Bien que l'étude de bioéquivalence assurée, aujourd'hui, au niveau local par le Groupe Saidal soit un un acte volontaire des opérateurs, elle est, fortement, recommandée. Car la bioéquivalence est un facteur-clé pour l'enregistrement des médicaments, notamment le générique, produits localement et un visa pour l'introduction des médicaments fabriqués localement sur les marchés internationaux.
Le Centre de bioéquivalence Equival Biocenter' du Groupe Saidal, agréé par le ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, va lancer, pour la première fois en Algérie, les premières études de bioéquivalence avant la fin de ce mois de juillet. Il s'agit d'études qui seront donc lancées avec l'objectif de réaliser 12 études de bioéquivalence, d'ici la fin de l'année 2024, selon le directeur général du Centre de bioéquivalence du Groupe Saidal, Mourad Touati... - Lire cet article
Le Premier ministre ,Victoire Tomégah-Dogbé, a inauguré jeudi à Lomé les travaux de la 23ème édition du Forum pharmaceutique international (FPI). Cet événement, qui se déroule jusqu’à samedi, réunit des experts de la gestion des médicaments pour débattre des enjeux, défis et perspectives de l’accès universel aux soins.
Les experts internationaux apporteront leur expertise à leurs homologues togolais afin d'améliorer la mise en œuvre du programme d’assurance maladie universelle (AMU) en cours au Togo. Ce forum est particulièrement bienvenu pour les autorités togolaises, qui saluent la mobilisation des pharmaciens face aux défis du secteur de la santé... - Lire cet article
L'accès à l'information, y compris aux documents d'évaluation des agences réglementaires nationales (ARN) de référence, est un élément clé de la prise de décision réglementaire fondée sur le risque. Il permet de comprendre ce qui a été examiné par l'ARN de référence, justifie la prise de décision et favorise la confiance.
Ce CIRS R&D Briefing se concentre sur une étude qui vise à mieux comprendre la fourniture de documents et de rapports d'examen réglementaire - quels types de documents sont demandés, à quelle fréquence et comment ils sont utilisés pour la prise de décision basée sur le risque (par exemple, la confiance). Un autre objectif était de comprendre les perspectives et l'interprétation des rapports d'évaluation non expurgés afin de déterminer si une meilleure terminologie pour les rapports d'évaluation non expurgés pourrait être appropriée. L'étude, qui comprenait deux enquêtes de perception, l'une auprès des entreprises et l'autre auprès des ARN, visait à évaluer l'utilisation et l'importance des documents non publics (par exemple, les rapports d'évaluation complets) et des documents publics (par exemple, les rapports d'évaluation publics) au cours d'une évaluation de la fiabilité. Des réponses ont été reçues de 11 grandes entreprises pharmaceutiques et de 10 ARN au niveau mondial. En raison d'un taux de réponse relativement faible, les résultats ci-dessous ne reflètent pas toujours la situation générale... - Lire cet article
Le ministre de la santé et de la protection sociale, Khalid Ait taleb, fixe de nouvelles modalités concernant les procédures de rappel de lots de médicaments. Les détails.
Un arrêté du ministre de la santé et de la protection sociale, Khalid Ait Taleb fixant les modalités de déclaration d’un incident ou d’un accident et les procédures de rappel de lots a été déposé au Secrétariat général du gouvernement (SGG). L’article 3 dudit arrêté stipule clairement que le retrait du médicament du circuit de distribution doit être réalisé, sans délai, après réception d’une notification du ministère de la santé informant le pharmacien responsable de la décision de suspendre ou de retirer l’autorisation de mise sur le marché du médicament, associée du rappel de lot ou des lots concernés. Ce retrait doit être effectué lorsque le pharmacien responsable a connaissance après commercialisation d’un lot de médicaments, d’un incident ou accident survenu lors de la fabrication, de l’importation ou de la distribution, susceptible d’entraîner un risque pour la santé publique. Le retrait doit être réalisé lorsqu’il s’agit d’un défaut de qualité d’un lot particulier à l’origine d’un effet indésirable dans le cadre de la pharmacovigilance... - Lire cet article
Le plan arrêté pour la relance de l’industrie pharmaceutique au Sénégal va nécessiter un budget de 350 milliards de francs CFA, dont 200 sont déjà mobilisés, appris l’APS du responsable de l’unité de gestion du projet de relance de l’industrie pharmaceutique locale, le professeur Professeur Yérim Mbagnick Diop. “Le budget du plan de relance de l’industrie pharmaceutique, c’est quelque 350 milliards de francs CFA pour les projets publics et privés, et les 200 milliards sont déjà mobilisés”, a-t-il indiqué dans un entretien avec l’APS.
“Le Sénégal veut aller plus loin et être souverain. Nous allons proposer à l’État, aux décideurs de dire que […] d’ici décembre 2025, nous n’allons plus […] importer” une centaine de molécules, mesure qui sera mise en œuvre de concert avec la Pharmacie nationale d’approvisionnement par exemple”, a déclaré le professeur Diop. “C’est une affirmation engageante, s’ils [les industriels] savent que sur les 100 molécules, ils peuvent produire et avoir un retour d’investissements. C’est la prochaine étape sur laquelle nous sommes en train de travailler avec la PNA qui entre temps a changé de statut. C’est important parce que la Pharmacie nationale a tout le marché public, les hôpitaux, il a un rôle à jouer”, a-t-il expliqué... - Lire cet article
La vérité dure à avaler et souvent non dite sur l'état du contrôle effectif des produits médicaux contrefaits de qualité inférieure en Afrique est que la majorité (89%) des pays (en rouge) n'ont tout simplement pas la capacité de contrôler efficacement les médicaments contrefaits de qualité inférieure à l'intérieur de leurs frontières parce que leur niveau de maturité réglementaire est trop faible pour qu'ils disposent des systèmes dont ils ont besoin pour relever le défi de manière efficace. Sur les 54 pays du continent, 48 se situent actuellement aux niveaux 1 et 2 de maturité réglementaire, ce qui signifie généralement qu'ils n'ont pas de système formel ou qu'ils ont un système réactif incapable de contrôler les médicaments contrefaits sur leurs marchés. C'est un fait que nous ne pouvons plus ignorer et que nous devons affronter sans détour pour protéger la sécurité des patients. Avec seulement six pays au niveau de maturité 3, ce qui signifie qu'ils ont un système réglementaire stable, fonctionnel et intégré (c'est-à-dire le Ghana, l'Afrique du Sud, le Zimbabwe, le Nigeria et la Tanzanie) et les autres au niveau ML1/2, cette carte montre que nous avons beaucoup de travail à faire pour protéger la sécurité des patients sur le continent. Personne n'est en sécurité tant que tout le monde ne l'est pas... - Lire cet article
Dakar, 3 juil (APS) – Un bon écosystème réglementaire est nécessaire au développement d’une industrie pharmaceutique, affirme Yérim Mbagnick Diop, responsable de Delivery unit (DU), l’unité de gestion du projet de relance de l’industrie pharmaceutique locale.
“Pour développer l’industrie pharmaceutique, il faut également un environnement réglementaire et un écosystème réglementaire aligné aux standards internationaux”, a déclaré M. Diop, pharmacien et professeur de chimie analytique, dans un entretien accordé à l’APS... - Lire cet article
Nous sommes ravis de présenter notre dernier rapport annuel, qui fournit un résumé des projets, des publications, des ateliers multipartites et des forums techniques des domaines de travail de la réglementation et de l'évaluation des technologies de la santé (ETS) entrepris en 2023. Le rapport comprend également un examen ciblé de notre travail sur les mesures d'étalonnage des agences au fil des ans et de l'impact qu'il a eu dans le paysage pharmaceutique.
L'année 2023 a été particulièrement riche, avec de nombreuses activités visant à clôturer notre programme de recherche 2021-2023 et, dans le même temps, beaucoup de travail de codéveloppement pour façonner notre programme de recherche 2024-2026. Cette planification stratégique a fait l'objet d'un processus complet, à commencer par l'initiative des groupes thématiques, qui a mobilisé des représentants des entreprises membres, des agences de réglementation et d'évaluation des technologies de la santé, ainsi que des établissements d'enseignement. Ces groupes ont apporté des contributions inestimables, suggérant des initiatives de recherche ciblées qui s'alignent sur nos objectifs primordiaux en matière d'engagement des patients, d'utilisation des voies accélérées dans la réglementation et l'impact que cela a sur l'ETS, et d'amélioration de notre collecte de données. Les résultats de cet exercice sont détaillés dans les pages de ce rapport... - Lire cet article
Dans ses premières directives sur le sevrage tabagique (en anglais), l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande un ensemble complet d’interventions, parmi lesquelles une aide comportementale fournie par des prestataires de soins, des méthodes numériques et des traitements pharmacologiques.
Ces directives visent à aider les plus de 750 millions de personnes dans le monde qui souhaitent renoncer au tabac sous toutes ses formes. Les recommandations s’appliquent à tous les adultes qui veulent arrêter de consommer différents produits du tabac comme les cigarettes, les pipes à eau, les produits du tabac sans fumée, les cigares, le tabac à rouler et les produits du tabac chauffés... - Lire cet article
Novo Nordisk nomme Hamza Benharkat au poste de directeur général de la filiale algérienne à compter du 1er juillet. Il succède à Malika de Maillard qui a dirigé avec succès les opérations de Novo Nordisk dans le pays pendant les quatre dernières années.
«Malika de Maillard déménage à Zurich où elle a été nommée responsable du portefeuille diabète pour la région Europe du Sud-Est, Moyen-Orient et Afrique», indique le communiqué de Novo Nordisk. A noter que le nouveau PDG a rejoint Novo Nordisk en 2008 en Algérie dans le domaine de l’analyse des performances et de la finance... - Lire cet article
La responsabilité du Leem ne saurait être engagée au titre d'un site tiers auquel l'Utilisateur aurait accès via un lien hypertexte présent sur le Site. Le Leem ne dispose d'aucun moyen de contrôle du contenu de ces sites tiers. En tout état de cause, le Leem n'est pas responsable de l'indisponibilité des sites tiers, de leur contenu, publicité ou autres éléments disponibles sur ces sites tiers. Plus d'informations
Ce site utilise des Cookies collectant des données pour optimiser votre navigation. Plus d'informations.
Les Entreprises du médicament (LEEM) ont pour missions de représenter et défendre l'industrie du médicament, conduire la politique conventionnelle avec l'Etat, négocier avec les partenaires sociaux, promouvoir et défendre l'éthique.
LEEM, Direction des Affaires publiques
58 bd Gouvion Saint Cyr
75858 Paris CEDEX 17