Le 7 avril à Genève, la FIIM a fait une déclaration lors de la 13e reprise de la réunion de l'INB visant à adopter un instrument de l'OMS pour la prévention, la préparation et l'intervention en cas de pandémie.
L'industrie biopharmaceutique joue un rôle essentiel dans la préparation et la réponse aux pandémies, en stimulant l'innovation nécessaire au développement de produits pharmaceutiques et d'autres produits essentiels pour les futures crises sanitaires.
Pour améliorer la préparation et la réponse aux pandémies, il est essentiel de se concentrer sur le maintien de la recherche scientifique sur les agents pathogènes à potentiel pandémique tout en garantissant un accès équitable aux vaccins et aux traitements en cas d'urgence pandémique. Cet objectif ne peut être atteint que grâce à un système de propriété intellectuelle solide qui doit être protégé.
Comme indiqué dans la déclaration de Berlin et dans les déclarations sur l'accès équitable, l'industrie s'est engagée à élargir l'accès à ses produits pendant les urgences pandémiques par le biais de diverses stratégies, notamment les dons, la tarification échelonnée basée sur l'équité, l'octroi volontaire de licences et les transferts volontaires de technologie à des conditions convenues d'un commun accord. L'importance des termes "volontaire" et "selon des conditions convenues d'un commun accord" pour le transfert de technologie est primordiale, car ils facilitent le partage des technologies et de l'expertise d'une manière qui respecte les intérêts et les accords de toutes les parties concernées.
Des situations et des pays différents peuvent nécessiter des interventions diverses à différents stades d'une situation d'urgence pandémique. Il est donc essentiel de mettre en place un système flexible qui permette à un large éventail d'entreprises d'utiliser efficacement leurs compétences et leur expertise... - Lire cet article
04 AVRIL 2025, Londres - Cette semaine, la Biopharmaceutical CEO Roundtable (BCR), qui représente les principales entreprises biopharmaceutiques du monde, a rencontré le Premier ministre britannique, des ministres britanniques de haut rang et des hauts fonctionnaires pour discuter du renforcement des politiques de santé mondiales et du maintien des cadres politiques mondiaux qui stimulent l'innovation pharmaceutique et transforment les progrès scientifiques en médicaments et en vaccins.
Cette réunion a été l'occasion de discuter de l'importance de créer un environnement propice à la réalisation de l'ambition commune énoncée dans la vision du gouvernement britannique en matière de sciences de la vie.
À la suite de la réunion avec le gouvernement britannique, des discussions ont également eu lieu avec le premier ministre de la Barbade, Mme Mia Mottley MP, sur les priorités mondiales en matière de santé.
Les discussions ont également porté sur l'importance d'un environnement de propriété intellectuelle efficace et de systèmes réglementaires solides et appropriés pour stimuler l'innovation, ainsi que sur la collaboration avec les parties prenantes dans l'ensemble de l'écosystème des soins de santé pour garantir que les médicaments et les vaccins parviennent aux patients... - Lire cet article
Les maladies fongiques sont une préoccupation croissante en matière de santé publique, les infections courantes - telles que le candida, qui provoque le muguet buccal et vaginal - devenant de plus en plus résistantes aux traitements. Ces infections touchent de manière disproportionnée les patients gravement malades et ceux dont le système immunitaire est affaibli, notamment les personnes sous chimiothérapie anticancéreuse, les personnes séropositives et les personnes ayant subi une transplantation d'organe.
« Les infections fongiques invasives menacent la vie des plus vulnérables, mais les pays ne disposent pas des traitements nécessaires pour sauver des vies », a déclaré le Dr Yukiko Nakatani, Sous-Directeur général de l'OMS par intérim pour la résistance aux antimicrobiens. « Non seulement le pipeline de nouveaux médicaments et diagnostics antifongiques est insuffisant, mais il existe un vide dans le dépistage des champignons dans les pays à revenu faible et intermédiaire, même dans les hôpitaux de district. Cette lacune diagnostique signifie que la cause de la souffrance des gens reste inconnue, ce qui rend difficile de leur fournir les bons traitements. » ... - Lire cet article
La branche "médicament" de Pierre Fabre a une nouvelle directrice générale : Marie-Andrée Gamache vient d'être nommée à la tête de Pierre Fabre Medical Care, qui a réalisé en 2024 un chiffre d'affaires de 1,3 milliard d'euros, soit plus du tiers des revenus (3,1 milliards) du groupe pharmaceutique et dermo-cosmétique fondé à Castres.
D'origine canadienne, cette professionnelle de l'industrie pharmaceutique compte vingt-cinq années d'expérience en Europe, en Amérique du Nord, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique. Elle était précédemment P.-D.G. du groupe Novartis pour le Royaume-Uni et l'Irlande... - Lire cet article
Un médicament déjà autorisé contre une maladie rare du métabolisme rend le sang humain toxique pour les moustiques responsables du paludisme, ressort-il d'une étude publiée mercredi dans la revue spécialisée "Science Translational Medicine". La substance active appelée nitisinone inhibe une enzyme dont les moustiques ont besoin pour digérer le sang
Le sang humain contenant la substance active a rapidement tué les moustiques du paludisme, aussi bien adultes que jeunes, selon l'étude menée par des chercheurs britanniques, suisses et états-uniens. Il s'est également révélé efficace contre les moustiques résistants aux insecticides. Le test a été effectué sur le moustique Anopheles gambiae, le principal vecteur de la malaria dans les pays africains... - Lire cet article
GENÈVE et NEW YORK--(BUSINESS WIRE)-- À la veille d’une étape importante des Nations unies, l’industrie pharmaceutique mondiale a lancé un « appel à l’action » pour inciter à une action collective dans le monde entier afin de lutter contre l’augmentation des maladies non transmissibles (MNT) telles que le cancer, le diabète, les maladies cardiovasculaires, les maladies pulmonaires, la santé mentale et les troubles neurologiques... - Lire cet article
Pour donner suite aux recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la Commission des stupéfiants de l’Organisation des Nations Unies a décidé de placer cinq nouvelles substances psychoactives et un médicament sous contrôle international.
Les recommandations ont été élaborées par le Comité OMS d’experts de la pharmacodépendance, composé d’experts mondiaux qui analysent les risques et les avantages pour la santé des substances psychoactives circulant sur les marchés mondiaux et alertent pour qu’elles soient placées sous contrôle international s’il est prouvé que leur utilisation peut nuire à la santé de la population dans les pays.
« Ces substances ont été portées à l’attention de l’OMS parce qu’elles sont fabriquées clandestinement et présentent un risque grave pour la santé publique et la société puisqu’aucun usage thérapeutique ne leur a été reconnu », a déclaré le Dr Deus Mubangizi, Directeur du Département Politiques et normes pour les produits de santé de l’OMS. « Nous sommes heureux que la Commission (des stupéfiants) ait accepté l’ensemble des recommandations de l’OMS et ajouté ces substances aux tableaux pertinents des Conventions de 1961 ou de 1971. Nous espérons que les pays et les communautés redoubleront de vigilance et prendront les mesures nécessaires pour protéger les groupes vulnérables, en particulier les jeunes, de ces substances.
Les quatre substances inscrites au tableau I de la Convention unique de 1961 sur les stupéfiants, telle que modifiée par le Protocole de 1972, sont les suivantes : ... - Lire cet article
Un pionnier de la nanomédecine et de la recherche sur l'administration de médicaments évoque son illustre carrière.
Ijeoma Uchegbu est célèbre dans le domaine d’évolution rapide de la nanotechnologie pharmaceutique, en ouvrant la voie à l'administration de médicaments puissants au cerveau par voie nasale.
Elle est professeur de nanosciences pharmaceutiques à l'University College London et présidente du Wolfson College de l'Université de Cambridge. Elle a été nommée dame dans les honneurs du Nouvel An 2025 pour sa contribution aux sciences chimiques, à la diversité et à l'inclusion.
Elle est directrice scientifique de Nanomerics, une société de nanotechnologie pharmaceutique spécialisée dans les solutions d'administration de médicaments. Ses travaux sur l'administration de médicaments à base de nanoparticules, notamment par voie nasale, ont ouvert de nouvelles possibilités de traitements plus efficaces pour toute une série de maladies... - Lire cet article
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé aujourd’hui les recommandations relatives à la composition virale des vaccins antigrippaux pour la saison grippale 2025-2026 dans l’hémisphère Nord (en anglais). L’annonce a été faite lors d’une séance d’information tenue à l’issue d’une réunion de quatre jours sur la composition des vaccins antigrippaux, réunion qui a lieu deux fois par an.
L’OMS organise ces consultations avec un groupe consultatif d’expertes et d’experts provenant de ses centres collaborateurs et de ses laboratoires essentiels de réglementation pour analyser les données de surveillance des virus grippaux générées par le Système mondial OMS de surveillance de la grippe et de riposte (GISRS). Les organismes nationaux de réglementation des vaccins et les sociétés pharmaceutiques utilisent les recommandations pour mettre au point, produire et homologuer les vaccins antigrippaux pour la saison grippale suivante.
L’actualisation périodique des virus contenus dans les vaccins antigrippaux est nécessaire pour que les vaccins soient efficaces, car les virus grippaux évoluent constamment, y compris ceux qui circulent et infectent les êtres humains.
L’OMS recommande que les vaccins trivalents destinés à être utilisés pendant la saison grippale 2025-2026 dans l’hémisphère Nord contiennent les virus suivants : ... - Lire cet article
On 17 February 2025, IFPMA delivered a statement at the INB 13.
L'industrie biopharmaceutique joue un rôle crucial dans la préparation et la réponse à la pandémie, en stimulant l'innovation nécessaire pour créer des produits pharmaceutiques et d'autres produits pertinents pour les futures crises sanitaires.
Pour renforcer la préparation et la réponse aux pandémies, il faut se concentrer clairement sur la manière de poursuivre la recherche scientifique sur les agents pathogènes à potentiel pandémique, tout en améliorant l'accès équitable aux vaccins et aux traitements en cas d'urgence pandémique. Cela n'est possible que grâce à un système de propriété intellectuelle solide, qui doit être préservé.
L'industrie pharmaceutique s'est engagée à élargir l'accès à ses produits en cas de pandémie par divers moyens, notamment les dons, la tarification échelonnée sur la base d'actions, l'octroi volontaire de licences et les transferts volontaires de technologie à des conditions convenues d'un commun accord.
Chaque agent pathogène à potentiel pandémique est unique, tout comme la réponse de chaque entreprise. Des situations et des pays différents peuvent nécessiter des interventions diverses à différents stades d'une situation d'urgence pandémique. Il est donc essentiel de mettre en place un système suffisamment souple pour permettre à un large éventail d'entreprises de tirer parti de leurs compétences et de leur expertise.
Pour renforcer l'accès équitable, nous appelons les États membres à se concentrer sur des mesures avant et pendant une pandémie afin de soutenir les systèmes de santé, de renforcer les mécanismes de surveillance, d'améliorer les procédures réglementaires, d'élaborer des prévisions précises et de veiller à ce que les entreprises reçoivent les commandes nécessaires pour guider l'augmentation de la production. En surmontant ces obstacles, les États membres peuvent contribuer à faire en sorte que les innovations qui sauvent des vies parviennent à ceux qui en ont besoin. Ce système de préparation et de réaction doit fonctionner efficacement aux niveaux mondial, régional et national.
Nous restons déterminés à partager notre expérience et à apporter notre expertise pour soutenir les efforts de santé mondiaux et améliorer la préparation et la réponse aux pandémies. - Lire cet article
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