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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Amsterdam | Coopération AMA – EMA - Renforcer les partenariats pour une régulation pharmaceutique souveraine en Afrique - 11/06/2025 - Agence béninoise du Médicament et des autres produits de santé - Panafricain

J’ai l’honneur de conduire une délégation du Conseil d’administration de l’Agence Africaine du Médicament (AMA) à Amsterdam afin de participer à une rencontre stratégique de deux jours avec l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) et son Conseil d’administration.

Cette réunion marque une étape clé dans le renforcement de la coopération entre ces deux institutions réglementaires continentales pour l’harmonisation réglementaire, l’accès équitable aux médicaments de qualité, et la lutte contre les produits falsifiés.

Le modèle du réseau européen des régulateurs (EMRN) nous inspire dans la mise en place d’un réseau africain fort, interconnecté, et capable d’agir collectivement au service de la santé publique. Les procédures d’autorisation nationales et centralisées essentiellement basées sur la confiance réglementaire (Reliance) constituent un exemple de succès qui permet de garantir la même qualité de produits sur l’espace européen.

En tant que Président du Conseil d’Administration de l’AMA, j’ai souligné l’importance d’un partenariat fondé sur la réciprocité, la confiance et l’action commune. L’AMA, avec ses comités techniques et son réseau d’experts, est prête à relever les défis de qualité des produits médicaux sur le continent, aux côtés de ses partenaires.
Un grand merci à l’EMA pour son accueil chaleureux et son soutien constant.
Ensemble, bâtissons une régulation de qualité, au service des populations africaines.

Docteur Yossounon Chabi
Directeur Général de l'Agence Béninoise du Médicament et des autres produits de santé - Lire cet article


La directrice de l'Agence ghanéenne des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) a été nommée directrice de l'Agence africaine des médicaments de l'Union africaine. - 04/06/2025 - GhanaWeb - Panafricain

Le Ghana a remporté l'appel d'offres pour diriger l'Afrique dans la création de l'Agence africaine des médicaments.

La directrice générale de l'Agence de sécurité sanitaire des aliments et des médicaments (FDA), le Dr Delese Mimi Darko, a été nommée à la tête de l'Agence africaine des médicaments.

C'est une excellente nouvelle pour le pays, puisque le Ghana a devancé le Maroc parmi les 100 autres autorités alimentaires membres qui souhaitaient mener cette initiative.

Cela s'est produit lors de la deuxième session de la Conférence des États parties au Traité portant création de l'Agence africaine des médicaments (AMA), qui s'est tenue à Kigali, au Rwanda, du 2 au 4 juin 2025.

Il faut reconnaître que ce processus a été initié sous le régime de l'ancien président Nana Addo Dankwa Akufo-Addo et remarquablement poursuivi par l'actuel président, John Dramani Mahama, qui a maintenu le Dr Delese Mimi Darko à la tête de la FDA... - Lire cet article


Saviez-vous que l'Agence africaine du médicament (AMA) dispose d'un chef intérimaire de son secrétariat ? Rencontrez le Dr. Benjamin Djoudalbaye qui occupe ce poste - 22/05/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Rencontrez le Dr Benjamin DJOUDALBAYE, chef intérimaire du secrétariat de l'Agence africaine du médicament. Il est un leader chevronné de la santé publique mondiale avec plus de 22 ans d'expérience dédiée à l'amélioration des résultats de santé à travers l'Afrique. Médecin de formation, il est titulaire de diplômes d'études supérieures en santé publique et en maladies infectieuses. Il apporte à ce poste une grande expertise dans la conception, la gestion et l'évaluation de programmes de santé à grande échelle, notamment dans les domaines du VIH/SIDA, de la tuberculose, du paludisme, d'Ebola et de la santé maternelle et infantile.

Benjamin Djoudalbaye est actuellement à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA), tandis que l'agence se prépare à annoncer le nom du nouveau directeur général désigné. L'Union africaine (UA) a officiellement annoncé la nomination du Dr. Benjamin DJOUDALBAYE à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA) lors de l'inauguration du siège de l'AMA à Kigali, au Rwanda, le 1er novembre 2024. Dans ses remarques, S.E. Amb. Minata Samate Cessouma, alors Commissaire de l'UA pour la santé, les affaires humanitaires et le développement social, a souligné le rôle de leadership du Dr. Djoudalbaye dans le Secrétariat intérimaire, soulignant l'importance de ce poste pour faire avancer l'opérationnalisation de l'AMA.

Le Dr Djoudalbaye dirige actuellement les efforts visant à établir un cadre réglementaire unifié pour les médicaments et les technologies de la santé sur l'ensemble du continent africain. D'une certaine manière, on pourrait dire que son rôle consiste à préparer le terrain et à faire avancer le programme de l'AMA pendant que les préparatifs pour le directeur général désigné sont en cours. Sa nomination à ce poste clé s'appuie sur une longue carrière à la pointe de la santé publique, notamment en tant que haut responsable de l'Africa CDC et de la réponse de l'Union africaine aux principales urgences sanitaires.

Tout au long de sa carrière, le Dr Djoudalbaye a fait preuve d'une capacité unique à diriger des équipes multidisciplinaires et à naviguer dans des contextes sanitaires et humanitaires complexes. Il a collaboré étroitement avec des chefs d'État, des ministres, des donateurs mondiaux et des dirigeants de la société civile afin d'obtenir des ressources, de faire évoluer les politiques et de renforcer les systèmes de santé. Son travail dans les situations d'urgence en matière de santé publique a aiguisé sa capacité à anticiper et à répondre aux menaces émergentes tout en développant des solutions durables à long terme.

M. Djoudalbaye parle couramment l'anglais et le français, ce qui constitue un atout majeur pour aider le nouveau directeur général à naviguer efficacement sur le continent. Il est un chercheur publié qui allie l'excellence technique à la diplomatie stratégique. Sous sa direction, l'AMA est prête à se transformer pour passer sous la houlette du futur directeur général, qui travaillera sans aucun doute à ses côtés pour faire du projet d'Agence africaine du médicament un succès. - Lire cet article


Lutte contre le paludisme, l’hépatite E, les parasites des cultures, l’hypertension et le cancer du sein. Les dernières découvertes scientifiques en Afrique. - 14/05/2025 - Nature - Panafricain

Un médicament antipaludique à dose unique sans danger pour les enfants

Selon une étude publiée dans The Lancet Infectious Diseases, une dose unique de primaquine, un médicament utilisé depuis longtemps chez les adultes pour bloquer la transmission du paludisme, est sûre et efficace chez les enfants. Les chercheurs ont examiné les données de 14 essais impliquant plus de 8 500 personnes en Afrique et en Asie, confirmant que la dose de 0,25 mg/kg réduit fortement le nombre de parasites du paludisme sans effets secondaires dangereux.

L’étude s’est particulièrement intéressée aux personnes présentant un déficit en G6PD, une caractéristique génétique courante en Afrique qui peut rendre certains médicaments dangereux. Les résultats n’ont révélé aucune réaction indésirable grave chez les enfants ou les adultes, ce qui renforce les arguments en faveur de l’utilisation de la primaquine dans les campagnes de vaccination de masse ciblant les points chauds de la transmission... - Lire cet article


Recherche clinique en Afrique : les essais cliniques estimés à seulement 2,5% dans le continent - 09/05/2025 - Sud Quotidien - Panafricain

La recherche clinique en Afrique représente près de 2,5% des recherches dans le monde alors que le continent noir supporte plus de 4,5% de la charge de morbidité des maladies. Selon des universitaires, c’est juste trop peu quand on pense que l’Afrique est à 17,5% de la population mondiale. Un constat qui a permis à la compagnie Clinic Research et l’Agence de réglementation pharmaceutique du Sénégal de tenir la 6ème édition du sommet des investigateurs cliniques d’Afrique (Tcis), organisée pour la première fois dans un pays d’Afrique francophone, au Sénégal, mercredi dernier.

La capitale du Sénégal a abrité, mercredi dernier, la 6ème édition du sommet des investigateurs cliniques d’Afrique (Tcis) africa, organisée pour la première fois dans un pays d’Afrique francophone. Cette rencontre a pour ambition de repenser les essais cliniques depuis la phase de conception des protocoles jusqu’à la clôture des essais et de repositionner l’Afrique au cœur de cet écosystème. Pour le professeur Serigne Omar Sarr, directeur de l’homologation et de la sérialisation au sein de l’Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique (ARP), « moins de 2,5% des essais cliniques dans le monde sont réalisés en Afrique, alors que le continent noir supporte plus de 4,5% de la charge de morbidité des maladies ». Ce dernier a aussi estimé que l’Afrique en termes de population va atteindre bientôt un milliard d’habitants. A cet effet, «On ne peut pas parler d’innovation thérapeutique, de développement de nouveaux médicaments sans passer par l’étape des essais cliniques qui permet de s’assurer de la tolérance, de l’efficacité et de l’équité des médicaments », a-t-il fait savoir... - Lire cet article


L’Union Africaine veut produire 60 % des vaccins sur le continent d’ici 2040 - 09/05/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Panafricain

Addis Abeba, 10 mai (APS) – L’Union africaine s’est fixée comme objectif d’arriver d’ici à 2040 de produire 60 % des vaccins administrés en Afrique, a appris l’APS d’une source proche de l’institution continentale.

Elle prévoit également la production et la mise sur le marché africain de huit vaccins durant la période 2025-2030.

Le responsable de la communication et du partenariat pour la fabrication de vaccins en Afrique mis en place par l’UA, Kévin Irandagiye a fait cette annonce lors d’un atelier régional des médias pour des journalistes en santé et sciences.

Cette rencontre organisée par le Centre africain de prévention et de contrôle des maladies (Africa CDC en anglais), a réuni pendant trois jours (6-8 mai) dans la capitale éthiopienne des professionnels des médias venus de 28 pays.

Dans une perspective d’atteindre cet objectif, ‘’plus de 100 professionnels ont été formés à court terme dans l’industrialisation et le transfert de technologies”, a fait valoir M. Irandagiye.

Il s’est félicité de la réglementation acquise par plusieurs pays comme le Ghana, le Zimbabwe, l’Afrique du Sud, le Rwanda et le Sénégal.

‘’Ces pays ont atteint le niveau de maturité 3 qui permet de produire des médicaments reconnus par l’Organisation mondiale de la santé (OMS)’’, a indiqué le responsable de la communication et du partenariat pour la fabrication de vaccins au niveau de l’Union africaine.

Toutefois, il a rappelé que la grande question demeure ‘’où trouver le financement’’... - Lire cet article


Première historique : le Fonds mondial soutient l’approvisionnement en traitement de première intention contre le VIH fabriqué en Afrique - 06/05/2025 - Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme - Panafricain

GENÈVE – Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial) a franchi une étape historique en soutenant l’approvisionnement – pour la première fois – en traitement de première intention contre le VIH fabriqué en Afrique. Le traitement – des médicaments antirétroviraux vitaux de qualité appelés TLD (ténofovir, lamivudine et dolutégravir) et préqualifiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – a été acheté auprès d’une grande entreprise pharmaceutique kenyane et livré au Mozambique. Le volume fourni permettra de traiter plus de 72 000 personnes par an dans le pays.

« Cette étape historique souligne l’engagement ferme du Fonds mondial à promouvoir la fabrication régionale et le renforcement des capacités, a déclaré Hui Yang, directrice du Département de l’Approvisionnement au Fonds mondial. En favorisant la production basée en Afrique, nous renforçons la sécurité des approvisionnements et nous élargissons l’accès à des produits de santé de qualité et abordables sur l’ensemble du continent, contribuant ainsi à la sécurité sanitaire mondiale. »

Le Fonds mondial travaille avec des partenaires comme les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, les communautés économiques régionales africaines, la Société financière internationale (IFC) de la Banque mondiale et Unitaid pour faire progresser le renforcement des capacités régionales en matière de fabrication et d’approvisionnement en Afrique. Le Fonds mondial a notamment acheté certains médicaments antipaludiques, des moustiquaires imprégnées d’insecticide et des médicaments essentiels, tels que le cotrimoxazole, auprès de fabricants basés en Afrique, conformément à ses exigences en matière d’assurance qualité... - Lire cet article


L'AU-3S a étendu la surveillance de la sécurité des médicaments à l'ensemble de l'Afrique grâce à une base de données continentale - 05/05/2025 - Agence des nouvelles éthiopienne - Panafricain

Addis-Abeba, le 5 mai 2025 (ENA) : - Le programme de surveillance intelligente de la sécurité des médicaments (AU-3S) de l'Union africaine, piloté par l'Agence de développement de l'Union africaine (AUDA-NEPAD), fait progresser la sécurité des médicaments en Afrique grâce à l'innovation et à la collaboration régionale.

Entrant dans sa deuxième phase, l'AU-3S aide 12 pays africains à créer une base de données continentale pour suivre la sécurité des médicaments et des vaccins essentiels.
S'adressant à l'ENA, le coordinateur de l'AU-3S, Ken Onu, a expliqué : « Nous fournissons une solution complète, du signalement des événements à la gestion des signaux, et nous veillons à ce que personne ne soit laissé pour compte. »

Il a souligné la collaboration de l'AU-3S avec les communautés économiques régionales pour promouvoir l'harmonisation réglementaire et améliorer l'accès à des produits médicaux sûrs et efficaces.

La professeure Mojisola Christianah Adeyeye, directrice générale de la NAFDAC Nigéria, a souligné qu'avant l'AU-3S, le système de pharmacovigilance du Nigéria était sous-développé.
« L'adhésion à la plateforme AU-3S nous a été d'une aide précieuse, notamment pour atteindre le niveau de maturité 3 de l'OMS. Les outils numériques et l'application de sécurité ont considérablement amélioré la qualité et le volume des rapports tout en harmonisant les normes », a-t-elle indiqué... - Lire cet article


MYDAWA, au Kenya, obtient un financement pour développer son modèle de pharmacie en ligne - 01/05/2025 - Daba - Panafricain

La plateforme kenyane d'e-santé MYDAWA a levé un montant non divulgué dans le cadre d'un nouveau cycle de financement visant à étendre son modèle de soins de santé axé sur la technologie à l'ensemble de l'Afrique. Le tour de table comprenait la participation d'IFU (le fonds d'investissement danois pour les pays en développement), d'Alta Semper Capital, d'AAIC Investment, de Creadev et de la société japonaise Ohara Pharmaceutical Co.

Fondée en 2017, MYDAWA propose une plateforme de santé numérique intégrée combinant des consultations virtuelles, des tests de laboratoire, la gestion des soins chroniques, des ordonnances électroniques et la livraison de médicaments sur le dernier kilomètre. Présente au Kenya et en Ouganda, la startup prévoit d'étendre son modèle de "Super pharmacie en briques et en clics" et d'introduire des outils pilotés par l'IA pour optimiser les stocks, améliorer l'efficacité des services et réduire les coûts pour les patients.

Le fondateur Neil O'Leary a déclaré que la liste des investisseurs souligne la confiance du marché dans la vision et l'évolutivité de MYDAWA. Zach Fond, partenaire d'Alta Semper, a qualifié MYDAWA de "leader de catégorie" dans le domaine de la santé numérique en Afrique. Le capital soutiendra également l'expansion des soins pour les maladies chroniques et l'entrée sur de nouveaux marchés... - Lire cet article


Pourquoi en Afrique l’accès à des médicaments de qualité doit constituer un point clef des politiques de santé publique - 29/04/2025 - Afrik.com - Panafricain

Toute personne qui a voyagé en Afrique sub-saharienne a pu voir lors d’une visite d’un marché des femmes accroupies proposant aux chalands des médicaments amassés dans des bassines. Des médicaments qui d’après elles sont à même de tout soigner et dont l’efficacité est fonction de leur couleur. Si cela permet de faire de belles photos le « pittoresque » cela cache une situation dramatique pour une partie de la population qui se voit contrainte d’avoir recours à ces vendeuses et à leurs médicaments.

Plusieurs raisons les contraignent à ce recours. D’abord les difficultés physiques ou la crainte de se rendre dans une officine. Ensuite l’incapacité financière d’y acheter ce qui a été prescrit. En effet, rappelons que d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans l’Afrique sub-saharienne la moyenne de la part des dépenses de santé des ménages fluctuait entre 32 et 36 % du total des dépenses de santé entre 2000 et 2017 dont la plus une part importante concernant l’achat de médicaments.

Ainsi au Burkina Faso l’achat de médicaments représente environ 60 % des dépenses de santé des ménages . Aussi ne faut-il pas s’étonner que la population pauvre ce tourne vers des médicaments beaucoup moins chers, c’est à dire dans bien des cas les médicaments frauduleux ou contrefaits. C’est pourquoi on estime que leur part représente de 30% à 50% du total des médicaments vendus.

Cette situation conduit à poser trois questions : pourquoi les médicaments vendus en officine coûtent-ils chers ? Qui importe les médicaments frauduleux ? Pourquoi les états qui sont comptables de la santé publique n’ont-ils pas conduit de politiques du médicament... - Lire cet article




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