Dans un contexte où la lutte contre le cancer est devenue une priorité de santé publique, une série de mesures visant à garantir la disponibilité des médicaments anticancéreux d’une manière permanente ont été annoncées par le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun. C’est ce qu’a indiqué un communiqué du ministère.
Ces mesures, présentées lors d’une réunion tenue, lundi, au siège du ministère, s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globale visant à garantir que tous les patients atteints de cancer aient accès aux traitements dont ils ont besoin, et ce, dans les meilleurs délais... - Lire cet article
Le Ministère de l’Industrie et de la Production Pharmaceutique met en garde contre toute pratique frauduleuse dans la distribution de médicaments. Dans un communiqué officiel, il souligne que toute forme de comportements déloyal nuisant à l’approvisionnement en soins sera fermement sanctionnée.
L’objectif est clair : garantir à tous les citoyens un accès sécurisé et constant aux médicaments. Et ce, tout en assurant la transparence et l’intégrité de la chaîne du médicament. Face à des risques de pénurie ou de tensions sur le marché, le ministère rappelle que chaque acteur est responsable de la protection de la santé publique... - Lire cet article
L’Association nationale des pharmaciens algériens (Anpha) vient de publier son rapport sur les cancers en Algérie. Fruit de deux années de rencontres et de débats avec des experts de diverses spécialités, à savoir pharmaciens, cliniciens, économistes de la santé et autres spécialistes à travers les différentes régions du pays et cela en collaboration avec le ministère de la Santé, le rapport s’est, en premier lieu, penché sur la façon d’optimiser le parcours de soins des patients atteins de maladies cancéreuses en Algérie.
A cet effet, le rapport indique que la coordination ville-hôpital «doit être un objectif partagé par l’ensemble des acteurs de santé impliqués dans la prise en charge du cancer». Celle-ci passe par un certain niveau de collaboration entre les protagonistes, à savoir le patient, les aidants et les professionnels, du dépistage à l’après-cancer. «Elle doit tenir compte du patient dans sa globalité, c’est-à-dire de son état physique, avant, pendant et après la maladie, de son contexte psychique et de sa situation socioéconomique», poursuit le rapport... - Lire cet article
Le délai accordé pour la régularisation des dispositifs médicaux présents sur le marché local en vue d'une délivrance de DH1 arrivera à son terme en novembre 2024, qu'est-ce qui est prévu au-delà de cette date ?
Cette question de délai fait partie intégrante du décret de novembre 2020 puisqu'il est fait mention d’une période de régularisation qui arrive effectivement à son terme, pour nous c'est à présent le début d'une nouvelle étape où seuls les dispositifs ayant obtenu leurs décisions d'homologation seront autorisés à être commercialisés. Il faut savoir que ces quatre années depuis la promulgation du décret d'application auront permis à bon nombre d'opérateurs de se conformer à la réglementation de manière volontaire et d'obtenir les décisions d'homologation. A titre d'information voici les premières données qui en découlent : 26% des demandes concernent les DM de classe 1 (à risque potentiel faible), 33% de classe lla (à risque potentiel modéré), 79% de classe llb (à risque potentiel élevé), 22% de classe III (à risque potentiel critique). Aussi et suite à la décision prise par les pouvoirs publics de promouvoir la production nationale, on dénombre près de 132 producteurs locaux de dispositifs médicaux. Parmi les DM fabriqués localement et dont les opérateurs ont soumis un dossier de demande d'homologation, on constate que 30 % sont relatifs aux DMDIV2 et 70% aux différents autres DM. Moins de 5% se sont lancés dans la production de dispositifs de classe III mais cela pourrait être appelé à changer. Ajoutez à cela que l'agence est parvenue à parfaire ses critères de recevabilité des dossiers d'homologation et ses moyens d'expertise. Nous avons également appris à mieux définir les profils de collaborateurs dont nous avons besoin dans le traitement des dossiers. Nous avons effectué, durant cette période, un travail de proximité auprès des demandeurs en explicitant, à chaque fois que cela s'est avéré nécessaire, les dispositions réglementaires notamment celles qui pouvaient sembler comme rédhibitoires et je remercie les organisations professionnelles qui ont apporté de l'assistance auprès de leurs adhérents… - Lire cet article
Le rapport de l'ANPHA portant sur les axes d'amélioration des systèmes de passations des marchés publics en faveur de produit de santé a pour objectif de mettre à la disposition des parties prenantes les propositions essentielles pour une meilleure clarification visant la refondation du dispositif législatif et réglementaire relatif aux marchés publics, tournée vers l'amélioration de l'efficience de l'acte d'achat des produits de santé parmi lesquels les dispositifs médicaux en milieu hospitalier.
L'expression des besoins est une étape importante et obligatoire dans le processus des achats en raison de leurs spécificités. Les DM et les équipements de santé sont soumis tant pour la définition des besoins que de leur acquisition à des dispositions réglementaires spécifiques qui influent directement sur la mise en œuvre des règles d'acquisition, notamment du point de vue des produits eux-mêmes, de leurs quantités finales que du temps de satisfaction des besoins des demandeurs. Une des dispositions de base est l'autorisation, comme c'est le cas dans de nombreuses législations étrangères, de l'identification des références du besoin à satisfaire avec l'obligation d'accepter l'examen des produits aux spécifications équivalentes et à condition que l'appellation utilisée soit suivie des termes de description par ou son équivalent. Dans ce cas, si une telle référence est mentionnée, elle inclut les prestations ayant des caractéristiques équivalentes et qui présentent une performance et une qualité au moins égales à celles qui sont exigées dans le cahier des charges. Cette mesure assure l'égalité de traitement entre les candidats. Sur le plan purement législatif, il faut savoir que la loi n°23-12 du 5 août 2023 fixant les règles générales relatives aux marchés publics prévoit, pour les achats dits communs, la possibilité de recourir à des instruments contractuels qui permettent de faire face aux besoins répétitifs et aléatoires. Il s'agit du marché à commandes, du contrat-programme et des achats groupés. Ces instruments contractuels conviennent tant pour les achats répétitifs que pour les achats caractérisés par une homogénéité des besoins… - Lire cet article
Ali Aoun a donné, lundi à Alger, des instructions à l’effet de faciliter l’enregistrement des médicaments via la plateforme numérique dédiée à cette opération.
Ces instructions sont intervenues lors de la visite de M. Aoun à l’Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP) où il a discuté, par visioconférence, avec les directeurs centraux et les directeurs des annexes régionales de Constantine et d’Oran, et écouté les différents exposés présentés par ces responsables ainsi que les préoccupations des travailleurs, a indiqué un communiqué du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique... - Lire cet article
Plus de 80 exposants prendront part à la 8e édition du Salon professionnel de la pharmacie et de la parapharmacie (Pharmex 2024), qui se déroulera du 24 au 26 octobre prochain au Centre des conventions d’Oran (CCO) Mohamed-Benahmed, selon les informations fournies par les organisateurs.
Cet événement, organisé par l’agence « PHARMEX Communication » sous le thème « Le pharmacien d’officine, un acteur incontournable », rassemblera des professionnels du secteur pharmaceutique, des laboratoires, des distributeurs industriels, des pharmaciens d’officine, des médecins, ainsi que des étudiants en médecine et pharmacie, sans oublier divers services tels que des logiciels, l’édition et le référentiel des médicaments... - Lire cet article
L’Agence africaine de médicaments n’a pas encore de directeur général. L’Union africaine a publié une annonce de recrutement de directeur général de l’Agence africaine de médicaments. Cette annonce, mise en ligne le 30 août 2024, a détaillé les principales fonctions du poste, les diplômes et les responsabilités exigés.
L’offre d’emploi a listé aussi les exigences académiques, l’expérience pertinente et les compétences requises que doivent avoir les postulants.
S’agissant de ses missions principales, le directeur général doit fournir des orientations stratégiques sur l’élaboration des directives administratives du Secrétariat, pour approbation par la Conférence des États parties et fournir des orientations stratégiques sur l’élaboration de règles et de règlements de fonctionnement à adopter par la Conférence des États parties... - Lire cet article
Novo Nordisk Algérie a annoncé le 3 septembre 2024 son intention d’initier l’exportation de stylos à insuline modernes vers le marché africain à partir du mois en cours. Cette décision s’inscrit dans le cadre de la stratégie d’expansion internationale de l’entreprise.
Dans cette optique, le Directeur général de Novo Nordisk Algérie, M. Hamza Benharkat, a souligné la priorité accordée à l’optimisation des installations de fabrication actuelles. Cette approche vise à garantir une disponibilité durable des médicaments innovants pour les patients algériens, tout en exploitant pleinement les capacités de production de l’entreprise.
Pour atteindre ces objectifs, Novo Nordisk Algérie opère deux sites de production en Algérie. Le site de Boufarik (Blida), spécialisé dans la production de stylos à insuline modernes, a réalisé sa première opération d’exportation vers l’Arabie Saoudite en avril 2024. Cette opération, effectuée en trois phases, a concerné 2,5 millions de stylos à insuline, générant un chiffre d’affaires estimé à 11 millions d’euros... - Lire cet article
Dans le monde de la santé et de l’industrie pharmaceutique, les collaborations internationales revêtent une importance cruciale. C’est dans ce contexte que le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique algérien, M. Ali Aoun, a récemment effectué une visite en Tunisie, où il a été reçu par le chef du Gouvernement tunisien, M. Ahmed Hachani. Cette rencontre a été l’occasion de discuter des moyens de renforcer le partenariat bilatéral en matière de développement de l’industrie pharmaceutique entre les deux pays.
La visite de travail de M. Ali Aoun en République de Tunisie a été marquée par des discussions fructueuses sur l’avenir de l’industrie pharmaceutique en Algérie et en Tunisie. Lors de sa rencontre avec le chef du Gouvernement tunisien, les deux parties ont convenu de l’importance de renforcer leur partenariat dans ce secteur vital.
Le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique a partagé les détails de cette rencontre sur sa page officielle Facebook, soulignant l’engagement des deux pays à développer conjointement l’industrie pharmaceutique. Cette démarche témoigne de la volonté de l’Algérie et de la Tunisie de collaborer étroitement pour répondre aux besoins en médicaments de leurs populations respectives et contribuer au développement du secteur pharmaceutique en Afrique du Nord. - Lire cet article
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