La Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc alerte sur la vente illégale de compléments alimentaires à base de plantes médicinales hors circuit officinal.
Dans un courrier adressé au ministre de la Santé ainsi qu’au directeur général de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA), la Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc (CSPM) a tiré la sonnette d’alarme sur la commercialisation illégale de certains compléments alimentaires à base de plantes médicinales. Ces produits, qui relèvent du monopole exclusif des pharmacies d’officine selon l’article 30 de la loi 17-4, sont pourtant vendus librement sur des plateformes non agréées.
La plainte porte sur plusieurs compléments alimentaires commercialisés hors circuit officiel, avec à titre d’exemple des produits utilisés pour le traitement du stress, de l’anxiété ou de l’insomnie, parmi lesquels figurent des extraits de plantes reconnus par les pharmacopées européenne (UE) et américaine (USP). La Confédération souligne que ces produits, bien que présentés comme naturels, contiennent des principes actifs aux effets pharmacologiques avérés. Leur délivrance devrait donc être strictement encadrée et réservée aux pharmaciens.
Selon la correspondance, ces compléments sont commercialisés hors des officines, notamment via les réseaux sociaux, les marchés informels, les boutiques spécialisées en produits biologiques ainsi que certaines herboristeries. Le Panax ginseng, vanté pour ses effets sur la vitalité, ou encore le millepertuis (Hypericum perforatum), utilisé pour l’anxiété, figurent parmi les produits en circulation hors contrôle. La passiflore (Passiflora incarnata) et la valériane (Valeriana officinalis), employées respectivement contre l’insomnie et le stress, sont également disponibles sur ces circuits parallèles, suscitant de vives inquiétudes... - Lire cet article
Dr Mustapha Imad Eddine Ghodbane, président de l’AANM, souligne que « la production locale de radiopharmaceutiques, un enjeu stratégique ».
Le système de santé en Algérie connaît une transformation significative, notamment dans le domaine de la médecine nucléaire qui a vu le nombre de centres augmenter de 50% au cours des 5 dernières années. Cette dynamique traduit une volonté politique de moderniser les infrastructures, de renforcer la formation spécialisée et d’atteindre une souveraineté technologique en matière de radiopharmaceutiques.
Le président de l’Association algérienne de médecine nucléaire (AANM), Imad Eddine Mustapha Ghodbane, explique, dans cet entretien, les défis et les perspectives de cette spécialité de pointe. Il revient sur l’évolution des équipements et des ressources humaines, les projets de production locale, l’accès aux soins, le cadre juridique, les contraintes logistiques et le rôle de la formation continue.
Entretien réalisé par Assia Boucetta... - Lire cet article
Madagascar fait face à une pénurie de spécialités pharmaceutiques. Pour y remédier, une proposition de loi a été présentée concernant la vente de ces médicaments.
Madagascar est confrontée à une grave pénurie de spécialités pharmaceutiques. Pour y remédier, une révision de la loi n° 2011-002 sur la Santé publique a été adoptée. Avant-hier, les députés ont voté la proposition de loi n° 004-2025/Sénat/PPL, modifiant partiellement ce texte.
Cette réforme vise notamment à renforcer le cadre légal de la vente des spécialités pharmaceutiques et à élargir l’offre de médicaments légalement disponibles dans le pays. Le nombre de médicaments enregistrés devrait ainsi passer de 2 500 à 4 000, selon les objectifs fixés. À titre de comparaison, les pays ayant un niveau de développement similaire à celui de Madagascar en recensent entre 4 000 et 8 000.
Le professeur Odilon Dinaraly Tiandaza, sénateur, explique : « Nous faisons face à des difficultés en matière de soins et d’accès aux médicaments. » ... - Lire cet article
Dans un souci de prévenir les pénuries de médicaments et d'améliorer l'accès aux médicaments vitaux, les législateurs de la Commission Spéciale sur la Santé, les Réfugiés, les Catastrophes et l'Aide Humanitaire ont introduit un nouveau projet de loi visant à modifier la Loi de 2014 sur les Médicaments et les Produits Connexes. L'amendement vise à réduire les formalités administratives liées à l'enregistrement des produits médicaux, notamment ceux qui ont déjà été approuvés dans des pays crédibles et fiables tels que le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Europe.
Le projet de loi a été lu par le président de la commission, l'honorable Amadou Camara, député de la circonscription de Nianija, mardi à l'Assemblée Nationale.
Il a déclaré que le projet de loi sur les médicaments et les produits connexes (amendement), 2023, est conçu pour résoudre un grave problème dans la loi actuelle, qui rend difficile l'enregistrement des médicaments de qualité en Gambie.
« Actuellement, même si l'utilisation d'un médicament est approuvée dans des territoires où les normes de sécurité sont élevées, tels que l'Amérique ou l'Europe, il doit encore passer par un processus long et compliqué avant que son utilisation ne soit autorisée. Les experts avertissent que cela pourrait conduire à des pénuries de médicaments essentiels et créer un espace pour l'entrée sur le marché de produits contrefaits ou de mauvaise qualité, » a-t-il souligné.
Il a ajouté que « les fabricants ignorent souvent les petits marchés comme la Gambie parce que le processus y est trop lent et trop coûteux. » ... - Lire cet article
Du 3 au 4 juillet 2025, la Salle de conférence de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire à Cocody accueille l’atelier bilan du projet CLICQ en vue du partage des succès obtenus sur l’amélioration de la prise en charge des malades tuberculeux. Les bons résultats et bonnes pratiques initiées ont été présentée.
Ce projet a permis d’améliorer la notification des cas de tuberculose et la mise sous traitement effectives des malades identifiés. Les malades VIH et atteint de Tuberculose ont été ciblés par ce projet. Le projet CLICQ est financé par CDC PEPFAR, avec l’assistante technique de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) et de Business Spring Consulting (BSC) et le soutien institutionnel du Programme National de lutte contre la Tuberculose (PNLT).
Une trentaine de participants, issus des sites Centres Antituberculeux et d’hôpitaux d’Abidjan, seront réunis pour cette occasion.
Ces acteurs clés des soins ont déjà participé aux deux sessions d’apprentissage du programme, visant à garantir la continuité du processus d’apprentissage et à mettre en œuvre des actions concrètes d’amélioration de la qualité sur les sites concernés.
L’objectif principal de ce programme est de renforcer les compétences du personnel clinique et de laboratoire, afin d’optimiser l’utilisation des données cliniques et de réduire les lacunes identifiées à chaque étape du parcours des patients.
Grâce à l’appui du Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT), du Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) et des partenaires de mise en œuvre du PEPFAR, des lacunes critiques dans la cascade de soins de la tuberculose ont été identifiées sur cinq sites pilotes : CAT d’Adjamé, CAT de Koumassi, Hôpital Militaire d’Abidjan, Hôpital Général de Port Bouët et Hôpital Général Privé CEPREF.
Cet atelier représente une étape cruciale pour garantir l’efficacité des interventions et améliorer significativement la prise en charge des patients. - Lire cet article
Denk Pharma souligne son engagement en faveur de la « qualité made in Germany » à la suite d'une récente étude sur les médicaments de qualité inférieure en Afrique.
Denk Pharma, une entreprise pharmaceutique internationale qui se consacre à la fourniture de médicaments de qualité supérieure « Made in Germany », souligne le besoin urgent en produits pharmaceutiques sûrs et efficaces en Afrique à la suite d'une récente étude systématique révélant des taux élevés de médicaments de qualité inférieure et de médicaments falsifiés. L'étude d'Asrade Mekonnen B. et al, publiée dans le Journal of Pharmaceutical Policy and Practice, a analysé 7 592 échantillons de médicaments dans toute l'Afrique.
Les principales conclusions sont les suivantes :
- Une prévalence globale de 22,6 % pour les médicaments de qualité inférieure ou falsifiés.
- En outre, 34,6 % des médicaments échantillonnés n'étaient pas enregistrés ou ne bénéficiaient pas d’une autorisation dans les pays respectifs.
- Les médicaments de qualité inférieure, falsifiés, et non enregistrés les plus fréquemment signalés étaient les antibiotiques (44,6 %), les antipaludéens (15,6 %), les antihypertenseurs (16,3 %) et les anthelminthiques/antiprotozoaires (60,7 %).
La circulation de médicaments de mauvaise qualité présente de graves risques pour les patients et les prestataires de soins de santé, notamment des risques d’échecs thérapeutiques, de développement d'une résistance aux médicaments et d’augmentation de la morbidité et de la mortalité. Selon les estimations de l'Organisation mondiale de la Santé, des centaines de milliers de décès en Afrique subsaharienne sont liés à des médicaments inefficaces ou nocifs chaque année.
À la lumière de ces conclusions, Denk Pharma réaffirme son engagement de longue date en faveur des produits pharmaceutiques « Made in Germany » et de la sécurité des patients. Tous les produits Denk Pharma sont fabriqués en Allemagne dans le strict respect des bonnes pratiques de fabrication (BPF) et de distribution (BPD), testés par lots dans des laboratoires certifiés et autorisés par les autorités sanitaires compétentes, telles que l'EMA, le BfArM, le gouvernement de Haute-Bavière et les autorités de chacun des marchés de vente.
« Nous avons toujours accordé la priorité à la sécurité et à la confiance des professionnels de santé et des patients », déclare Tarja Neuwirth, directrice générale de Denk Pharma. « Cette nouvelle étude démontre une fois de plus à quel point il est essentiel de s'assurer que les médicaments répondent aux normes strictes de qualité, d'efficacité et de conformité réglementaire. Notre objectif est de fournir aux médecins et aux pharmaciens des produits fiables auxquels les patients peuvent faire confiance, quel que soit leur lieu de résidence. »
Denk Pharma invite les journalistes et les rédacteurs en chef de revues scientifiques d'Ouganda, du Ghana, du Sénégal, de Côte d'Ivoire et d'autres pays africains à participer à un webinaire sur ce sujet. L'événement aura lieu le 10 juillet à 11 h 00 (UTC) et permettra de découvrir les conclusions de l'étude, ainsi que des conseils pratiques sur la manière dont des médicaments vérifiés et de haute qualité peuvent contribuer à protéger la santé des patients. L'événement aura lieu en anglais. Inscrivez-vous via le lien : https://www.denk-connected.de/howtrustedpharmaceuticalsqualitymadeingermanyprotectpatientlives
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La population de l'Afrique devrait doubler d'ici 2050 et il est tout à fait intenable de dépendre à près de 100 % des médicaments importés, compte tenu de l'ampleur des besoins médicaux auxquels le continent est confronté. La Chine offre des enseignements essentiels sur la manière dont l'Afrique peut se préparer à relever ce défi.
Pendant des décennies, la montée en puissance de la Chine dans le secteur manufacturier s'est accompagnée de préoccupations persistantes quant à la qualité des produits, en particulier dans des domaines critiques tels que la sécurité alimentaire, les produits pharmaceutiques et les biens industriels haut de gamme. Malgré sa position dominante dans les chaînes d'approvisionnement mondiales, le pays a longtemps souffert d'une réputation de normes incohérentes, de matériaux de qualité médiocre et d'une application insuffisante de la réglementation.
Pourtant, cette réputation est en train de changer rapidement. Selon l'analyse de Fareed Zakaria dans Global Briefing, la Chine s'attaque systématiquement à ses déficits historiques en matière de qualité. Le pays a lancé une campagne sans relâche pour améliorer les cadres réglementaires et faire respecter la conformité dans tous les secteurs. Qu'il s'agisse de la refonte des processus d'approbation des produits pharmaceutiques ou du contrôle de la qualité de la fabrication par l'IA, la Chine fait preuve d'un engagement à long terme en faveur de l'excellence. Les agences de régulation ont été habilitées à sévir contre les médicaments contrefaits et les pratiques alimentaires dangereuses, et des investissements importants sont consacrés aux infrastructures d'assurance qualité et à la formation.
Le changement n'est pas seulement bureaucratique. Il est stratégique. Un article du Financial Times rédigé par Edward White et Harry Dempsey montre comment les fabricants occidentaux, longtemps protégés de la concurrence chinoise pour des raisons de qualité, sont désormais confrontés à de sérieux rivaux. "La mauvaise nouvelle, du moins pour l'Occident et ses entreprises, c'est que la Chine s'attaque à ces problèmes de manière méthodique et systématique", indique le rapport. Les entreprises européennes, japonaises et américaines tirent la sonnette d'alarme car les producteurs chinois commencent à rivaliser avec leur précision et leur régularité, en particulier dans des secteurs tels que la fibre de carbone, les roulements à billes et l'électronique... - Lire cet article
Le Réseau Accès aux Médicaments Essentiels (RAME) a le plaisir de partager la synthèse de ses principales réalisations pour l’année 2024. Cette présentation met en lumière les projets phares pilotés par le RAME, les activités stratégiques menées ainsi que les résultats significatifs obtenus au bénéfice des communautés et des systèmes de santé au Burkina Faso.
Depuis sa création, le RAME œuvre sans relâche pour un accès équitable à des soins de santé de qualité à travers la veille citoyenne, le plaidoyer, la production d’évidences et le renforcement des capacités des acteurs de la société civile. L’année 2024 n’a pas dérogé à cette mission : grâce à l’engagement de ses équipes, au soutien de ses partenaires et à l’implication des communautés, nous avons pu réaliser 12 interventions majeures.
Nous tenons à exprimer nos sincères remerciements à l’ensemble de nos partenaires techniques et financiers, aux organisations de la société civile et aux bénéficiaires, sans qui ces avancées n’auraient été possibles. - Lire cet article
Du 30 juin au 2 juillet 2025, Lomé, la capitale togolaise, accueille la réunion régionale du Réseau 4S (syndrome sentinel surveillance system), rassemblant les points focaux de onze pays d’Afrique de l’Ouest.
Cet événement stratégique, présidé par le secrétaire général du ministère de la santé et hygiène publique du Togo, Dr Kokou Wotobe, vise à renforcer la coopération régionale en matière de surveillance épidémiologique.
Parmi les participants, la Côte d’Ivoire se distingue par la présence de deux représentants : Professeur Meité Syndou de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire et Dr Éboua Nguetta Emilienne de l’Institut National d’Hygiène Publique
La participation active de la Côte d’Ivoire à la réunion régionale du Réseau 4S à Lomé montre à quel point le pays s’engage à anticiper les crises sanitaires et à renforcer la coopération régionale.
La présence du Professeur Meité Syndou et du Dr Éboua Nguetta Emilienne illustre l’expertise nationale mobilisée pour des enjeux transfrontaliers.
La Côte d’Ivoire, en tant que pays invité, réaffirme son engagement à contribuer activement à la sécurité sanitaire collective en Afrique de l’Ouest.
L’objectif général de cette réunion est de faire le bilan des activités de surveillance sentinelle des données de l’ouverture des sites sentinelles dans les pays au 20 juin 2025 avec toutes les parties prenantes. Plus spécifiquement de partager la situation épidémiologique des pathogènes sous surveillance (virus respiratoires, arbovirus et fièvres hémorragique virale) dans les pays membres du réseau 4S régional de présenter la nouvelle plateforme régionale de collecte des données (WALIP) et discuter des modalités de partages des données. En plus de cela d’analyser les performances du réseau de surveillance sentinelle et les capacités des laboratoires, de présenter la stratégie régionale de transport des échantillons biologiques et d’analyser les défis et les perspectives et d’élaborer un plan d’action sous régional.
Le Directeur général de l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), Professeur Melchior Athanase Joël, a rappelé l’importance d’anticiper les crises sanitaires, en s’appuyant sur les leçons tirées de la pandémie de COVID-19. La plateforme WALIP marque une avancée majeure pour la collecte et l’analyse des données épidémiologiques à l’échelle régionale.
Cette rencontre s’inscrit dans un cadre plus large de renforcement des systèmes de santé en Afrique de l’Ouest, avec des objectifs ambitieux fixés pour 2050.
Les discussions devraient aboutir au renforcement du 4S avec élargissement du système au pays comme la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Nigeria ect . L’approche collective face aux menaces sanitaires est un signal fort d’unité et de résilience. - Lire cet article
ALGER - Le Groupe Saïdal a procédé, mercredi au départ du port d'Alger, à l'exportation de son premier lot de produits pharmaceutiques vers la Mauritanie après avoir remporté un appel d'offres international, a annoncé le directeur général du groupe public,Younes Bouarara.
Dans une déclaration à l'APS, M. Bouarara a précisé que ce premier lot destiné à la Centrale d'achats des médicaments, équipements et consommables médicaux (CAMEC) de Mauritanie, comprend 100.000 flacons de paracétamol pédiatrique.
Cette opération s'inscrit dans le cadre de l'appel d'offres international lancé par l'organisme mauritanien en 2024, remporté par Saïdal, a-t-il indiqué, ajoutant que le groupe a récemment participé à plusieurs appels d'offres internationaux pour exporter ses produits vers d'autres pays, notamment le Sénégal, le Tchad et le Yémen.
Il a, en outre, affirmé que l'orientation du groupe vers les marchés extérieurs s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, ainsi que des orientations du ministre de l'Industrie pharmaceutique, Ouacim Kouidri, soulignant que cette démarche reflète une volonté concrète de renforcer le partenariat entre l'Algérie et la Mauritanie et de faciliter l'accès à des médicaments de qualité, tout en soutenant les échanges dans le domaine pharmaceutique.
Dans le même sillage, d'autres quantités de médicaments de différents types devraient être exportées vers la Mauritanie dans les mois à venir, dans le cadre de l'accord de coopération signé en mai dernier entre "Saïdal" et la société mauritanienne "Chinguitty Pharma", spécialisée dans la distribution de médicaments et de dispositifs médicaux et pharmaceutiques... - Lire cet article
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