Une mission technique menée par l'Agence de Développement de l'Union Africaine (AUDA-NEPAD), en partenariat avec le cabinet de conseil CMCOMMS, a pris fin ce jeudi 17 avril à Abidjan. Organisée du 15 au 17 avril 2025 dans les bureaux de l'Autorité Ivoirienne de Régulation Pharmaceutique (AIRP), cette initiative avait pour objectif de soutenir la mise en œuvre des Plans de Développement Institutionnel (PDI) afin de renforcer la régulation du secteur pharmaceutique en Côte d'Ivoire. Dans le cadre du programme d'harmonisation des régulations pharmaceutiques en Afrique (AMRH), l'AUDA-NEPAD a déployé une équipe d'experts, dont Jane Mashingia, Anthony Kapeta et la consultante Caroline Getrude Dandira-Samatanga (CMCOMMS), pour évaluer les progrès de l'AIRP, identifier les lacunes structurelles et proposer des solutions concrètes. Cette mission fait partie d'une phase pilote visant cinq pays, dont la Côte d'Ivoire, choisie pour son engagement à améliorer ses fonctions réglementaires... - Lire ce document
Dans le cadre de la lutte contre les Produits Médicaux de Qualité Inférieure et Falsifiés (PMQIF), l’Autorité ivoirienne de régulation pharmaceutique (AIRP) a réuni, ce jeudi 17 avril 2025, les principaux acteurs du secteur lors d’une réunion stratégique à l’hôtel Silver Moon, à Cocody.
Présidée par Dr Bosson Jean Marie, sous-directeur de l’Inspection et de la Surveillance du marché, représentant le Directeur général de l’AIRP, cette première session trimestrielle de la plateforme de lutte contre les PMQIF visait à renforcer la collaboration interinstitutionnelle autour d’un objectif central : assurer à tous l’accès à des médicaments sûrs et efficaces.
La réunion intervient dans un contexte de vigilance accrue. En 2024, près de 20 tonnes de produits pharmaceutiques falsifiés ont été saisies et détruites, soulignant l’ampleur du problème. Face à cette situation, les autorités sanitaires réaffirment que la qualité des médicaments est un enjeu de santé publique essentiel.
En plus des structures nationales, plusieurs partenaires techniques et financiers, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ont participé aux discussions. La session a permis de formuler plusieurs recommandations et de mettre en place un plan d’action pour renforcer les dispositifs de surveillance et de répression.
L’engagement renouvelé de l’AIRP et de ses partenaires marque une nouvelle étape dans la lutte contre le marché illicite des médicaments en Côte d’Ivoire. - Lire ce document
La Commission Nationale des Vigilances (CNV) a tenu sa première session ordinaire 2025 le 15 avril à l’hôtel Seen, sous l’égide de l’Autorité Ivoirienne de Régulation Pharmaceutique (AIRP), rassemblant 23 membres de la CNV et 3 représentants de l’AIRP pour huit heures de travaux intensifs.
Conformément au décret n°2018-926, cette session visait à renforcer la surveillance des produits pharmaceutiques et a examiné des dossiers sensibles tels que la sécurité des vasoconstricteurs, les alternatives à la 17-hydroxyprogestérone caproate (17-OHPC) et la gestion des effets indésirables de la Bupivacaïne.
Les discussions ont porté sur le reclassement des vasoconstricteurs (notamment la pseudoéphédrine), l’exploration d’alternatives à la 17-OHPC face aux alertes sanitaires, et le renforcement de la surveillance post-commercialisation de la Bupivacaïne. Les recommandations de la session devraient entraîner un durcissement de l'accès aux vasoconstricteurs (avec un possible retrait des formes pédiatriques), l'adoption de nouvelles lignes directrices pour la 17-OHPC, et une meilleure traçabilité des effets indésirables de la Bupivacaïne.
La session a réuni des acteurs clés tels que la Direction Générale de la Santé, le CNOP, et des représentants des laboratoires, soulignant l'impératif de transparence et de réactivité face aux risques émergents.
Aussi, cette session illustre la volonté des autorités ivoiriennes d'anticiper les crises sanitaires et d'adapter la réglementation, impactant directement la sécurité des patients et la crédibilité du marché pharmaceutique. - Lire ce document
Le CNOP lance un appel à candidature de formateurs. Date limite de dépôt des dossiers : 15 mai 2025... - Lire ce document
L'AIRP, dans le cadre de ses missions de règlementation pharmaceutique, identifie régulièrement des besoins spécifiques en expertise externe... - Lire ce document
Une vague silencieuse mais dévastatrice se propage en Afrique de l’Ouest. Après la crise des opioïdes qui a frappé durement les États-Unis, c’est désormais le Nigeria, le Ghana et la Côte d’Ivoire qui font face à un fléau inquiétant : la consommation détournée de puissants antalgiques, initialement prescrits pour soulager la douleur, mais aujourd’hui utilisés à des fins récréatives avec des conséquences dramatiques. Dans les rues de Lagos, d’Accra ou d’Abidjan, des comprimés aux noms obscurs — Tafrodol, Tima King, Tafrodol XX — circulent illégalement. Derrière ces appellations mystérieuses se cachent des substances dangereuses comme le tapentadol et le carisoprodol, des opioïdes de synthèse capables de provoquer une dépendance rapide et sévère. Fabriqués principalement en Inde, ces médicaments détournés entrent sur le marché ouest-africain par des circuits opaques, échappant à tout contrôle sanitaire et réglementaire... - Lire ce document
Du 17 au 21 mars 2025, la Commission de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), en partenariat avec le projet REG-PHARMA financé par l’Agence Française de Développement (AFD), a organisé à Abidjan un atelier intensif sur les Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF) des produits pharmaceutiques. Destiné à renforcer les capacités des inspecteurs pharmaceutiques, cet événement a réuni 21 professionnels issus des huit États membres de l’UEMOA, dont 16 pharmaciens inspecteurs des Autorités Nationales de Réglementation Pharmaceutique (ANRP), des formateurs, des encadreurs et des représentants institutionnels. Le Dr Assane Coulibaly, Directeur Général de l’Autorité Interrégionale de Régulation Pharmaceutique (AIRP), a ouvert les travaux en soulignant l’urgence d’harmoniser les normes qualité pour garantir l’accès à des médicaments sûrs dans l’espace communautaire. Alors que l’OMS classe la majorité des systèmes de réglementation pharmaceutique de l’UEMOA en deçà du niveau de maturité 3 (seul le Sénégal l’a atteint), cet atelier répondait à un besoin critique : améliorer les capacités d’inspection afin de renforcer la qualité des médicaments. Les BPF, pierre angulaire de la sécurité des produits de santé, exigent une maîtrise technique des processus de fabrication, de la qualification des équipements à la validation des procédés. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet REG-PHARMA, visant à structurer une industrie pharmaceutique régionale compétitive et conforme aux standards internationaux... - Lire ce document
Fabricants, importateurs, distributeurs de cosmétiques, médicaments à base de plantes et compléments alimentaires, la campagne de déclaration gratuite se termine dans 10 jours ! ... Date limite : 31 MARS 2025 - Lire ce document
Relative à la dématérialisation des demandes et traitements des autorisations d'importation vers le GUCE-CI... - Lire ce document
La LIPA dans son engagement à accompagner les autorités de santé dans les projets de renforcement des systèmes de santé, a rencontré le Directeur Général de l'AIRP et certains de ses collaborateurs le 30 janvier dernier au siège de ladite institution.
Cette rencontre avait pour but d'optimiser la contribution des laboratoires dans la mise en œuvre de la Couverture Maladie Universelle en Côte d'Ivoire, notamment à travers l'amélioration de l'accès aux médicaments de qualité, pour toutes les personnes enrôlées... - Lire ce document
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