ORAN - Le fabriquant de gaz médical RayanOX, implanté principalement à Oran, compte prochainement élargir ses activités et se lancer dans la production des gélules en gélatine, avec le projet d’une usine qui sera implantée à Sidi Bel-Abbès, a-t-on appris auprès de son directeur, Mohamed Amine Tazi.
"Les autorisations et les agréments de ce nouveau projet sont finalisés", a indiqué à l’APS M. Tazi, ajoutant que "l’usine entrera en production à la fin de l’année 2024.
"L’Algérie dépense une moyenne de 35 millions d’euros pour l’importation des gélules en gélatine, et ce projet permettra de réduire la facture d’importation et de générer des revenus en devises étrangères, grâce à l’exportation d’une partie de la production", a-t-il souligné... - Lire cet article
Sur les réseaux sociaux, les publicités vantant des médicaments et des compléments alimentaires miracles dits naturels se multiplient. Des traitements permettant, soi-disant, la guérison rapide du diabète sont également mis en vente sur des sites internet, représentant ainsi un « sérieux danger » pour la santé des consommateurs.
Consciente des dangers que cette tendance représente pour la santé des gens, l’Association des diabétiques de la wilaya d’Alger a alerté et a mis en garde contre l’utilisation de ces médicaments dits « miraculeux » pour traiter le diabète, mais pouvant entraîner des dangers pour la santé... - Lire cet article
ALGER - Le Directeur général de la régulation et de l'organisation des activités au ministère du Commerce, Samy Kolli a affirmé que le code actuel de l'activité Pharmacie inscrit au registre de commerce (101 602) autorise toujours le pharmacien à vendre une liste de produits en vertu de l'arrêté de 1995 fixant la liste des marchandises autorisées à la vente dans les officines, ajoutant que le ministère n'avait pas interdit aux pharmaciens d'officine de commercialiser les équipements médicaux et les produits parapharmaceutiques.
"Le code actuel de l'activité Pharmacie inscrit au registre de commerce (101 602) autorise le pharmacien à vendre une liste de produits en vertu de l'arrêté n 52 du 10 juillet 1995 fixant la liste des marchandises autorisées à la vente dans les officines", a précisé M. Kolli dans une déclaration à l'APS, affirmant la possibilité de "commercialiser les produits médicaux, d'hygiène et ceux destinés aux nourrissons et aux enfants ainsi que les produits d'esthétique et d'hygiène corporelle"... - Lire cet article
L’intelligence artificielle a connu de nombreuses applications dans le domaine médical. Elle a été utilisée pour dénicher des remèdes et des traitements à plusieurs maladies. C’est dans cette foulée que la classe d'antibiotiques nommée halicine a été découverte par des chercheurs du MIT.
En effet, cet antibiotique s’avère particulièrement efficace contre plusieurs bactéries résistantes aux antibiotiques, y compris Clostridium difficile, Acinetobacter baumannii et Mycobacterium tuberculosis. Pour arriver à cet exploit, les chercheurs ont mis en pratique une technique nommée criblage in silico pour identifier l'halicine. C’est une technique qui analyse un nombre important de données chimiques en employant des modèles informatiques... - Lire cet article
Lors de son audience devant la commission de la santé de l’Assemblée populaire nationale (APN), Samir Ferhat, directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) a affirmé ce mercredi que, pour la première fois en Algérie, 14 milliards de dinars ont été alloués à l’achat de 31 types de médicaments innovants.
Ces traitements modernes sont destinés aux professionnels de la santé pour le traitement des patients atteints de cancer. Il a ajouté, dans ce sens, la signature de 31 contrats avec les fournisseurs de médicaments ainsi que 19 marques commerciales pour assurer la disponibilité de ces traitements... - Lire cet article
Contacté par El Moudjahid, le président de l’Union nationale des opérateurs de la pharmacie (Unop) voit l’ouverture du premier centre de bioéquivalence en Algérie comme la pièce manquante d’un énorme élan réalisé par l’industrie pharmaceutique en faveur de notre sécurité sanitaire et juge toutefois nécessaire de mettre à jour les textes réglementaires régissant les études cliniques et les sociétés de recherche contractuelles.
El Moudjahid : Quel est l’impact de l’ouverture d’un centre de bioéquivalence en l’Algérie en termes de développement pharmaceutique ?
Dr Kerrar : L’ouverture d’un centre de bioéquivalence en Algérie est une très bonne nouvelle, attendue de longue date. Au vu de la formidable croissance de notre industrie pharmaceutique ces dernières années, l’ouverture du premier centre de bioéquivalence est réellement la pièce manquante de cet énorme élan réalisé par notre industrie pharmaceutique dans le cadre de la sécurité sanitaire. Il faut rappeler que l’étude de bioéquivalence fait partie des outils permettant de prouver l’équivalence thérapeutique entre un médicament générique et un médicament princeps qui a fait l’objet d’études toxicologiques et cliniques. L’objectif est de démontrer in-vivo que les principes actifs ou leurs métabolites actifs se trouvent sous la même concentration dans la circulation sanguine entre le médicament générique et le médicament princeps, ce qui suppose le même effet thérapeutique. C’est donc un gage de qualité, de sécurité et d’efficacité pour le prescripteur et par conséquent in fine pour le patient... - Lire cet article
ALGER - Le groupe pharmaceutique public Saidal a inauguré, dimanche à Alger, le premier centre de bioéquivalence en Algérie, dénommé "Equival Biocenter", qui aura pour mission de réaliser des études permettant de prouver l'efficacité et la sécurité des médicaments génériques.
Ce centre proposera ses services aux laboratoires pharmaceutiques nationaux et internationaux qui souhaitent réaliser des études afin de prouver que leurs médicaments génériques sont équivalents aux médicaments de référence en terme d'efficacité et de sécurité et permettre ainsi leur interchangeabilité avec les médicaments de référence... - Lire cet article
ALGER - Le chiffres d'affaires du groupe pharmaceutique public, Saidal, devrait s’établir autour de 19,5 milliards de dinars (DA) en 2023, contre 14,6 milliards de dinars en 2022, soit une progression de 35%, a indiqué, mercredi à Alger, son P-dg, Ouacim Kouidri.
Il s'exprimait lors d'une réunion de travail, présidée par le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, consacrée à la présentation du bilan du groupe pour les exercices 2022 et 2023, ainsi que les perspectives de son développement en 2024... - Lire cet article
Les opérateurs pharmaceutiques sont appelés à déposer leurs programmes prévisionnels d’exportation, pour l’exercice 2024, au plus tard le 31 janvier 2024 sur le site officiel du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique. C’est ce qu’a indiqué le ministère dans un communiqué.
Dans le cadre de l’évaluation et de la mise en œuvre de la politique nationale de promotion des exportations, une note ministérielle a été adressée à l’ensemble des établissements pharmaceutiques où il est précisé qu’« il s’agit de programmes prévisionnels d’exportation de biens (produits pharmaceutiques et dispositifs médicaux) et de services (recherche /développement, études cliniques, ingénierie, expertise, marketing, logiciels, transport et autres) »... - Lire cet article
Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, a pointé un doigt accusateur au sujet de la pénurie «provoquée» d'anesthésiants dentaires. En effet, Ali Aoun a imputé, hier, la pénurie d'anesthésiants dentaires à un «laboratoire pharmaceutique étranger qui procédait à la rétention de ce produit», a-t-il affirmé. Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique a expliqué lors de son audition à l'Assemblée populaire nationale que la pénurie d'anesthésiants dentaires est causée «par un monopole d'un laboratoire étranger qui détient de grandes quantités de ce produit mis en vente de 5 euros à 15 euros, ce qui a été définitivement rejeté», a-t-il tranché.
Ali Aoun a également révélé que «6,85 millions de doses ont été mises sur le marché, en plus de 600.000 autres doses qui seront distribuées cette semaine», a-t-il rassuré. Le ministre a encore expliqué que le ministère continue de diversifier ses sources d'approvisionnement, en plus des quatre (04) projets de production locale de ce type de médicaments... - Lire cet article
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