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Revue de presse


Lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme : le Cameroun face aux nouveaux défis du financement international - 22/05/2025 - Ministère de la santé publique - Cameroun - Cameroun

En marge des rencontres stratégiques qui se tiennent à Genève, le Ministre de la Santé Publique du Cameroun, Dr MANAOUDA Malachie, a eu une audience à huis clos avec les hauts responsables du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. Parmi les interlocuteurs de marque figurait M. Mark Eldon-Edington, Chef de la Division de la gestion des subventions.

Cette réunion à caractère technique et stratégique a permis de faire le point sur les relations entre le Cameroun et le Fonds mondial, qui a déjà mobilisé près de 1,3 milliard de dollars en faveur du système de santé camerounais au fil des années.

L’un des sujets les plus sensibles abordés a été l’impact de la suspension partielle des financements américains, partenaire qui représente à lui seul environ un tiers des contributions au budget du Fonds mondial. Un changement de paradigme s’impose : « Ce ne sera plus comme avant », a reconnu une source proche des échanges. Les États-Unis ne pourront plus assumer la totalité des financements qu’ils soutenaient jusqu’ici.

Face à cette réalité, un réajustement stratégique des activités a été convenu. Les parties se sont accordées sur la réduction des interventions non essentielles afin de préserver les actions vitales pour la population. Le Cameroun devra en parallèle respecter ses engagements de cofinancement, sous peine de voir ses subventions réduites de 20 %. À ce sujet, le rapport de cofinancement pour l’exercice 2024 a déjà été transmis au Fonds mondial.

Le Ministre a également tenu à rassurer sur la destruction effective des produits pharmaceutiques périmés, désormais achevée dans les dix régions du pays. Une mesure saluée pour son importance dans la gestion des risques sanitaires. - Lire cet article


Saviez-vous que l'Agence africaine du médicament (AMA) dispose d'un chef intérimaire de son secrétariat ? Rencontrez le Dr. Benjamin Djoudalbaye qui occupe ce poste - 22/05/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Rencontrez le Dr Benjamin DJOUDALBAYE, chef intérimaire du secrétariat de l'Agence africaine du médicament. Il est un leader chevronné de la santé publique mondiale avec plus de 22 ans d'expérience dédiée à l'amélioration des résultats de santé à travers l'Afrique. Médecin de formation, il est titulaire de diplômes d'études supérieures en santé publique et en maladies infectieuses. Il apporte à ce poste une grande expertise dans la conception, la gestion et l'évaluation de programmes de santé à grande échelle, notamment dans les domaines du VIH/SIDA, de la tuberculose, du paludisme, d'Ebola et de la santé maternelle et infantile.

Benjamin Djoudalbaye est actuellement à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA), tandis que l'agence se prépare à annoncer le nom du nouveau directeur général désigné. L'Union africaine (UA) a officiellement annoncé la nomination du Dr. Benjamin DJOUDALBAYE à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA) lors de l'inauguration du siège de l'AMA à Kigali, au Rwanda, le 1er novembre 2024. Dans ses remarques, S.E. Amb. Minata Samate Cessouma, alors Commissaire de l'UA pour la santé, les affaires humanitaires et le développement social, a souligné le rôle de leadership du Dr. Djoudalbaye dans le Secrétariat intérimaire, soulignant l'importance de ce poste pour faire avancer l'opérationnalisation de l'AMA.

Le Dr Djoudalbaye dirige actuellement les efforts visant à établir un cadre réglementaire unifié pour les médicaments et les technologies de la santé sur l'ensemble du continent africain. D'une certaine manière, on pourrait dire que son rôle consiste à préparer le terrain et à faire avancer le programme de l'AMA pendant que les préparatifs pour le directeur général désigné sont en cours. Sa nomination à ce poste clé s'appuie sur une longue carrière à la pointe de la santé publique, notamment en tant que haut responsable de l'Africa CDC et de la réponse de l'Union africaine aux principales urgences sanitaires.

Tout au long de sa carrière, le Dr Djoudalbaye a fait preuve d'une capacité unique à diriger des équipes multidisciplinaires et à naviguer dans des contextes sanitaires et humanitaires complexes. Il a collaboré étroitement avec des chefs d'État, des ministres, des donateurs mondiaux et des dirigeants de la société civile afin d'obtenir des ressources, de faire évoluer les politiques et de renforcer les systèmes de santé. Son travail dans les situations d'urgence en matière de santé publique a aiguisé sa capacité à anticiper et à répondre aux menaces émergentes tout en développant des solutions durables à long terme.

M. Djoudalbaye parle couramment l'anglais et le français, ce qui constitue un atout majeur pour aider le nouveau directeur général à naviguer efficacement sur le continent. Il est un chercheur publié qui allie l'excellence technique à la diplomatie stratégique. Sous sa direction, l'AMA est prête à se transformer pour passer sous la houlette du futur directeur général, qui travaillera sans aucun doute à ses côtés pour faire du projet d'Agence africaine du médicament un succès. - Lire cet article


Une « urgence en matière de financement de la santé » doit conduire à des solutions nationales fondées sur des données - 21/05/2025 - Organisation Mondiale de la Santé - International

Les ministres de plusieurs pays touchés par les coupes brutales dans les financements extérieurs destinés à la santé ont convenu de la nécessité urgente de mettre en œuvre des stratégies nationales et de se concentrer sur les données relatives à la santé lors d'un dialogue ministériel coorganisé par l'OMS et la Fondation Susan Thompson Buffett lors de la 78e Assemblée mondiale de la Santé.

Dans leurs allocutions liminaires, le professeur Senait Fisseha, vice-président des programmes mondiaux de la Fondation Susan Thompson Buffett, et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, ont donné le ton en soulignant que la crise offre l'occasion de changer radicalement la manière dont les politiques de financement de la santé et les systèmes de données sanitaires sont élaborés et mis en œuvre.

Plus précisément, le moment est venu pour les pays de réduire leur dépendance à l'égard des systèmes d'information sanitaire et des financements extérieurs, de développer leur infrastructure nationale de données, depuis les statistiques vitales jusqu'à l'impact en aval et au retour sur investissement, et de mettre en place des systèmes résilients conçus pour résister aux chocs, afin de protéger l'accès aux services essentiels... - Lire cet article


Industrie pharmaceutique : Saidal signe deux mémorandums d'entente avec deux laboratoires privés pour la production de traitements innovants - 21/05/2025 - Algérie Presse Service - Algérie

ALGER- Le Groupe Saidal a signé, mardi à Alger, deux mémorandums d'entente avec deux laboratoires privés, en vue de renforcer la coopération en matière de développement et de production des traitements innovants, indique un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique

Il s'agit des laboratoires "Orion Lab" sis à Oran, et "Democedes Pharma Algérie" basé à Ain M'lila (Oum El-Bouaghi), ajoute le communiqué.

La cérémonie de signature s'est déroulée au niveau du siège du Groupe Saidal, sous la supervision du Secrétaire général (SG) du ministre de l'Industrie pharmaceutique, Khaled Dahane, en présence de cadres du ministère et des deux laboratoires privés.

A travers ces mémorandums, le Groupe Saidal et les deux laboratoires conjugueront leurs efforts afin d'assurer l'échange d'expériences et de technologies innovantes pour développer des solutions thérapeutiques "avancées et efficaces" aux patients en Algérie, précise la même source.

Cette démarche s'inscrit dans le cadre de "la mise en œuvre de la feuille de route du mini stère de l'Industrie pharmaceutique pour l'année 2025, portant consolidation du partenariat efficace entre les secteurs public et privé, en vue d'assurer la disponibilité locale des traitements et de renforcer la sécurité sanitaire, conformément aux orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. - Lire cet article


Lait infantile: Hygiena devient le premier fabricant à obtenir la validation ISO 16140-2 - 20/05/2025 - Le soleil - Sénégal

Hygiena devient le premier fabricant à obtenir la validation ISO 16140-2 pour la détection de Salmonella et Cronobacter par RT-PCR multiplex. Leader mondial en diagnostics One Health et en solutions de sécurité des aliments, il établit un nouveau standard avec le lancement de sa méthode innovante, foodproof Salmonella plus Cronobacter Detection LyoKit.

Cette solution est le premier test PCR approuvé ISO 16140-2 qui permet à l’industrie des poudres de lait infantiles de détecter simultanément Salmonella spp. et Cronobacter spp. dans un seul essai. Elle garantit une efficacité inégalée tout en assurant une conformité réglementaire optimale, répondant ainsi aux exigences les plus strictes de ce secteur.

« Chez Hygiena, notre engagement est d’offrir des solutions qui non seulement respectent mais dépassent les standards de l’industrie en matière de sécurité des aliments, » a déclaré Steve Nason, PDG de Hygiena. Foodproof Salmonella plus Cronobacter Detection LyoKit est certifié selon la norme ISO 16140-2 par AFNOR Certification, attestant de ses performances. Cette validation assure une détection fiable dans les poudres de laits infantiles (avec et sans probiotiques), les ingrédients de production, ainsi que dans les échantillons de l’environnement de production... - Lire cet article


Les dirigeants mondiaux réaffirment leur engagement en faveur de l'OMS en recueillant au moins 170 millions de dollars lors de la cérémonie d'annonce de contributions à l'Assemblée mondiale de la santé 2025 - 20/05/2025 - Organisation Mondiale de la Santé - International

Les dirigeants du monde entier se sont engagés à verser au moins 170 millions de dollars supplémentaires à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) lors d'une réunion de haut niveau organisée mardi dans le cadre de la soixante-dix-huitième Assemblée mondiale de la santé à Genève. Face à l'augmentation des défis sanitaires mondiaux, les dirigeants ont réaffirmé leur soutien à la coopération multilatérale par le biais de ces contributions au cycle d'investissement (RI) de l'OMS. Plus tôt dans la journée, les États membres ont approuvé une augmentation des contributions mises en recouvrement, ajoutant 90 millions de dollars par an de recettes et marquant une nouvelle étape importante sur la voie du financement durable de l'OMS.

The IR is raising funds for WHO’s strategy for global health, the Fourteenth General Programme of Work, which can save an additional 40 million lives over the next four years. The pledges made today represent significant contributions from both governments and philanthropic partners.

“I am grateful to every Member State and partner that has pledged towards the investment round. In a challenging climate for global health, these funds will help us to preserve and extend our life-saving work,” said Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, WHO Director-General. “They show that multilateralism is alive and well.”

Both long-standing allies and new contributors stepped up at today’s pledging event, broadening WHO’s donor base with fresh voluntary funding. Moderated by Mr Moazzam Malik, CEO of Save the Children UK, the event and the World Health Assembly featured pledges from Angola, Cambodia, China, Gabon, Mongolia, Qatar, Sweden, Switzerland, Tanzania, The ELMA Vaccines and Immunization Foundation (with the WHO Foundation), Fondation Botnar, Laerdal Global Health (with the WHO Foundation), the Nippon Foundation and the Novo Nordisk Foundation. The Children’s Investment Fund Foundation announced an additional US$ 13 million and committed to further increases in funding... - Lire cet article


L’Assemblée mondiale de la Santé s’engage à une augmentation historique de 20 % des contributions fixées (cotisations des membres) et approuve le budget programme de base de l’OMS pour 2026-2027 s’élevant à 4,2 milliards USD - 20/05/2025 - Organisation Mondiale de la Santé - International

Les déléguées et délégués présents à la Soixante-Dix-Huitième Assemblée mondiale de la Santé ont approuvé le budget programme de base de 4,2 milliards USD pour 2026-2027, le premier à être entièrement établi sur la base du quatorzième programme général de travail, 2025-2028 (quatorzième PGT), lequel définit la stratégie mondiale pour la santé pour les quatre prochaines années. Le quatorzième PGT accorde la priorité à la promotion de l’équité en santé et au renforcement de la résilience des systèmes de santé.

Le budget présenté à la Commission A de l’Assemblée de la Santé a été réduit par rapport aux 5,3 milliards USD initialement présentés au Conseil exécutif en février dernier, compte tenu du contexte financier difficile. Tout en réduisant certains budgets régionaux ainsi que les budgets du Siège, les États Membres sont convenus de tenter de préserver les budgets nationaux dans la mesure du possible. Les ressources allouées dans le cadre du budget serviront à améliorer la coopération technique, à favoriser les partenariats et à faciliter la réalisation des cibles nationales et mondiales liées à la santé. Le projet de budget programme 2026-2027 réaffirme également le rôle indispensable du multilatéralisme pour relever les défis sanitaires complexes et interdépendants d’aujourd’hui... - Lire cet article


L'Assemblée mondiale de la santé adopte un accord historique sur les pandémies afin de rendre le monde plus équitable et plus sûr face aux futures pandémies - 20/05/2025 - Organisation Mondiale de la Santé - International

20 mai 2025 - Genève : Les États membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont officiellement adopté aujourd'hui par consensus le premier accord mondial sur les pandémies. Cette décision historique prise par la 78e Assemblée mondiale de la santé est l'aboutissement de plus de trois ans de négociations intensives lancées par les gouvernements en réponse aux effets dévastateurs de la pandémie de COVID-19, et motivées par l'objectif de rendre le monde plus sûr face aux futures pandémies et plus équitable dans la riposte à ces pandémies.

"Le monde est plus sûr aujourd'hui grâce au leadership, à la collaboration et à l'engagement de nos États membres qui ont adopté l'Accord historique de l'OMS sur les pandémies", a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS. "Cet accord est une victoire pour la santé publique, la science et l'action multilatérale. Il nous permettra, collectivement, de mieux protéger le monde contre les futures menaces de pandémie. Il constitue également une reconnaissance par la communauté internationale du fait que nos citoyens, nos sociétés et nos économies ne doivent pas être laissés dans une situation de vulnérabilité et subir à nouveau des pertes telles que celles subies lors de la grippe aviaire de type 19."... - Lire cet article


78e Assemblée mondiale de la santé : Le Cameroun siège désormais à la Commission Générale de l’OMS - 19/05/2025 - Ministère de la santé publique - Cameroun - Cameroun

Une victoire éclatante pour la diplomatie sanitaire nationale.

Le Cameroun vient d’enregistrer une nouvelle avancée stratégique sur l’échiquier de la diplomatie sanitaire internationale. À l’occasion de la 78e Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui s’ouvre ce jour au Palais des Nations à Genève, notre pays a été officiellement désigné pour siéger au sein de la Commission Générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), un organe décisionnel de tout premier plan.

Cette reconnaissance internationale marque un tournant dans l’histoire de la présence camerounaise dans les instances sanitaires mondiales, et illustre de manière éclatante la montée en puissance du leadership de notre pays sur les questions de santé globale.

Une instance stratégique pour l’OMS

La Commission Générale joue un rôle fondamental dans la gouvernance de l’OMS. C’est elle qui examine et valide le budget-programme de l’organisation, statue sur les grandes orientations politiques, nomme le Directeur Général de l’OMS, et supervise les politiques financières de l’organisation. Être membre de cette commission, c’est donc être au cœur des décisions structurantes qui façonnent l’avenir de la santé publique mondiale.

Une désignation méritée et portée par une diplomatie active

Cette désignation du n’est pas le fruit du hasard. Elle est l’aboutissement d’un engagement constant et stratégique du Chef de l’État, Son Excellence Paul BIYA, qui a personnellement mandaté une délégation de haut niveau pour porter la voix du Cameroun dans cette enceinte internationale... - Lire cet article


Le Professeur Jean-Rosaire IBARA représente le Congo à la 27ème édition des Rencontres francophones de la santé - 18/05/2025 - Ministère de la santé et de la population - République du Congo - Congo

À la veille de la 78ème session de l’Assemblée mondiale de la Santé, le Professeur Jean-Rosaire IBARA, Ministre de la Santé et de la Population, a participé activement à la 27ème édition des Rencontres francophones de la santé à Genève.

Cette rencontre de haut niveau, organisée conjointement par le Leem (Les Entreprises du Médicament) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), s’est tenue sous le thème évocateur : « Pas de santé sans talents – mettre les compétences au cœur des enjeux de santé, cultiver les vocations, retenir les experts ».

L’événement a réuni près de 150 participants, dont plusieurs ministres francophones de la santé, des responsables d’organisations internationales, des représentants des industries pharmaceutiques et des experts de santé publique mondiale.

Cette mobilisation répond à un défi majeur : selon les projections, le monde pourrait faire face à une pénurie de 11 millions de professionnels de santé d’ici 2030, une situation particulièrement préoccupante pour les pays francophones, notamment en Afrique.

Dans son intervention, le Professeur Jean-Rosaire IBARA a dressé un constat sans complaisance des défis auxquels font face les pays d’Afrique francophone en matière de formation médicale. Il a notamment souligné le problème persistant de la fuite des cerveaux, qui voit de nombreux cadres formés ou spécialisés en Europe choisir d’y rester plutôt que de revenir exercer dans leur pays d’origine.

Face à cette situation, le Ministre a présenté l’approche stratégique adoptée par la République du Congo ces dernières années. Il a mis en lumière les efforts considérables déployés par le gouvernement congolais pour former un nombre important de médecins et d’autres personnels de santé à Cuba, avec comme résultat tangible le retour de ces professionnels au Congo à l’issue de leur formation.

Cette initiative permet aujourd’hui de renforcer significativement l’offre de soins et services de santé du pays, tout en constituant un exemple concret de mesure efficace contre l’exode des compétences médicales.

Les discussions ont également mis en avant l’importance des partenariats entre secteurs public et privé comme leviers essentiels pour renforcer la formation, améliorer l’attractivité des carrières médicales et fidéliser les talents dans le domaine de la santé.
Ces partenariats apparaissent comme une voie prometteuse pour développer des solutions durables aux défis complexes que représentent la formation et la rétention des professionnels de santé, particulièrement dans les contextes où les ressources sont limitées.

Cette 27ème édition des Rencontres francophones de la santé a souligné l’urgence d’une coopération renforcée entre les pays de l’espace francophone pour répondre efficacement aux défis communs que représentent la consolidation des systèmes de santé et la lutte contre les pénuries de médicaments.

La participation active du Professeur Jean-Rosaire IBARA à cet événement illustre l’engagement de la République du Congo à contribuer aux efforts collectifs et à partager son expérience en matière de formation et de fidélisation des professionnels de santé. - Lire cet article




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