP en quête du même niveau pour les dispositifs médicaux - 09/09/2025 - Sud Quotidien - Sénégal

Après avoir obtenu en 2024 la reconnaissance de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme Autorité nationale de réglementation de niveau de maturité 3 (NM3) pour les médicaments, le Sénégal ambitionne désormais d’atteindre ce même standard pour les dispositifs médicaux, y compris ceux de diagnostic in vitro. L’Agence de Réglementation pharmaceutique (ARP) a lancé hier, lundi 8 septembre, ce nouveau chantier en organisant à Dakar un atelier d’auto-évaluation de son système, en présence de l’OMS.

Un secteur en pleine mutation

Selon l’OMS, le domaine des dispositifs médicaux connaît une croissance et une diversification sans précédent. L’essor des innovations technologiques, la multiplication des usages et la complexité croissante des produits transforment profondément les systèmes de santé. Le représentant de l’OMS au Sénégal, Madi Ba, a rappelé que « la régulation devient un enjeu central pour garantir la sécurité des patients, la qualité des soins et la confiance du public ». Dans ce contexte, il a salué la volonté des autorités sénégalaises d’aller plus loin : « Après avoir atteint un niveau de maturité 3 pour la régulation des médicaments, le pays s’engage aujourd’hui à renforcer la régulation des dispositifs médicaux, avec une démarche inclusive, participative et tournée vers l’avenir. Ce processus d’auto-évaluation, conduit avec l’appui de l’OMS, place le Sénégal parmi les pionniers de l’Afrique francophone. Il ouvre la voie à une dynamique régionale, où l’expérience sénégalaise pourra inspirer et soutenir d’autres pays désireux de s’engager dans la même voie », a-t-il déclaré... - Lire cet article


Traitements cancer et diabète : l’OMS met à jour les listes des médicaments essentiels - 06/09/2025 - Le soleil - Sénégal

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié le 5 septembre 2025 une mise à jour de sa Liste modèle des médicaments essentiels et de sa Liste modèle des médicaments essentiels destinés à l’enfant, en y ajoutant de nouveaux traitements pour divers types de cancer et pour le diabète, ainsi que les comorbidités associées telles que l’obésité.

Le Comité d’experts OMS de la sélection et de l’utilisation des médicaments essentiels a examiné 59 demandes, dont 31 propositions d’ajout de nouveaux médicaments ou de nouvelles classes pharmacologiques.

À l’issue de cet examen, 20 médicaments ont été ajoutés à la Liste modèle des médicaments essentiels et 15 médicaments à la Liste modèle des médicaments essentiels destinés à l’enfant. En outre, les indications ont été élargies pour sept produits déjà répertoriés.

Les listes mises à jour comprennent désormais 523 médicaments essentiels pour les adultes et 374 pour les enfants, correspondant aux besoins les plus pressants en santé publique.

« Les nouvelles éditions des listes des médicaments essentiels marquent une étape importante vers l’élargissement de l’accès à de nouveaux médicaments présentant des avantages cliniques avérés et susceptibles d’avoir un fort impact en termes de santé publique au niveau mondial », a déclaré la Dre Yukiko Nakatani, sous-directrice générale chargée des systèmes de santé, de l’accès et des données... - Lire cet article


Médecine traditionnelle: vers la réglementation du secteur au Sénégal - 01/09/2025 - Le soleil - Sénégal

Le gouvernement du Sénégal travaille à offrir au pays un cadre juridique et réglementaire approprié de la médecine traditionnelle. C’est ce qu’a fait savoir le Pr Ousmane Cissé, directeur général de la Santé, lors de la 23ème Journée africaine de la médecine traditionnelle, tenue hier à Dakar.

En Afrique, si l’on se fie à l’Organisation mondiale de la santé (Oms), 80% les populations ont recours à la médecine tradition pour se soigner malgré l’absence de réglementation. C’est pourquoi, selon le Pr Ousmane Cissé, directeur général de la Santé, cette organisation leur propose de réfléchir sur le thème du renforcement de la base factuelle de la médecine traditionnelle. Mais aussi sur la pharmacopée sénégalaise et l’autorisation de mise sur le marché (Amm) adaptée que le Sénégal mettra bientôt en œuvre pour le développement des médicaments à base de plantes. Pour le Pr Ousmane Cissé, ces statistiques de l’Oms contrastent avec la sous-estimation de l’apport de la médecine traditionnelle dans l’offre formelle de soins de santé au niveau de la population de nos pays africains.

D’après lui, cet état de fait est dû à l’absence de réglementation dans la pratique par les praticiens de la médecine traditionnelle pour rassurer les acteurs du système sanitaire officiel et faciliter ainsi une meilleure collaboration. Il a révélé que le gouvernement du Sénégal travaille à offrir au pays un cadre juridique et réglementaire approprié pour permettre aux praticiens de la médecine traditionnelle de prendre en charge les populations en toute sécurité. « Dans la même dynamique, nous pouvons constater que les plantes médicinales locales qui, malgré des études scientifiques poussées sur leurs multiples propriétés pharmacologiques, ne font pas encore l’objet de préparations médicamenteuses modernes à mettre à la disposition de nos populations », a souligné Pr Cissé. Il a fait savoir qu’après la loi 2003-06 du 13 juin 2023 qui crée la pharmacopée sénégalaise, un projet de décret mettra en place la Commission nationale de la pharmacopée et du formulaire national... - Lire cet article


Saly : saisie de faux-médicaments évalués à plus de 394 millions de FCFA - 03/08/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Des éléments du commissariat de police de Saly (Mbour, ouest), ont saisi 39 cartons de faux médicaments évalués à plus de 394 millions de FCFA, a appris l’APS de sources sécuritaires.

”Cette saisie a été effectuée dans la nuit du 1-er au 2 août, dans deux véhicules de type 307, au cours d’une opération de sécurisation, au point de contrôle du Musée Saly“, a renseigné les mêmes sources.

Parmi ces faux-médicaments, il y en a qui se rapportent à la famille des anti-douleurs, dont le paracétamol et l’ibuprofène, à celle des laxatifs, des antibiotiques, entre autres.

Les deux chauffeurs qui transportaient la marchandise frauduleuse, ont été interpellés et conduits au commissariat urbain de Saly, poursuivent les mêmes sources, ajoutant qu’une enquête est ouverte et que le Procureur a été avisé. - Lire cet article


Production de médicaments à base de plantes : Vers la mise en place d’un cadre réglementaire - 16/07/2025 - Le soleil - Sénégal

L’État veut mettre sur le marché au moins 10 médicaments à base de plantes médicinales. C’était l’objectif de la réflexion entamée lors d’un atelier sur les essais cliniques, tenue, hier, entre décideurs politiques, universitaires, tradi-praticiens et experts.

Sur le chemin de la souveraineté pharmaceutique, le Sénégal veut s’appuyer sur les plantes médicinales. Hier, lors d’un atelier sur les essais cliniques des médicaments à base de plantes, organisé par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (Ansts), des acteurs du monde universitaire, des tradi-praticiens, et autres spécialistes se sont accordés sur la mise en place d’un cadre réglementaire. « Notre ambition est d’essayer d’avoir un cadre qui soit beaucoup plus conventionnel, maîtrisé, pour produire des médicaments de qualité et dont on maîtrise la posologie. Le ministère de la Santé et de l’Action sociale est dans cette optique. Avec la relance de l’industrie pharmaceutique locale, il est envisagé des médicaments à base de plantes », a déclaré Aynina Cissé, vice-président de l’Ansts. D’après Serigne Omar Sarr, de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp), l’État du Sénégal vise, dans cette approche, à commercialiser au moins 10 médicaments.

Pour cela, Khady Diatta Badji, enseignante en botanique et cryptogamie à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), a préconisé la protection et la préservation de la végétation pour une gestion durable des écosystèmes. L’universitaire prône aussi l’aménagement de nouvelles aires d’exploitation rationnalisées, comme les jardins botaniques de plantes médicinales. De plus, Mme Badji a appelé à « assurer une production suffisante de ressources végétales tout en sauvegardant les espèces en voie de disparition ». Dans cette perspective, le professeur Serigne Omar Sarr, de l’Arp, a informé qu’un dispositif réglementaire est mis en place, en collaboration avec le Comité national pour l’éthique et la recherche scientifique. « Il s’agit d’éviter les dérives connues par le passé, avec des expérimentations menées sur l’homme sans précaution ni règles éthiques et déontologiques. Cet encadrement réglementaire vise à accélérer le processus », a expliqué M. Sarr. Dans la nouvelle dynamique, Khady Diatta Badji a recommandé des innovations technologiques basées sur des biofertilisants. Selon elle, celles-ci peuvent jouer un « rôle primordial dans la production de matières végétales naturelles, en quantité et en qualité »... - Lire cet article


Kaolack – Gouvernance pharmaceutique : le Sénégal muscle sa régulation - 12/07/2025 - Sud Quotidien - Sénégal

Dans le cadre de l’exécution des politiques nationales en matière de gouvernance pharmaceutique, de gestion des médicaments, vaccins, dispositifs médicaux et autres produits de santé, le ministère de la Santé et de l’Action sociale, par le biais de l’Agence nationale de Réglementation pharmaceutique (ARP), a procédé hier, jeudi 10 juillet à Kaolack, à l’installation officielle du tout premier pôle régional de régulation pharmaceutique au Sénégal.

Cette nouvelle structure vise à apporter une réponse plus ferme et mieux structurée dans la lutte contre le trafic et la circulation de produits médicaux illicites. Elle vient ainsi renforcer le dispositif national de contrôle et d’intervention, dans une logique de proximité et d’efficacité face à un fléau qui compromet gravement les efforts de protection de la santé publique et fragilise l’ensemble du système sanitaire.

Complémentaire au Comité national de lutte contre le trafic illicite des produits médicaux, mis en place le 17 juin dernier par le gouvernement, cette agence régionale est pensée comme un relais stratégique. Elle permettra une surveillance plus rapprochée, une meilleure coordination et des actions de terrain ciblées, notamment pour contrer l’approvisionnement massif des marchés sénégalais en produits médicaux non autorisés.

Grâce à cette infrastructure, les équipes seront désormais installées au cœur du pôle centre. Plus proches des établissements pharmaceutiques, des professionnels de santé et des populations, elles pourront nouer des partenariats concrets et dynamiques pour anticiper et réduire les risques liés à la contrebande. Le renforcement de la régulation locale est également essentiel dans les zones frontalières, désormais identifiées comme des points critiques de transit et de passage à haut risque... - Lire cet article


Mpox : appel à une réduction du prix du vaccin et au transfert de la technologie aux fabricants régionaux - 11/07/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 11 juil (APS) – L’AIDS Healthcare Foundation (AHF), une organisation mondiale de lutte contre le Sida, appelle les parties prenantes dont la firme pharmaceutique Bavarian Nordic, à réduire le prix du vaccin contre le Mpox et à transférer la technologie aux fabricants régionaux.

Elle appelle également les pays riches à faire don de doses de vaccin provenant de leurs stocks existants afin de garantir un accès équitable sur l’ensemble du continent africain.

Dans un communiqué de presse, l’AHF dit s’inquiéter particulièrement de ‘’l’accaparement des vaccins par les pays développés, du coût élevé des vaccins et de la réticence des entreprises pharmaceutiques à partager leur technologie et leur savoir-faire avec les fabricants africains qualifiés’’.

Sous ce rapport, elle prévient que ‘’si ces problèmes ne sont pas résolus, ils pourraient gravement compromettre la capacité de l’Afrique à faire face à l’épidémie actuelle de Mpox et aux futures crises sanitaires’’.

L’AHF signale que ‘’le 24 juin, la Sierra Leone représentait 41 % des cas signalés de Mpox en Afrique, avec 4 350 cas confirmés et 28 décès depuis le 10 janvier”.

”Depuis fin mars, seulement 40 000 personnes ont été vaccinées, principalement des agents de santé de première ligne et des groupes à haut risque, notamment les personnes vivant avec le VIH. Avec une capacité d’isolement limitée et seulement deux contacts tracés par cas confirmé, la réponse est sous tension”, rapporte l’AIDS Healthcare Foundation (AHF)... - Lire cet article




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