Agence marocaine du médicament - Suite à la réunion du comité national des dispositifs médicaux, il a été procédé à l’enregistrement de 543 nouveaux dispositifs médicaux. Ils ont fait l’objet d’un processus d’évaluation approfondi et rigoureux.
L’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS) a annoncé l’enregistrement de 543 nouveaux dispositifs médicaux. Cette décision fait suite à la réunion du Comité national des dispositifs médicaux qui s’est tenue, jeudi 30 octobre, au siège de l’Agence.
Dans un communiqué, l’agence précise que ces dispositifs ont fait l’objet d’un processus d’évaluation approfondi et rigoureux, mené par les experts du comité et les cadres de l’agence, conformément aux normes nationales et internationales en vigueur. Cette évaluation vise à garantir la qualité, la sécurité et l’efficacité des produits enregistrés, contribuant ainsi à l’amélioration de l’offre de soins et à la mise à disposition d’équipements médicaux fiables et performants répondant aux exigences de sécurité et de qualité.
L’agence, en tant qu’autorité de régulation indépendante, réaffirme son engagement constant en faveur des principes de transparence et de professionnalisme. Enfin, l’AMMPS réitère sa détermination à poursuivre le développement des mécanismes d’évaluation et d’enregistrement, dans une démarche d’amélioration continue visant à servir l’intérêt public et à accompagner la réforme globale du système de santé national... - Lire cet article
SHEMS MAARIF - Depuis quelques jours, la Mauritanie débat vivement des réformes majeures annoncées par le ministre de la Santé devant les députés. Lors de cette séance, il a appelé les commerçants et hommes d’affaires à s’éloigner du marché des médicaments, affirmant que la santé publique ne peut être soumise aux seuls intérêts privés.
Cette prise de position fait suite à une série de tentatives infructueuses de précédents ministres, qui ont échoué à réorganiser le secteur et ont quitté leurs postes, laissant un marché en proie à la désorganisation et aux pratiques opaques.
Le Premier ministre Mokhtar Ould Diaye a annoncé que le gouvernement a lancé un programme de contrôle étendu des pharmacies, déjà en cours de mise en œuvre. Dans un message publié sur son compte Facebook, il a insisté sur les efforts pour garantir la qualité des médicaments : « Aucun médicament ne peut désormais entrer dans le pays autrement que par le port ou l’aéroport », a-t-il précisé.
Depuis février 2025, l’entrée des médicaments est soumise à des règles strictes : chaque produit doit être transporté dans un conteneur réfrigéré, enregistré officiellement et disposer d’une autorisation valide. De plus, depuis janvier 2025, tout transfert de médicaments depuis le port vers les entrepôts doit se faire dans des véhicules conformes aux normes de transport, de propreté et de réfrigération.
Pour les trajets de Nouakchott vers l’intérieur du pays, seuls les véhicules agréés figurant sur une liste officielle aux points de contrôle sont autorisés. Mokhtar Ould Diaye a également indiqué que des solutions sont en cours d’étude pour le transport des médicaments depuis les capitales régionales vers les villages, afin d’assurer une couverture nationale complète... - Lire cet article
L’Association Tunisienne de Pharmacologie a organisé aujourd’hui, vendredi 31 octobre 2025, son troisième congrès scientifique sous le thème des « Systèmes de prise en charge et de remboursement des frais de médicaments ».
Dans une déclaration à la Radio Nationale, le Ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a indiqué que la Tunisie est l’un des premiers pays arabes et africains à s’être lancé sur le marché de la fabrication de médicaments, précisant qu’elle produit 70 % de ses besoins en médicaments.
Ferjani a jugé ce pourcentage très important, ajoutant que l’objectif est d’atteindre la souveraineté pharmaceutique. Il a souligné que le congrès d’aujourd’hui travaille à la réalisation de cette souveraineté et au développement des industries pharmaceutiques, notamment en vue de l’existence d’un projet d’usines de biotechnologie.
Le ministre a expliqué que la Tunisie possède les compétences nécessaires et est capable, en coopération avec certains pays comme la Corée du Sud et d’autres, d’établir une industrie dans le domaine de la biotechnologie. Il a souligné que l’une des recommandations les plus importantes qui seront issues du congrès est la publication de protocoles thérapeutiques à cet effet.
Mustapha Ferjani a mentionné qu’une autorité nationale sera créée pour garantir l’équité dans l’accès aux médicaments.
Par ailleurs, le ministre de la Santé a déclaré qu’un projet de loi visant à réglementer le secteur des compléments alimentaires fait partie des priorités du ministère.
Il a révélé dans ce contexte que ce projet de loi verra le jour avant la fin de l’année 2025. Il définira les modalités d’utilisation des compléments alimentaires et leurs mécanismes de promotion, en collaboration et partenariat avec les médecins, les pharmaciens et l’Agence Tunisienne du Médicament, dans le but d’organiser le secteur... - Lire cet article
Les tensions s’accentuent dans le secteur pharmaceutique. Les syndicats de pharmaciens ont adressé une lettre ouverte au chef du gouvernement, dénonçant la « marginalisation » de leur profession. Selon eux, le ministère de la Santé a adopté un nouveau décret sur la fixation des prix des médicaments sans concertation. Une décision qui ravive des frustrations anciennes autour d’un système de tarification jugé inefficace.
Aujourd’hui, les pharmaciens alertent sur une crise de confiance généralisée. Près d’un tiers des pharmacies seraient au bord de la faillite. Pour les représentants professionnels, ce malaise résulte d’un manque de dialogue et d’une absence de vision concertée pour moderniser la chaîne du médicament, de la production à la mise à disposition des patients.
Nouvelles règles pour l’importation des médicaments
Alors que le débat sur la politique pharmaceutique s’enlise, un autre enjeu apparaît : le dédouanement et la circulation des médicaments importés. Les nouvelles dispositions du Code des douanes et des impôts indirects introduisent des changements importants.
À partir du 1er janvier 2026, plusieurs articles du Code seront modifiés, notamment le chapitre IV du titre premier et le chapitre premier du titre IV. Ces révisions renforcent le contrôle sur la destination des marchandises importées, y compris les produits pharmaceutiques. L’article 19 bis oblige tout importateur à déclarer le lieu de stockage ou de transformation des produits.
Pour les médicaments, cela implique une traçabilité renforcée dès l’entrée sur le territoire. L’administration pourra vérifier la cohérence entre la nature des produits, les autorisations détenues et leur lieu d’entreposage ou de transformation. Objectif : lutter contre les détournements et sécuriser un secteur exposé à la contrefaçon et aux circuits parallèles.
Vers une dématérialisation des formalités
Autre avancée majeure : la création d’une plateforme électronique agréée par les douanes, prévue par l’article 76 ter. Elle permettra le dépôt et la transmission automatisée et sécurisée des documents commerciaux liés aux déclarations. Pour les importateurs de médicaments, cette innovation simplifie et sécurise le dédouanement.
Jusqu’ici, les certificats d’analyse, autorisations sanitaires et certificats d’origine étaient traités en grande partie sur support papier. L’automatisation devrait réduire les délais et limiter les erreurs ou falsifications. Elle permettra aussi de croiser les données en temps réel avec les ministères de la Santé et du Commerce. Résultat : une traçabilité complète du médicament, de la fabrication à sa mise en circulation, et un contrôle plus efficace contre les fraudes... - Lire cet article
Sur les réseaux sociaux, notamment à travers des publications et vidéos, plusieurs malades du cancer dénoncent une situation alarmante. Selon leurs témoignages, il leur est désormais impossible d’obtenir leurs médicaments, les ordonnances des assurés de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) étant systématiquement refusées dans les pharmacies. Une conséquence directe de la dette non réglée de la CNAMGS, récemment pointée du doigt par la présidente du Syndicat des pharmaciens du Gabon (Sypharga), le Dr. Itou-Y-Maganga.
Une publication datée du 28 octobre 2025, relayée par la page Les Anges gardiens du Gabon, indique que les ordonnances CNAMGS du service de cancérologie ne sont actuellement plus honorées dans plusieurs structures pharmaceutiques. Dans le même sens, une compatriote engagée dans la lutte contre le cancer a témoigné que sa sœur, décédée des suites de la maladie, avait été contrainte de dépenser des sommes colossales pour se soigner sans bénéficier de la couverture maladie. Ces interpellations ont conduit Gabon Media Time à s’enquérir de la situation.
La dette de la CNAMGS à l’origine du mal des pharmacies
Contacté par Gabon Media Time, le Dr. Itou-Y-Maganga a confirmé l’ampleur du problème, expliquant que la dette colossale de la CNAMGS a entraîné des conséquences dramatiques, notamment la privation de milliers de patients de leurs traitements essentiels. « Aujourd’hui, les encours des structures pharmaceutiques font que nos fournisseurs ne peuvent plus nous donner des médicaments à crédit. Donc si on ne paye pas on est pas livrer, c’est pour cela que nous sommes dans l’incapacité pour beaucoup à continuer à fournir un service. Les produits n’appartiennent pas aux officines, donc les fournisseurs demandent d’être payé pour être livré » a-t-elle confié... - Lire cet article
De nombreux patients marocains se plaignent de l’absence du médicament antidépresseur « Ludiomil » dans les pharmacies, après son retrait du marché national en raison d’impuretés détectées dans sa substance active, tandis que les traitements de substitution disponibles se révèlent peu efficaces selon eux.
L’Agence marocaine des médicaments et des produits de santé avait annoncé en août dernier le retrait du Ludiomil après la découverte de niveaux élevés d’impuretés dans sa substance active, classées parmi les « substances cancérigènes », une décision prise également en France pour les mêmes raisons.
Plusieurs patients, qui suivaient un traitement contre la dépression à base de Ludiomil depuis de nombreuses années, affirment que la disparition du médicament a fortement perturbé leur prise en charge, et que les médicaments alternatifs prescrits ne produisent pas les mêmes effets.
Certains témoignent avoir essayé plusieurs substituts, sans amélioration notable de leur état, soulignant que ces traitements alternatifs sont parfois difficiles à trouver, voire inexistants au Maroc.
Des sources professionnelles du secteur pharmaceutique rappellent que le Ludiomil appartient à la catégorie des psychotropes, délivrés uniquement sur ordonnance médicale, et recommandent aux patients concernés de consulter à nouveau leur médecin pour ajuster le traitement... - Lire cet article
Plus de 80% des employés de l’Agence Marocaine du Médicament et des Produits de Santé (AMMPS) auraient demandé à réintégrer leurs postes d’origine, précise un communiqué de l’UMT, soulignant un climat social tendu au sein de l’établissement. Le syndicat appelle à l’intervention urgente du ministre de la Santé, alors que l’Agence doit poursuivre son chantier de modernisation et assurer la régulation du marché pharmaceutique national.
Moins d’un an après le démarrage effectif de ses activités, l’Agence Marocaine du Médicament et des Produits de Santé (AMMPS) semble déjà traverser des tensions internes, d’après la centrale syndicale et des sources dans le secteur pharmaceutique. Un mouvement de « fin de détachement collectif » serait en préparation au sein de l’Agence, chargée de réguler le marché du médicament marocain. Si cette information s’avère vraie, le risque de paralysie des mécanismes d’évaluation et de contrôle des produits de santé compromettrait la stabilité de la chaîne d’approvisionnement nationale. Contacté à ce sujet, le ministère de la Santé et de la Protection sociale n’avait pas encore répondu à notre sollicitation au moment de la publication de cet article. Le bureau national du syndicat de l’AMMPS, membre de la Fédération nationale de la santé affiliée à l’Union marocaine du travail (UMT), a, lui, adressé le 28 octobre une demande urgente de réunion avec le ministre afin d’examiner les mesures nécessaires à la réintégration du personnel de l’Agence dans leurs postes d’origine au sein du ministère de la Santé.
Le personnel réclamerait un retour à ses postes d’origine
Dans cette lettre, dont « Le Matin » détient copie, le Bureau National du syndicat de l’AMMPS rappelle que, conformément à l’article 19 de la loi n°10-22 relative à la création de l’Agence, la durée de rattachement temporaire des fonctionnaires et employés est fixée à six mois à compter du 1er juin 2025, échéance prévue le 30 novembre 2025. À l’approche de cette date, et afin d’éviter tout vide administratif ou dysfonctionnement, le Bureau indique avoir tenu une réunion élargie le 22 octobre 2025 pour examiner les répercussions de cette échéance. « Les participants ont, en effet, exprimé leur intention et leur détermination de ne pas poursuivre leur mission au sein de l’Agence et de mettre leur expertise à nouveau au service de l’administration centrale, surtout que celle-ci a récemment connu une refonte offrant plus d’opportunités de carrière », précise la même source. Ces constats, dit le syndicat, ont été confirmés par l’évaluation menée vendredi dernier sous la supervision du bureau national de l’Agence relevant du syndicat, qui révèle que plus de 80% des employés auraient souhaité réintégrer leurs postes d’origine. La même source note que 20% seulement des fonctionnaires détachés auraient marqué leur souhait de rester au sein de l’Agence, à condition de bénéficier des mêmes avantages que ceux prévus par le décret n°2-21-344 relatif à la formule de rattachement. Fort de ces constats, le bureau a demandé au ministre de donner ses instructions aux services compétents, pour organiser une réunion urgente, sous la supervision de la Fédération nationale de la santé, afin d’étudier les modalités pratiques et les dispositions nécessaires à la réintégration des fonctionnaires concernés avant le 30 novembre 2025, conformément aux dispositions légales en vigueur.
Inquiétudes au sein du secteur pharmaceutique
Du côté des laboratoires pharmaceutiques, l’inquiétude est perceptible... - Lire cet article
L’Ordre national des pharmaciens du Burkina Faso a ouvert son 10e Congrès ordinaire et sa 6e Journée le mercredi 29 octobre 2025, à Ouagadougou. La rencontre se tient du 29 au 31 octobre 2025 sous le thème « Souveraineté pharmaceutique du Burkina Faso : Défis et opportunités ».
Durant quarante-huit heures, les professionnels du secteur pharmaceutique du Burkina Faso, ainsi que certains du Mali, du Niger, de Côte d’Ivoire, de Guinée Conakry, du Togo, de Belgique et de Guadeloupe, vont échanger autour du thème « Souveraineté pharmaceutique du Burkina Faso : Défis et opportunités ».
Pour Dr Nédié Nao, président du comité national de l’Ordre des pharmaciens du Burkina Faso, il s’agira pour l’ensemble des participants de s’imprégner davantage des enjeux liés à cette souveraineté pharmaceutique, d’identifier les défis et de dégager des stratégies pertinentes et opérationnelles qui garantissent sa mise en œuvre efficace.
« La souveraineté pharmaceutique n’est pas un vœu pieux. C’est un projet de société ambitieux qui vise à garantir à notre pays l’indépendance sanitaire et l’accès à des médicaments de qualité, produits localement dans le respect des normes les plus strictes. Cependant, pour sa mise en œuvre efficace, elle exige une volonté politique forte, un environnement favorable à l’innovation et à l’industrialisation », a-t-il expliqué.
En outre, il a assuré que l’objectif est qu’à l’issue du congrès, les participants émettent des recommandations pertinentes qui serviront de fondement pour des réformes structurelles et profondes en faveur de l’industrialisation du secteur pharmaceutique au Burkina Faso... - Lire cet article
Une initiative visant à améliorer l’accès à des traitements de la Dysfonction érectile (DE) de qualité et à coût réduit a été annoncée pour cinq pays d’Afrique subsaharienne, à savoir le Nigeria, le Kenya, le Ghana, le Sénégal et la Côte d’Ivoire, rapporte un communiqué transmis jeudi 30 octobre 2025 à l’AIP.
Selon les initiateurs du projet, notamment Viatris, une entreprise mondiale de soins de santé dont la mission est de permettre aux personnes du monde entier de vivre en meilleure santé à chaque étape de leur vie, la démarche vise à faciliter la prise en charge médicale d’un problème de santé masculine encore largement tabou dans plusieurs pays du continent.
Des études indiquent qu’un homme sur trois souffrant de DE ne consulte pas de professionnel de santé, en raison de la stigmatisation ou d’une méconnaissance du trouble.
Le sildénafil, approuvé depuis 1998 comme traitement de première intention contre la dysfonction érectile, est recommandé par plusieurs sociétés scientifiques internationales, dont l’Association européenne d’urologie (EAU) et l’Association américaine d’urologie (AUA).v
« Depuis plus de 25 ans, le sildénafil est un traitement fiable et bien toléré qui a aidé des millions d’hommes à retrouver leur confiance et à améliorer leur qualité de vie », a déclaré le responsable des marchés en Inde et des marchés d’accès (ARV, Inde, Afrique du Sud et Afrique subsaharienne) chez Viatris, Arvind Kanda.
L’entreprise à l’origine du programme entend également promouvoir une meilleure sensibilisation autour du sujet, estimant que la dysfonction érectile demeure un indicateur possible d’autres pathologies, notamment le diabète, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension ou encore la dépression... - Lire cet article
Dakar, le 28 octobre 2025 — La capitale sénégalaise a accueilli ce mardi la cérémonie officielle d’ouverture de la 8ᵉ édition du Forum Galien Afrique, placée sous le thème : « Souveraineté sanitaire : un impératif pour l’Afrique ».
L’événement a été présidé par le Professeur Ibrahima Sy, ministre de la Santé et de l’Action sociale, représentant le Premier ministre du Sénégal, Monsieur Ousmane Sonko, en présence de la Professeure Eva Marie Coll Seck, présidente de Galien Afrique et ancienne ministre de la Santé du Sénégal, de Dr Magda Robalo, coprésidente du Comité scientifique international du Forum et ancienne ministre de la Santé de la Guinée-Bissau, ainsi que de Dr Abdourahmane Diallo, directeur de la gestion des programmes à l’OMS, Bureau régional pour l’Afrique.
Étaient également présents de nombreux partenaires techniques et financiers, chercheurs, industriels, jeunes innovateurs et acteurs institutionnels venus des quatre coins du continent et d’ailleurs.
Dans son allocution d’ouverture, le ministre Ibrahima Sy, représentant le Premier ministre, a transmis les salutations et encouragements du gouvernement du Sénégal aux participants. Il a rappelé que la crise de la COVID-19 a révélé « les fragilités profondes de nos systèmes de santé, les injustices dans l’accès aux vaccins et la dépendance excessive vis-à-vis des importations de médicaments et de produits sanitaires ».
Toutefois, a-t-il souligné, cette crise a également mis en lumière le potentiel africain : « L’Afrique dispose d’un capital humain, scientifique et industriel considérable. Elle doit désormais prendre en main son destin sanitaire. La souveraineté sanitaire n’est pas un slogan, mais une exigence vitale. »
Le ministre a mis en avant les avancées notables du Sénégal, notamment l’élargissement de la couverture sanitaire universelle, le projet Mandiba pour la production locale de produits de santé, et la digitalisation du système sanitaire.
Cependant, il a aussi rappelé les défis persistants, tels que la faiblesse du financement domestique et les inégalités d’accès aux soins. « La souveraineté sanitaire repose sur quatre piliers : la construction et l’équipement des structures de santé, la valorisation du capital humain, la production locale de vaccins et médicaments, et le financement endogène. Elle est avant tout une responsabilité politique », a-t-il martelé... - Lire cet article
La responsabilité du Leem ne saurait être engagée au titre d'un site tiers auquel l'Utilisateur aurait accès via un lien hypertexte présent sur le Site. Le Leem ne dispose d'aucun moyen de contrôle du contenu de ces sites tiers. En tout état de cause, le Leem n'est pas responsable de l'indisponibilité des sites tiers, de leur contenu, publicité ou autres éléments disponibles sur ces sites tiers. Plus d'informations
Ce site utilise des Cookies collectant des données pour optimiser votre navigation. Plus d'informations.
Les Entreprises du médicament (LEEM) ont pour missions de représenter et défendre l'industrie du médicament, conduire la politique conventionnelle avec l'Etat, négocier avec les partenaires sociaux, promouvoir et défendre l'éthique.
LEEM, Direction des Affaires publiques
58 bd Gouvion Saint Cyr
75858 Paris CEDEX 17