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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Production de médicaments à base de plantes : Vers la mise en place d’un cadre réglementaire - 16/07/2025 - Le soleil - Sénégal

L’État veut mettre sur le marché au moins 10 médicaments à base de plantes médicinales. C’était l’objectif de la réflexion entamée lors d’un atelier sur les essais cliniques, tenue, hier, entre décideurs politiques, universitaires, tradi-praticiens et experts.

Sur le chemin de la souveraineté pharmaceutique, le Sénégal veut s’appuyer sur les plantes médicinales. Hier, lors d’un atelier sur les essais cliniques des médicaments à base de plantes, organisé par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (Ansts), des acteurs du monde universitaire, des tradi-praticiens, et autres spécialistes se sont accordés sur la mise en place d’un cadre réglementaire. « Notre ambition est d’essayer d’avoir un cadre qui soit beaucoup plus conventionnel, maîtrisé, pour produire des médicaments de qualité et dont on maîtrise la posologie. Le ministère de la Santé et de l’Action sociale est dans cette optique. Avec la relance de l’industrie pharmaceutique locale, il est envisagé des médicaments à base de plantes », a déclaré Aynina Cissé, vice-président de l’Ansts. D’après Serigne Omar Sarr, de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp), l’État du Sénégal vise, dans cette approche, à commercialiser au moins 10 médicaments.

Pour cela, Khady Diatta Badji, enseignante en botanique et cryptogamie à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), a préconisé la protection et la préservation de la végétation pour une gestion durable des écosystèmes. L’universitaire prône aussi l’aménagement de nouvelles aires d’exploitation rationnalisées, comme les jardins botaniques de plantes médicinales. De plus, Mme Badji a appelé à « assurer une production suffisante de ressources végétales tout en sauvegardant les espèces en voie de disparition ». Dans cette perspective, le professeur Serigne Omar Sarr, de l’Arp, a informé qu’un dispositif réglementaire est mis en place, en collaboration avec le Comité national pour l’éthique et la recherche scientifique. « Il s’agit d’éviter les dérives connues par le passé, avec des expérimentations menées sur l’homme sans précaution ni règles éthiques et déontologiques. Cet encadrement réglementaire vise à accélérer le processus », a expliqué M. Sarr. Dans la nouvelle dynamique, Khady Diatta Badji a recommandé des innovations technologiques basées sur des biofertilisants. Selon elle, celles-ci peuvent jouer un « rôle primordial dans la production de matières végétales naturelles, en quantité et en qualité »... - Lire cet article


Kaolack – Gouvernance pharmaceutique : le Sénégal muscle sa régulation - 12/07/2025 - Sud Quotidien - Sénégal

Dans le cadre de l’exécution des politiques nationales en matière de gouvernance pharmaceutique, de gestion des médicaments, vaccins, dispositifs médicaux et autres produits de santé, le ministère de la Santé et de l’Action sociale, par le biais de l’Agence nationale de Réglementation pharmaceutique (ARP), a procédé hier, jeudi 10 juillet à Kaolack, à l’installation officielle du tout premier pôle régional de régulation pharmaceutique au Sénégal.

Cette nouvelle structure vise à apporter une réponse plus ferme et mieux structurée dans la lutte contre le trafic et la circulation de produits médicaux illicites. Elle vient ainsi renforcer le dispositif national de contrôle et d’intervention, dans une logique de proximité et d’efficacité face à un fléau qui compromet gravement les efforts de protection de la santé publique et fragilise l’ensemble du système sanitaire.

Complémentaire au Comité national de lutte contre le trafic illicite des produits médicaux, mis en place le 17 juin dernier par le gouvernement, cette agence régionale est pensée comme un relais stratégique. Elle permettra une surveillance plus rapprochée, une meilleure coordination et des actions de terrain ciblées, notamment pour contrer l’approvisionnement massif des marchés sénégalais en produits médicaux non autorisés.

Grâce à cette infrastructure, les équipes seront désormais installées au cœur du pôle centre. Plus proches des établissements pharmaceutiques, des professionnels de santé et des populations, elles pourront nouer des partenariats concrets et dynamiques pour anticiper et réduire les risques liés à la contrebande. Le renforcement de la régulation locale est également essentiel dans les zones frontalières, désormais identifiées comme des points critiques de transit et de passage à haut risque... - Lire cet article


Mpox : appel à une réduction du prix du vaccin et au transfert de la technologie aux fabricants régionaux - 11/07/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 11 juil (APS) – L’AIDS Healthcare Foundation (AHF), une organisation mondiale de lutte contre le Sida, appelle les parties prenantes dont la firme pharmaceutique Bavarian Nordic, à réduire le prix du vaccin contre le Mpox et à transférer la technologie aux fabricants régionaux.

Elle appelle également les pays riches à faire don de doses de vaccin provenant de leurs stocks existants afin de garantir un accès équitable sur l’ensemble du continent africain.

Dans un communiqué de presse, l’AHF dit s’inquiéter particulièrement de ‘’l’accaparement des vaccins par les pays développés, du coût élevé des vaccins et de la réticence des entreprises pharmaceutiques à partager leur technologie et leur savoir-faire avec les fabricants africains qualifiés’’.

Sous ce rapport, elle prévient que ‘’si ces problèmes ne sont pas résolus, ils pourraient gravement compromettre la capacité de l’Afrique à faire face à l’épidémie actuelle de Mpox et aux futures crises sanitaires’’.

L’AHF signale que ‘’le 24 juin, la Sierra Leone représentait 41 % des cas signalés de Mpox en Afrique, avec 4 350 cas confirmés et 28 décès depuis le 10 janvier”.

”Depuis fin mars, seulement 40 000 personnes ont été vaccinées, principalement des agents de santé de première ligne et des groupes à haut risque, notamment les personnes vivant avec le VIH. Avec une capacité d’isolement limitée et seulement deux contacts tracés par cas confirmé, la réponse est sous tension”, rapporte l’AIDS Healthcare Foundation (AHF)... - Lire cet article


Chikungunya : l’Institut Pasteur de Dakar conçoit un test de diagnostic révolutionnaire adapté aux souches ouest-africaines - 09/07/2025 - Lactuacho.com - Sénégal

Une équipe de chercheurs de l’Institut Pasteur de Dakar (IPD), dirigée par le Dr Idrissa Dieng au sein du Pôle de Virologie, vient de franchir une étape décisive dans la lutte contre le virus chikungunya. Dans deux études publiées dans le Journal of Clinical Microbiology, l’équipe met en lumière les limites d’un test de diagnostic pourtant largement utilisé à l’échelle mondiale, en particulier face aux souches du génotype ouest-africain.

Selon les résultats de la première étude (doi:10.1128/jcm.00405-24), ce test international échoue à détecter correctement les souches circulant au Sénégal en 2023, y compris à des niveaux significatifs de charge virale. Ce déficit pourrait conduire à de nombreux cas de faux négatifs dans les pays touchés, entravant ainsi les efforts de contrôle de la maladie.

Pour y remédier, les chercheurs de l’IPD ont développé un nouveau test moléculaire, baptisé CHIKV AltoDesign, spécifiquement optimisé pour les souches ouest-africaines. Selon la seconde publication (doi:10.1128/jcm.00490-25), ce test affiche une sensibilité cent fois supérieure à la précédente méthode, capable de détecter le virus à partir de 321 PFU, contre 32 100 auparavant. Il offre également une détection multiplexe des virus Dengue et Zika, particulièrement utile dans les zones de co-circulation.

« Cette avancée, portée par notre équipe, illustre pleinement la mission de l’Institut Pasteur de Dakar : développer des solutions innovantes, conçues en Afrique, pour répondre aux besoins des populations africaines », déclare Dr Ibrahima Socé Fall, Administrateur général de l’IPD... - Lire cet article


Sénégal : L’État passe à l’offensive pour produire ses propres médicaments - 09/07/2025 - La Nouvelle Tribune - Sénégal

Lors de l’inauguration du vaccinopôle de l’Institut Pasteur à Diamniadio en décembre dernier, le président Diomaye Faye rappelait que l’Afrique dépendait toujours largement des importations pour ses besoins médicaux essentiels. Avec seulement 1 % des vaccins, 5 % des tests de diagnostic et 30 % des médicaments produits localement, le continent reste exposé à de nombreuses ruptures d’approvisionnement. C’est à la lumière de ce constat que le Sénégal a décidé d’entrer dans une nouvelle ère industrielle, celle de la production pharmaceutique nationale. Le projet ne se limite plus aux déclarations : il repose désormais sur une feuille de route bien définie et un partenariat solide avec un acteur-clé du continent, l’Égypte.

Sous l’impulsion du Dr Seydou Diallo, directeur général de la Pharmacie nationale d’approvisionnement (SEN-PNA), cette ambition se structure autour d’échéances précises. Loin d’être un simple effet d’annonce, l’agenda pharmaceutique sénégalais se veut progressif, réaliste et orienté vers des résultats tangibles à l’horizon 2032. L’objectif est clair : passer d’un rôle de consommateur à celui de producteur... - Lire cet article


Pout : des néphrologues visitent une usine de fabrication de consommables de dialyse - 28/06/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Le président de la Société sénégalaise et de la Société africaine de néphrologie, professeur Abdou Niang, a visité, à Pout, l’usine ”Carrefour médical industrie”, fabricant de consommables de dialyse, en compagnie de collègues africains, a constaté l’APS.

A la tête d’une délégation composée des participants au cinquième congrès de la Société sénégalaise de néphrologie, Abdou Niang a visité vendredi cette unité industrielle.

”Nous nous sommes réunis à Saly, pour le congrès de néphrologie. Nous avons ouvert ces journées scientifiques hier (jeudi), aujourd’hui (vendredi), il y a eu plusieurs conférences où nous avons parlé de l’intelligence artificielle, de l’hémodialyse, de la dialyse péritonéale et de la transplantation rénale”, a expliqué le professeur Niang.

Ce congrès qui se tient tous les deux ans, regroupe plus de 300 participants venant de 10 pays d’Afrique francophone, de la France et de la Suisse.

“La problématique de la dialyse en Afrique, c’est en particulier le problème du coût”, a-t-il dit. ”Nous savons aussi que les consommables de dialyse en Afrique sont achetés au niveau de sociétés qui fabriquent ces produits, parfois très loin de l’Europe, mais aussi de l’Asie”, a relevé le président de la Société sénégalaise de néphrologie.

Selon le professeur Niang, pour les besoins de la prise en charge des personnes souffrant de maladies rénales, les Africains reçoivent de l’eau mélangée à d’autres substances chimiques et doivent, de ce fait, supporter le coût du transport, en plus des frais de douane... - Lire cet article


Diamniadio – 11ème Salon international du médicament : La souveraineté pharmaceutique au cœur des débats - 25/06/2025 - Le quotidien - Sénégal

La 11ème édition du Salon international du médicament, des dispositifs médicaux et de la parapharmacie (Senpharma) a été lancée mardi au Cicad de Diamniadio, où des expositions, panels et séances B2B sont au menu pour les deux jours que va durer l’activité. Le thème de cette édition porte sur «Innovation et solutions durables : vers une approche intégrée et inclusive». «Le Salon Senpharma, au fil des éditions, s’est imposé comme un espace stratégique de dialogue et d’engagement multisectoriel, réunissant décideurs, chercheurs, praticiens, industriels, régulateurs et partenaires. Cette 11e édition, placée sous le thème « Innovation et solutions durables pour la santé : vers une approche intégrée et inclusive», élargit justement le cadre au-delà du médicament, en réunissant toute la famille de la santé autour des enjeux d’innovation, d’intégration et de durabilité», a indiqué Serigne Mbaye, Secrétaire général du ministère de la Santé.

«L’innovation doit désormais être le moteur de nos pratiques quotidiennes. Elle est incontournable si nous voulons construire un système de santé accessible géographiquement et économiquement, résilient face aux crises, centré sur la prévention et ouvert à la sous-région, conformément à la vision portée par la Lettre de politique sectorielle du ministère de la Santé et de l’action sociale, en droite ligne de l’Agenda national de transformation Sénégal 2050», a encore relevé M. Mbaye, s’exprimant lors de la cérémonie officielle.

Relevant les enjeux autour du médicament à travers ses aspects sanitaire, économique, de souveraineté et enfin géopolitique, le Secrétaire général du Msas a salué le travail que mène l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp) en ce sens. Cette agence s’active pour que l’Autorisation sénégalaise de mise sur le marché (Amm) soit reconnue dans toute l’Afrique, et son action a permis de faire du Sénégal un des rares pays d’Afrique à disposer du Niveau de maturité 3 (Nm3) pour le médicament. «Je les engage à garder le rythme pour le maintien du Nm3, mais également pour l’atteinte prochaine du Nm3 vaccin», a exhorté M. Mbaye, évoquant deux initiatives en cours d’opérationnalisation dans cette voie vers la souveraineté pharmaceutique nationale... - Lire cet article


Le captopril désormais retiré du traitement de l’hypertension artérielle - 05/06/2025 - Le soleil - Sénégal

Désormais, sur décision du ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS), le captopril ne fera plus partie du traitement de l’hypertension artérielle. Le ministère l’a officialisé ce mardi via un communiqué. « Une mise à jour importante concerne le retrait du captopril dans le traitement de l’hypertension artérielle, au profit d’autres classes comme les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (autres que le captopril), les sartans et les inhibiteurs calciques, offrant un meilleur profil bénéfice/risque selon les études récentes », y lit-on.

Le captopril est un médicament qui facilite la dilatation des vaisseaux sanguins, permettant ainsi la circulation sanguine qui entraine la réduction de la pression artérielle. Selon le MSAS, son retrait du marché « entre dans le cadre de l’amélioration et de l’harmonisation de la prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA), du diabète, des urgences cardio-vasculaires et des accidents vasculaires cérébraux ». - Lire cet article


L'Afrique doit produire ses propres vaccins, estime l'Angola, où le choléra a fait plus de 700 morts - 04/06/2025 - Seneweb - Sénégal

L'Afrique doit augmenter sa production de vaccins pour combattre les maladies, a estimé mercredi le président angolais lors de discussions d'urgence portant sur une épidémie de choléra qui a fait plus de 700 morts cette année en Angola seule.

Le président angolais Joao Lourenço, également président de l'Union africaine, s'est exprimé lors d'une vidéoconférence avec d'autres dirigeants africains portant sur l'épidémie de choléra, qui touche plusieurs pays, ont indiqué ses services.

"Pour permettre une réponse solide et durable à cette crise et aux crises futures, il est essentiel de placer la production de médicaments et de vaccins sur notre continent", a déclaré M. Lourenço, selon un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux.

"La dépendance totale aux importations extérieures limite notre capacité de réaction et compromet notre souveraineté sanitaire", a-t-il ajouté durant la réunion, à laquelle assistait le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Plus de 90% des vaccins, médicaments, tests médicaux et autres fournitures sanitaires essentielles utilisés sur le continent sont importés, selon un rapport du Centre africain de contrôle et de prévention des maladies (CACPM) publié en avril.

De nombreux pays africains sont confrontés à des épidémies de choléra, une sévère infection intestinale. Le Soudan, le Soudan du Sud, la République démocratique du Congo et l'Angola figurent parmi les plus touchés.

A la date du 2 juin, l'Angola avait enregistré plus de 24.530 cas cette année, dont 718 morts, selon la présidence angolaise... - Lire cet article


L’atteinte du NM3 est le début d’une nouvelle exigence (DG ARP) - 28/05/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 28 mai (APS) – L’atteinte du Niveau de maturité 3 (NM3) est le début d’une nouvelle exigence pour le Sénégal, a soutenu mercredi à Dakar, Docteur Alioune Ibnou Diouf, directeur de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP), estimant que cette reconnaissance doit être maintenue et renforcée à travers un engagement continu en matière d’amélioration de la qualité.

‘’Comme nous le savons tous, la reconnaissance du NM3 n’est pas une finalité en soi, mais plutôt le début d’une nouvelle exigence. Selon les procédures de l’OMS, cette reconnaissance doit être maintenue et renforcée à travers un engagement continu en matière d’amélioration de la qualité’’, a indiqué le directeur général de l’ARP.

Dr Diouf s’exprimait à l’ouverture de la quatrième réunion de la Coalition des parties intéressées (CIP) de l’OMS pour la mise en œuvre du Plan de développement institutionnel (PDI) de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique pour le maintien du Niveau de maturité 3 (NM3) et l’atteinte de la NM4.

”Nous devons également nous projeter vers un objectif encore plus ambitieux : l’atteinte du Niveau de maturité 4 (NM4), qui représente l’excellence en matière de réglementation pharmaceutique au niveau mondial”, a-t-il ajouté.

La quatrième réunion de coordination du réseau de la Coalition des parties intéressées (CIP), marque, selon lui, ”une étape cruciale dans notre mission collective de renforcer le système de réglementation pharmaceutique au Sénégal’’... - Lire cet article




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