près la fermeture des pharmacies non agréées et des autres lieux de vente de médicaments illicites dans les régions de Labé et de Mamou, le gouvernement guinéen, à travers le département de la Santé, passe à la vitesse supérieure en approvisionnent le dépôt de Labé, de la pharmacie centrale de Guinée, en 6 camions de médicaments essentiels génériques de qualité.
Cette remise a eu lieu hier vendredi 08 octobre, dans les locaux de l’agence, sous l’œil vigilant du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique. Il était 11 heures quand la cérémonie de remise de ces produits a débuté dans les locaux de la pharmacie centrale, dépôt de Labé. Une activité qui a connu la présence du syndicat des pharmaciens agréés, des responsables des structures déconcentrées de la santé et des notables de la capitale du Foutah Djallon... - Lire cet article
«Plusieurs employés vont être mis à la porte. Il ne faut pas oublier que les produits innovants ne seront plus en mesure d’être enregistrés dans notre pays et que l’accès à l’innovation sera fortement impacté. Une situation regrettable qui ne fera qu’amplifier la crise».
Le manque de liquidité commence à impacter plusieurs secteurs dans le pays et pousse certains représentants d’entreprises étrangères à quitter le pays. Tout récemment, des laboratoires pharmaceutiques étrangers de renommée internationale implantés en Tunisie ont perdu patience et ont pris l’amère décision de plier bagage... - Lire cet article
Niamey, 18 Oct (ANP)- Au Niger, un groupe des pharmaciens, dont des cadres du ministère de la santé, travaille sur un projet de mise en place d’une unité de production locale de médicaments.
Ce groupe a été reçu en audience, ce mardi 18 Octobre 2022, par le Président de la République Mohamed Bazoum, à son cabinet, avec comme cheffe de délégation, Mme Dan Nouhou Barira, Directrice de la Pharmacie au ministère en charge de la santé publique... - Lire cet article
ORAN- Une usine de production de médicaments anti-cancer et cytotoxiques, a été inaugurée lundi à Hassi Bounif, par le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Ali Aoun, en visite de travail et d'inspection à Oran. Il s’agit d’un projet des Laboratoires Orion LAB, implanté dans la zone industrielle de Hassi Ameur dans la commune de Hassi Bounif, spécialisé dans la production des médicaments anti-cancer et cytotoxiques.
Le ministre, a souligné que cette usine contribuerait à réduire la facture d’importation des médicaments anti-cancer, qui s’élève à plus de 450 millions d’euros par an.
"Nous encourageons les investisseurs qui participent à satisfaire les besoins locaux en médicaments et autres produits pharmaceutiques", a affirmé M. Aoun, ajoutant que l’Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP) œuvre à lever tous ce qui entrave les investissements dans ce créneau... - Lire cet article
La TVA sur les médicaments et les taxes sur les produits de santé, équipements et matériels médicaux et paramédicaux importés sera réduite. Le ministre de la santé et de la protection sociale, Khalid Ait Taleb, et le ministre délégué chargé du budget, Fouzi Lekjaa, sont en train de finaliser cette décision.
A travers un communiqué publié samedi, le ministère de la santé a fait savoir que cette décision, qui sera annoncée dans le cadre du projet de loi de Finances 2023, vient en exécution des Hautes instructions royales. Cette décision, sur laquelle s’est penchée une importante équipe de travail sous la supervision des deux ministres, permettra de réduire les prix des médicaments, des produits de santé, fournitures et matériels médicaux et paramédicaux importés, ce qui contribuera à les fournir aux citoyens à des prix raisonnables... - Lire cet article
"L’étude de bioéquivalence était exigée dans les dossiers d’homologation, ce qui constituait un véritable obstacle devant les investisseurs, en l’absence d’un organisme qui délivre ce genre de document en Algérie", a souligné M. Aoun dans une déclaration à la presse en marge d’une visite de travail à Oran.
"L’exigence de ce document constituait un véritable obstacle devant les investisseurs et le ministère a décidé de le supprimer pour faciliter les procédures d’homologation", a déclaré le ministre.
Le premier responsable de l’industrie pharmaceutique a estimé qu’il s’agit d’un document "inutile", surtout que l’Algérie ne produit actuellement que des médicaments génériques, alors que l’étude de bioéquivalence ne concerne que les princeps... - Lire cet article
Les services du ministère de la Santé publique poursuivent leur croisade contre les produits médicamenteux contrefaits et leur vente.
Après une première opération réussie au marché central de Yaoundé, les services du ministère de la Santé publique ont procédé, jeudi 13 octobre 2022, à une vaste saisie de médicaments illicites dans mes quartiers Etoudi et Fougerolles, sis à Yaoundé. La marchandise illicite saisie est estime à 192 millions de FCFA... - Lire cet article
Vendredi 6 août 2021. Il était ce matin en tenue militaire, participant à une réunion de coordination de la lutte contre le Covid-19, au siège du ministère de la Santé. Il y retournera l’après-midi, en civil, nommé ministre de la Santé. Tout commencera alors pour le Pr Ali Mrabet, médecin militaire spécialiste en épidémiologie et santé publique. La Tunisie subissait alors de plein fouet le pic de la pandémie.
Tout manquait, dans un dysfonctionnement anarchique. Le président Kaïs Saïed, prenant la situation en main, après avoir limogé Mechichi et son gouvernement, s’attelle lui-même à la tâche. A ses côtés, le Pr Mustapha Ferjani, alors médecin général de brigade, directeur général de la Santé militaire, devait se battre sur tous les fronts. A peine rentré d’une mission à Tataouine où il dirigeait une task-force de vaccination, le Pr Mrabet était lancé au front. - Lire cet article
Un stock de produits pharmaceutiques contrefaits, d’une valeur estimée à 412 millions de FCFA, a été saisi mardi 11 octobre dernier au marché central de Yaoundé. Ceci, dans le cadre d’une opération d’assainissement du marché du médicament conduite par l’équipe de l’inspection générale des services pharmaceutiques du ministère de la Santé publique (Minsanté), appuyée par les forces de maintien de l’ordre. Alcool, pénicilline, albendazole, baumes, bicarbonate, sparadrap, gentamicine, glucosé, ranitidine… sont quelques-uns des produits saisis lors de cette opération.
Selon le ministère, il s’agit « des produits pharmaceutiques de mauvaise qualité, mal conservés et vendus en bordure de route ». Ceux-ci sont destinés à être détruits. « Le stock de médicaments ainsi saisi a été immédiatement acheminé sur le site habituel d’incinération », d’après la même source. Le Minsanté fonde cette opération sur la législation pharmaceutique au Cameroun qui fait des pharmacies le seul circuit officiel de distribution de ces produits. La vente illégale de médicaments constituant de ce fait une infraction. Cette saisie intervient après celle effectuée le mois dernier au marché Mokolo, l’une des plus grandes places marchandes de la capitale... - Lire cet article
«Quel système de santé au Maroc, à l’aune de la souveraineté nationale et de la généralisation de la couverture sociale ?» C’est autour de cette problématique que l’Institut Royal des études stratégiques a réuni des experts qui ont fait des propositions et établi un benchmark international. Les conclusions de ce travail ont fait l’objet d’un rapport qui vient d’être rendu public et qui prône des solutions audacieuses appelant à revoir le régime financier de la santé et à aller vers la souveraineté sanitaire tout en tablant sur les ressources humaines.
«Le système national de santé demeure marqué par certaines insuffisances structurelles, qui sont, aujourd’hui, connues de tous et qui concernent l’accès aux soins, le financement de la santé, l’encadrement médical, l’infrastructure sanitaire et sa répartition territoriale, le partenariat public-privé...», explique Mohammed Tawfik Mouline, le directeur général de l’Institut Royal des études stratégiques (IRES). Dans ce diagnostic limpide, qui a été repris dans le dernier rapport publié par ce think tank, le rôle de l’État et des politiques publiques constitue le socle fondateur des travaux d’études. Le rapport, intitulé «Quel système de santé au Maroc, à l’aune de la souveraineté nationale et de la généralisation de la couverture sociale ?» et mis en ligne mercredi sur le site institutionnel de l’IRES, est le fruit de rencontres réunissant des experts du secteur et organisées par l’Institut pour débattre de cette problématique. En effet, le rapport, en plus du diagnostic franc établi, se démarque par son pragmatisme, suggérant des propositions opérationnelles ... - Lire cet article
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