Pour la troisième année consécutive, Lamia Tazi, PDG de Sothema, se distingue dans le classement des Top 100 leaders du secteur de la santé (Top Healthcare Leader) de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), réalisé par Forbes Magazine. Elle occupe la 36e place, soulignant son impact et son leadership dans l'industrie pharmaceutique.
En tant que seule personnalité marocaine et d'Afrique du Nord dans ce classement en 2023, Mme Tazi est également vice-présidente de l'Association Marocaine de l'Industrie Pharmaceutique (AMIP) et membre du bureau exécutif de l'Association Marocaine des Exportateurs (Asmex). Elle a joué un rôle crucial dans la lutte contre la pandémie de Covid-19 avec Sothema, notamment dans la fabrication de vaccins... - Lire cet article
A la tête de la filiale marocaine de Roche depuis 2018, Sanaa Sayagh est un pur produit de la multinationale helvétique.
Cette pharmacienne de formation a fait toute sa carrière au sein du groupe. Discrète, elle est aujourd’hui l’une des figures marquantes de l’industrie du médicament, car elle préside également LEMM, l’association qui regroupe des filiales des multinationales. C’est avec cette double casquette qu’elle mène son combat pour l’accès des patients aux soins... - Lire cet article
Forbes Middle East vient de publier la nouvelle édition de son top 100 personnalités les plus influentes du secteur de la santé en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
Cette année, deux femmes d’affaires tunisiennes se distinguent par leur expertise et leur réussite : Sara Masmoudi, PDG de Kilani Groupe, et Olfa Gam, Directrice Générale de Cytopharma.
À la 52ème place de ce classement, Sara Masmoudi dirige Kilani Group, un acteur majeur de l’industrie pharmaceutique tunisienne. Sous sa houlette depuis 2019, le groupe a connu une croissance significative, notamment grâce à ses filiales TERIAK, ADWYA et MEDICIS. ADWYA, par exemple, a généré un chiffre d’affaires de 37,2 millions de dollars en 2022. Masmoudi étend son influence au-delà des frontières tunisiennes, puisqu’elle occupe également les fonctions de PDG de Cinpharm au Cameroun et en Côte d’Ivoire... - Lire cet article
Les pharmaciens de la région Afrique de l’ouest (Burkina Faso, Sénégal, Côte d’Ivoire, République de Guinée, Benin, Togo) sont venus nombreux pour participer avec leurs confrères maliens, à cette rencontre scientifique de haut niveau qui porte sur le thème : « le rôle et l’impact des assurances maladies sur l’activité pharmaceutique ».
L’accès à la profession de pharmacien selon le président Alou Badra WADE est bien règlementé. À ce titre, le Mali compte à ce jour 650 pharmacies, 70 firmes pharmaceutiques (grossistes), une trentaine de laboratoires d’analyses et beaucoup d’emplois directs et indirects. Il a souligné que la pharmacie contribue considérablement à réduire le taux de chômage et à rehausser l’économie nationale avec le paiement des taxes douanières et des impôts. Cependant, il déplore certaines pratiques qui mettent en danger cette noble profession et en appelle aux deux ministres présents, à prendre des mesures urgentes... - Lire cet article
Il s’agit du projet de décret-loi n° 2.24.728 complétant la loi n° 17-04 portant code du médicament et de la pharmacie, a indiqué le ministre délégué chargé des Relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, lors d'un point de presse à l'issue du Conseil.
Ce projet, a-t-il précisé, intervient dans le sillage des défis engendrés par la pandémie du Covid-19 relatifs à la sécurité médicamenteuse au Maroc, en ce sens que cette crise sanitaire mondiale a révélé le besoin pressant de garantir de manière durable la disponibilité des médicaments, notamment les vaccins, en tant qu’élément essentiel pour lutter contre les crises sanitaires et renforcer les soins de santé... - Lire cet article
Au début de ses travaux, le Conseil du gouvernement suivra un exposé du ministre de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports sur les nouveautés de la rentrée scolaire, avant d’examiner un projet de décret-loi complétant la loi portant Code du médicament et de la pharmacie.
Par la suite, le Conseil examinera cinq projets de décrets, dont le premier fixe les conditions et modalités de délivrance du certificat de reconnaissance officielle de l'aptitude de la part au conditionnement et à la commercialisation, et le second modifiant le décret portant création de la zone franche d’exportation de Tanger Automotive City... - Lire cet article
La variole devenant une urgence sanitaire mondiale, les responsables de la santé mondiale doivent mieux coordonner leurs plans et les sociétés pharmaceutiques doivent être prêtes à rendre les vaccins abordables.
Avant que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC) ne déclarent, à la mi-août, l'épidémie de variole dans un nombre croissant de pays africains comme une urgence de santé publique, on craignait que l'expérience de la pandémie de COVID-19 ne soit pas prise en compte dans cette nouvelle crise de santé publique. La communauté internationale commence maintenant à se ressaisir et certaines leçons sont appliquées. Des vaccins sont disponibles et il est possible d'en fabriquer davantage. En outre, un mécanisme de financement a été mis en place pour les acheter et les distribuer. Mais à d'autres égards, tout n'est pas en ordre dans la lutte pour maîtriser la variole et préserver la vie (et les moyens de subsistance) de millions de personnes en Afrique... - Lire cet article
L’émergence de la variole du singe dans plusieurs pays africains, mettent à rude épreuve la capacité mondiale à fabriquer et à distribuer des vaccins pour lutter contre la menace. De nouvelles options sont nécessaires, et une étude publiée mercredi suggère qu’une autre pourrait se profiler à l’horizon.
Le fabricant de vaccins Moderna a rapporté dans la revue Cell qu’un vaccin à base d’ARN messager mpox qu’il développe était plus protecteur qu’un vaccin fabriqué à partir de la même plateforme que le vaccin Jynneos de Bavarian Nordic dans une étude dans laquelle des primates non humains ont été vaccinés, puis délibérément infectés par le mpox... - Lire cet article
Une récente étude menée par une équipe de chercheurs marocains met en lumière des insuffisances significatives dans la prescription de médicaments psychotropes par des praticiens non spécialisés en psychiatrie. L’étude, qui vise à identifier les pratiques actuelles et les besoins éducatifs, révèle que de nombreux médecins n’ont pas une maîtrise suffisante des traitements des troubles mentaux courants, ce qui pourrait avoir des conséquences graves pour les patients.
L’étude intitulée «Prescription de médicaments psychotropes par des spécialistes non psychiatres au Maroc : pratiques actuelles et besoins éducatifs» a été menée par une dizaine de chercheurs marocains, des facultés de médecine et de pharmacie, des universités Hassan II de Casablanca, Mohammed V de Rabat, Abdelmalek Essaadi de Tanger et du Centre Mohammed VI pour la recherche et l’innovation de Rabat... - Lire cet article
Le Pr Jean-Daniel Lelièvre est immunologiste (Inserm), spécialiste de la vaccination auprès de la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Alors que l’épidémie actuelle de mpox en République démocratique du Congo a été déclarée « urgence de santé publique de portée internationale », il explique pourquoi le manque d’accès au vaccin contre cette maladie émergente fait peser des risques majeurs sur place mais aussi au niveau mondial.
The Conversation : Quels vaccins sont mis à disposition contre le mpox (ou variole simienne) ?
Jean-Daniel Lelièvre : À l’heure actuelle, deux vaccins disposent d’une autorisation de mise sur le marché contre le mpox : le MVA-BN ou MVA (pour Modified Ankara Vaccine développé par Bavarian Nordic, au Danemark) et le LC16m8 (développé par Kaketsuken, au Japon). C’est le MVA qui est commercialisé en France, sous les noms de marques Imvanex et Jynneos (dans d’autres pays, comme au Canada, on le trouve aussi sous le nom Imvamune)... - Lire cet article
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