Aucune hausse n’a été enregistrée dans les prix des médicaments ou dans la tarification officielle des actes médicaux, a affirmé, mardi, le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Amine Tehraoui, cité par l’agence MAP.
« La tarification nationale de référence actuellement en vigueur date de 2006 et n’a pas encore été révisée », a précisé le ministre lors de la séance des questions orales à la Chambre des conseillers, en réponse à une question sur la « hausse des coûts de traitement ».
M. Tehraoui a souligné que son département s’engage à alléger la charge financière pesant sur les citoyens, à travers la mise en œuvre des mécanismes de prise en charge et le renforcement du rôle de l’assurance maladie obligatoire (AMO) dans la réduction du coût des soins, afin d’assurer l’équité et la durabilité du système.
Il a indiqué que le ministère se penche sur la mise en place d’une série de mesures concrètes, dont la révision des prix des médicaments et l’adoption de protocoles thérapeutiques obligatoires permettant de maîtriser les dépenses et de rationaliser la prescription des traitements.
Il a également évoqué le renforcement du contrôle de la facturation et des remboursements en partenariat étroit avec la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) pour lutter contre la fraude et garantir la transparence du système, et la révision de la tarification nationale de référence et l’amélioration des mécanismes de remboursement et de prise en charge, dans le cadre des attributions de la Haute autorité de la santé.
M. Tehraoui a estimé que le ressenti d’une hausse des coûts est principalement lié à l’augmentation de la demande des services de santé, notamment dans le secteur privé après la généralisation du régime de l’AMO, qui a permis à de larges franges de la population d’accéder aux soins dans divers établissements de santé... - Lire cet article
Lors d’une récente visite à Casablanca, un haut responsable de Bayer Pharma, Uwe Dalichow, a dévoilé la stratégie régionale du géant allemand, son engagement envers le Maroc, et les perspectives d’innovation dans les soins aux patients.
Portée par sa devise «Santé pour tous, faim pour personne», Bayer articule ses actions autour de l’innovation et de l’impact sociétal. Présente dans plus de 100 pays, la multinationale considère le Maroc comme un point d’ancrage clé en Afrique du Nord. Le groupe y opère, depuis 65 ans et ce, à travers trois divisions : Crop Science, dédiée à l’agriculture et à la protection des cultures ; Consumer Health, spécialisée dans les produits en vente libre (OTC) ; et Pharmaceuticals, centrée sur les maladies chroniques, la santé des femmes et l’éducation thérapeutique. Ces trois divisions contribuent de manière équilibrée à la performance régionale de Bayer.
Le site de production de Bayer à Casablanca, dédié aux produits OTC, est unique en Afrique. Il exporte vers plus de 35 pays, dont des marchés en Europe, au Moyen Orient et en Afrique. En 2025, l’usine célèbre ses 20 ans d’existence, avec des projets d’expansion ambitieux, notamment une nouvelle ligne de production dès l’année prochaine et un objectif de tripler sa capacité d’ici 2026. «Le Maroc offre un environnement attractif avec une main-d’œuvre qualifiée, des coûts compétitifs et une capacité prouvée à produire avec qualité. Nous voulons capitaliser sur cette réussite», affirme Uwe Dalichow, notamment responsable de la région MENA de Bayer Pharmaceuticals.
Toutefois, la question de la localisation de la production pharmaceutique reste stratégique mais complexe. «Il existe une grande différence entre la fabrication de médicaments pharmaceutiques et celle de produits OTC, notamment en termes de volumes», explique-t-il. Pour certains produits comme les hormones, les contraintes techniques rendent la production locale peu rentable en faible quantité…. Cela implique des arbitrages, comme la faisabilité technique, l’intérêt pour les patients, les risques de rupture de stock ; dans certains cas, maintenir une production centralisée reste la meilleure option.
Bayer investit activement dans des domaines thérapeutiques prioritaires pour le pays : cardio-vasculaire, oncologie, hématologie, ophtalmologie et santé des femmes... - Lire cet article
Certaines recommandations de médicaments circulant sur les réseaux sociaux entraînent un engouement croissant dans les pharmacies. Les professionnels de santé alertent sur les risques liés à l’automédication et aux conseils non encadrés, qui peuvent provoquer effets secondaires, retards de diagnostic et complications collectives. Ce phénomène met en lumière la nécessité d’un suivi professionnel rigoureux et d’une sensibilisation accrue du public face à la viralité de ces pratiques.
Des conseils pour la maison aux astuces beauté, les réseaux sociaux occupent une place grandissante dans la vie quotidienne. Leur influence, longtemps cantonnée aux domaines du style et du bien-être, s’étend désormais à celui de la santé. Sur TikTok, Instagram ou Facebook, des utilisateurs ordinaires, mais aussi des influenceurs suivis par des milliers d’abonnés, recommandent des médicaments ou des pommades qu’ils affirment avoir «testés et approuvés», suscitant parfois un engouement massif dans les pharmacies.
«Une patiente est venue me demander un médicament bien précis. Quand je lui ai dit qu’il était en rupture de stock, elle m’a simplement répondu : c’est normal, tout le monde en parle sur les réseaux», raconte une pharmacienne à Casablanca. «Ce genre de situation devient fréquent. Les gens font davantage confiance à ce qu’ils voient en ligne qu’aux conseils de professionnels. C’est préoccupant, car ils ne réalisent pas que ces publications ne reposent sur aucune base médicale».
De nombreuses officines observent aujourd’hui le même phénomène : des produits jusque-là peu demandés deviennent soudain introuvables, portés par des vidéos virales ou des témoignages d’influenceurs affirmant avoir «trouvé la solution miracle». Certains utilisent ces médicaments à des fins esthétiques ou détournées, sans connaître leurs véritables indications ni leurs risques potentiels... - Lire cet article
Les exportations marocaines de l’industrie pharmaceutique ont connu un fort dynamisme, passant de 1,1 milliard de dirhams en 2020 à 1,5 milliard en 2024, soit une croissance annuelle moyenne de +8%, a-t-il précisé en marge du Forum économique et d’Affaires Turquie-Afrique.
Le Maroc a érigé le secteur pharmaceutique en levier stratégique de souveraineté sanitaire et de croissance économique, a affirmé, jeudi à Istanbul, le secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, Omar Hejira.
S’exprimant lors d’un panel sur «les industries pharmaceutiques et équipements médicaux» initié dans le cadre du Forum économique et d’Affaires Turquie-Afrique, Hejira a souligné que le Royaume, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, a engagé depuis deux décennies une politique industrielle ambitieuse, faisant du secteur pharmaceutique la deuxième activité chimique du pays.
Les exportations marocaines de l’industrie pharmaceutique ont connu un fort dynamisme, passant de 1,1 milliard de dirhams en 2020 à 1,5 milliard en 2024, soit une croissance annuelle moyenne de +8%, a-t-il précisé.
Sur le continent africain, a-t-il ajouté, le Maroc a renforcé sa part de marché à l’export, passant de 6% en 2011 à 11% en 2024, devenant le 4ᵉ plus grand exportateur africain de produits pharmaceutiques.
Il a relevé que le Royaume compte plus de 60 unités industrielles produisant selon les normes européennes et américaines, couvrant 70% des besoins nationaux, et exportant vers plus de 40 pays en Afrique, en Europe et dans la région MENA, pour un chiffre d’affaires supérieur à 13,7 milliards de dirhams.
Abordant la structuration de la filière, Hejira a souligné que le secteur s’articule autour de deux écosystèmes industriels portant sur la fabrication de médicaments et de dispositifs médicaux, dans un cadre réglementaire harmonisé avec les standards internationaux. «Cette organisation confère au Maroc une position compétitive dans la production de médicaments génériques, de vaccins et de matériel médical», a-t-il poursuivi... - Lire cet article
Dans le cadre de la réforme du système de santé, l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé lance un vaste chantier de modernisation de ses services. En s’appuyant sur une expertise technique, l’institution ambitionne de renforcer sa performance, sa transparence et sa contribution à la souveraineté pharmaceutique du Royaume.
L’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS) s’apprête à mobiliser une expertise technique afin de l’accompagner dans le déploiement de son offre de prestations. Celle-ci sera adaptée au contexte économique des opérateurs du secteur pharmaceutique, permettant ainsi à l’Institution de renforcer son positionnement en tant qu’agence performante, régulatrice et réactive, tout en garantissant sa viabilité financière.
Ce projet constitue une étape clé dans la structuration économique et opérationnelle de l’AMMPS. Il vise à permettre à l’Agence d’optimiser la gestion de ses ressources, de renforcer sa transparence tarifaire, d’améliorer la qualité du service rendu aux opérateurs et aux citoyens et de contribuer à la souveraineté pharmaceutique du Royaume.
L’initiative de l’Agence s’inscrit dans le vaste chantier de réforme du système de santé national, en application des Hautes Orientations Royales, afin de consolider la souveraineté sanitaire du Maroc.
Créée en 2023, l’AMMPS a pour mission d’assurer la régulation du marché pharmaceutique, le contrôle de la qualité des produits, la fixation des prix et la surveillance post-commercialisation. Pour renforcer son efficacité et sa transparence, elle engage aujourd’hui un processus de refonte complète de son offre de services, en s’appuyant sur les meilleures pratiques internationales... - Lire cet article
Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a annoncé le lancement d’une vaste campagne nationale visant à réguler et à assainir le marché des médicaments et des produits de santé au Maroc. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour renforcer la transparence et garantir une concurrence loyale entre les différents acteurs du secteur.
Selon trois circulaires publiées le 3 octobre courant, cette opération de contrôle cible principalement les établissements pharmaceutiques, les cliniques privées et les établissements de soins, dont certains ont été soupçonnés d’enfreindre la loi 17-04, dite Code du médicament et de la pharmacie.
Le ministère a précisé que les infractions constatées concernent notamment la vente de médicaments à des cliniques à des prix illégaux, l’octroi de remises, d’unités gratuites ou d’échantillons non autorisés, en particulier pour les produits contenant des substances stupéfiantes ou psychotropes. Il a également mis en garde contre toute pratique restreignant la participation des établissements pharmaceutiques aux appels d’offres ou empêchant les cliniques de se procurer des médicaments aux prix réglementés.
Le ministère de la Santé a insisté sur le respect par les cliniques et établissements privés de plusieurs obligations essentielles, dont la facturation des médicaments distribués aux patients au tarif hospitalier uniquement, l’interdiction de délivrer des produits pharmaceutiques en dehors du cadre thérapeutique, ainsi que la présence obligatoire d’un pharmacien responsable du stock, conformément à une convention signée avec le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens.
Pour assurer la mise en œuvre effective de ces mesures, le ministère, en coordination avec l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé, a mis en place des équipes d’inspection chargées de mener des contrôles rigoureux au sein des établissements pharmaceutiques et des cliniques opérant sans autorisation. Il a également exigé des pharmaciens un suivi précis du parcours des médicaments et produits de santé, depuis la fabrication jusqu’à la délivrance, en mentionnant les numéros de lots et les dates de péremption sur tous les documents de vente... - Lire cet article
Face à la persistance du commerce illégal de médicaments et aux risques qu’il fait peser sur la santé publique, le ministère de la Santé et de la Protection sociale renforce le contrôle du circuit pharmaceutique national. Une nouvelle circulaire rappelle aux acteurs du secteur leurs obligations légales et les sanctions encourues en cas de non-respect des règles encadrant la fabrication, la distribution et la dispensation des produits de santé.
Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a publié la circulaire n°105 datée du 3 octobre 2025, signée par le ministre M. Amine Tahraoui, rappelant l’obligation du respect strict du cadre légal régissant la fabrication, la distribution et la dispensation des médicaments et des produits de santé sur l’ensemble du territoire national. En effet, cette mesure s’appuie sur un ensemble de textes fondateurs du système pharmaceutique marocain, dont la loi n°17-04 portant code du médicament et de la pharmacie, la loi n°10-22 relative à la création de l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS), et la loi n°11-22 portant création de l’Agence marocaine du sang et de ses dérivés.
Le document du ministère constate la présence d’infractions aux dispositions encadrant le circuit de vente et de distribution des médicaments sur le marché national. Le ministère y ordonne la mise en place de tous les moyens nécessaires pour garantir le respect du circuit légal par l’ensemble des acteurs du secteur. Les pharmaciens responsables des établissements pharmaceutiques, des cliniques et des officines doivent veiller à la traçabilité des médicaments depuis leur fabrication jusqu’à leur dispensation, en mentionnant obligatoirement le numéro de lot et la date de péremption sur les factures et bons de livraison.
Par ailleurs, les pharmaciens sont tenus de conserver les factures d’achat et de vente, ainsi que toute pièce justificative utile. De plus, les décisions de rappel ou de retrait de lots émises par l’administration doivent être immédiatement exécutées, avec retrait du marché des produits concernés. Les pharmaciens doivent également suivre les tendances de vente, signaler toute activité jugée anormale à l’AMMPS et informer sans délai l’Agence en cas de tension d’approvisionnement susceptible d’affecter la disponibilité des produits... - Lire cet article
Par une note d’application (n°18835) datée du 3 octobre 2025, le ministère de la Santé et de la Protection sociale rappelle fermement aux pharmaciens responsables des établissements pharmaceutiques leurs obligations légales concernant la vente de médicaments aux cliniques privées et aux établissements assimilés.
Cette mise au point intervient après le constat de plusieurs dépassements, telles que la vente de médicaments avec l’étiquette «prix public de vente» (PPV) au lieu du «prix hôpital» (PH), l’octroi de remises, la distribution d’unités gratuites ou encore la participation à des appels d’offres lancés par des cliniques privées. Le ministère évoque également l’absence, dans certains établissements, de médicaments correctement vignettés au prix hôpital.
Ces pratiques, souligne la note, contreviennent à plusieurs dispositions du Code du médicament et de la pharmacie (loi n°17-04). L’article 72 impose en effet que les cliniques s’approvisionnent directement auprès des établissements pharmaceutiques industriels ou des grossistes-répartiteurs, et que les médicaments soient cédés au prix hôpital. L’article 73 interdit, pour sa part, toute distribution gratuite ou payante de médicaments en dehors des locaux des cliniques concernées.
L’écrit rappelle également les exigences de la loi n°31-08 relative à la protection du consommateur, qui impose une information claire et transparente sur les prix, notamment par vignettage. Les médicaments administrés dans les cliniques doivent donc obligatoirement porter la vignette «prix hôpital».
Le ministère rappelle que toute vente aux cliniques doit se faire exclusivement au prix hôpital, sans remise ni gratuité, et que les établissements pharmaceutiques sont tenus de garantir la disponibilité de médicaments correctement vignettés.
Appuyé par l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS), le ministère prévient qu’il se réserve le droit de constater toute infraction et d’engager les poursuites nécessaires... - Lire cet article
La mesure antidumping appliquée aux importations d’insuline danoise a pris fin. Le ministère de l’Industrie et du Commerce a clos l’enquête de réexamen après le retrait de la requête de Sothema, à l’origine de la procédure un an plus tôt.
Depuis le mercredi 1er octobre 2025, la mesure antidumping qui s’appliquait depuis 2023 aux importations en provenance du Danemark est arrivée à son terme, sans reconduction. Le Ministère de l’Industrie et du Commerce a annoncé la clôture de l’enquête de réexamen, à la suite d’une décision actée le 24 septembre par la Commission de Surveillance des Importations (CoSI).
Ce dénouement s’explique par le retrait de la requête introduite par la société Sothema, à l’origine même du processus de réexamen. En application de l’article 28 de la loi n° 15-09 relative aux mesures de défense commerciale, un tel retrait entraîne automatiquement la clôture de l’enquête et l’absence de toute prorogation de la mesure.
Dès lors, les importations d’insuline originaires du Danemark entrent désormais au Maroc sans droit antidumping supplémentaire. Une évolution qui concerne directement un médicament vital pour des milliers de patients diabétiques, tout en touchant un secteur pharmaceutique où l’équilibre entre protection de la production locale et accès à la concurrence internationale reste particulièrement sensible.
Cette issue marque un contraste frappant avec la situation d’il y a un an. Le 21 octobre 2024, le ministère ouvrait une enquête de réexamen (avis public n° DDC/10/2024) sur la base d’une requête jugée recevable déposée par Sothema, seul fabricant d’insuline au Maroc et représentant de la branche de production nationale. L’entreprise affirmait alors que la fin de la mesure antidumping risquait d’entraîner une reprise des importations danoises en dumping à des niveaux élevés, avec un dommage sérieux pour la filière locale... - Lire cet article
Bayer confirme son ancrage au Maroc, plaçant le Royaume au cœur de sa stratégie régionale. Avec son usine de Casablanca, qui exporte vers 35 pays, et une nouvelle ligne de production en cours d’installation, la multinationale allemande entend renforcer le rôle du pays en tant que hub stratégique pour l’Afrique tout en consolidant son engagement en faveur de l’innovation, de l’accès aux soins et du développement des compétences médicales.
L’accès équitable aux médicaments reste un défi majeur dans plusieurs domaines thérapeutiques prioritaires. Quelles sont les actions concrètes que Bayer mène ou prévoit de mener pour améliorer cet accès au Maroc et dans la région MENA ?
L’accès aux traitements est au cœur de notre mission chez Bayer. Nous collaborons étroitement avec le ministère de la Santé et les professionnels concernés pour garantir que les patients marocains puissent bénéficier des thérapies dont ils ont besoin, en particulier dans des domaines prioritaires tels que l’oncologie, la santé cardiovasculaire et la santé des femmes.
En 2024, nous avons lancé une campagne ciblée sur le cancer de la prostate, avec pour objectif de réduire les inégalités d’accès aux soins. Dans le domaine du diabète, nous facilitons l’accès aux traitements innovants contre l’œdème maculaire diabétique, une complication qui touche plus de 130.000 patients au Maroc. Nous travaillons également avec les autorités pour accélérer les procédures de remboursement, afin que les patients puissent bénéficier plus rapidement des thérapies recommandées.
Par ailleurs, notre entrepôt local nous permet d’assurer une distribution fiable et continue des médicaments. Nous poursuivons nos efforts pour rendre les traitements innovants plus accessibles et abordables, tant au Maroc que dans l’ensemble de la région MENA... - Lire cet article
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