C’est une offensive pour lutter efficacement contre une troisième vague de la pandémie du coronavirus.
Ce n’est pas encore le cas, mais le pays berceau de nos ancêtres (Cameroun) craint une troisième vague du Covid19. C’est donc pour prévenir cela que la République fédérale d’Allemagne et l’Union européenne viennent d’offrir un important don d’équipements de protection du personnel de santé, mais aussi de prise en charge des cas sévères de la maladie... - Lire cet article
Ce 19 octobre à Yaoundé, le ministre de la Santé publique (Minsanté), Manaouda Malachie, a réceptionné du matériel médical de lutte contre la pandémie du coronavirus alors que le pays connaît une flambée de nouveaux cas que les autorités sanitaires apparentent à la troisième vague. Un « appui de solidarité », tel qu’indiqué par le ministère de la Santé publique composé d’une part de « 924 000 masques chirurgicaux d’une valeur de plus de 165 millions FCFA » remis par l’Allemagne.
D’autre part, le ministre Manaouda Malachie a reçu de l’Union européenne « 50 concentrateurs d’oxygène, 50 000 masques chirurgicaux, 03 ventilateurs avec accessoires, 03 moniteurs avec accessoires, 3 040 lunettes de protection, 3 120 visières pour l’Union européenne. Ces matériels sont destinés aux régions du Centre, de l’Ouest et de l’Est » auxquels il faut ajouter « 40 laryngoscopes adultes, 45 laryngoscopes pédiatriques, 03 défibrillateurs semi-automatiques », informe le Minsanté. Valeur de cet appui : « plus de 179 millions de FCFA », relaie la même source... - Lire cet article
Lors de la 21e édition du forum pharmaceutique international ouvert à Abidjan, l’Union africaine a déploré, jeudi, l’insignifiance du nombre de doses de vaccin mises à la disposition de l’Afrique dans le cadre de la lutte contre la covid-19.
C’est par la voix de l’envoyé de l’Union africaine pour l’Agence africaine du médicament, Michel Sidibé que l’organisation continentale l’a fait savoir. «Cette pandémie nous interpelle quotidiennement sur l’absence d’équité, d’égalité, de partage. On est devant une situation qui est intenable. D’un côté, nous avons une partie du monde qui a les vaccins, d’un autre côté, nous avons ceux qui sont laissés complètement pour compte. Sur les 7,5 milliards de doses qui ont été mis à la disposition du monde, notre continent n’a reçu que 2% de ces doses», a-t-il déploré... - Lire cet article
Au cours du point de presse donné le mardi 12 octobre 2021 à l’occasion de la Journée africaine de la lutte contre le faux médicament, le Dr. MANAOUDA Malachie a présenté l’ampleur du phénomène et ses répercussions sur la santé des populations avant d’inviter ces dernières à s’investir activement dans la croisade contre les médicaments illicites.
A travers une formule de mise en situation, le Ministre de la Santé Publique souligne d’entrée de jeu que le fléau des faux médicaments est l’un des défis majeurs de notre génération, car ils contribuent à l’explosion des cas des maladies mal soignées en raison, précise-t-il : _« de l’utilisation des médicaments sous dosés, sans principe actif ou contenant de faux principes actifs »._ Il va par la suite s’attarder sur les multiples visages que revêtent la contrefaçon et le trafic des produits pharmaceutiques au Cameroun. Indiquant qu’il s’agit des médicaments distribués en gros ou au détail par des personnes (physiques ou morales) non habilitées, vendus dans la rue, importées de manière frauduleuse. Des médicaments fabriqués dans des unités de production non autorisées, reconditionnés avec de fausses étiquettes, recyclés, mais aussi des médicaments dont les dates de péremption sont falsifiées… cette énumération des caractéristiques des faux médicaments fait corps avec la définition déclinée dès l’entame de son propos, désignant les faux médicaments comme des _« médicaments de qualité inférieure et falsifiés »,_ tels qu’adopté par l’OMS le 29 mai 2017, lors de la 72eme Assemblée mondiale de la santé... - Lire cet article
Le Cameroun, comme nombre de pays africains, éprouve d’énormes difficultés pour lutter contre la floraison des médicaments illicites. Et pour cause, « l’inspection générale des services pharmaceutiques et laboratoires ne dispose que de cinq inspecteurs pour tout le Cameroun », regrette le directeur de la pharmacie, du médicament et des laboratoires du ministère de la Santé publique (Minsanté), Salihou Sadou.
Difficile donc pour ces derniers, fait-il observer dans un entretien au quotidien gouvernemental Cameroon tribune le 7 octobre 2021, d’assurer le contrôle de « 52 établissements de distribution, 8 fabricants et près de 99 structures des dispositifs médicaux et autant d’agences de promotion des médicaments » que compte le pays... - Lire cet article
« Monsieur Kazanji Mirdad directeur de Recherche est à compter de la date de signature du présent décret, nommé au poste de Directeur Général du Centre Pasteur du Cameroun », c’est un décret de Paul Biya signé ce jeudi 07 octobre 2021 qui donne cette information.
Le docteur Mirdad Kazanji, directeur de l’Institut Pasteur du Cameroun est lauréat du Prix JANSEN de l’Académie Nationale de Médecine et Chevalier dans l’Ordre National du Mérite. Depuis le 1er septembre 2014, il était le directeur de l’Institut Pasteur de la Guyane... - Lire cet article
L’Association des industries du médicament et le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, ont examiné les difficultés des opérateurs locaux de l’industrie du médicament générique essentiel au cours de la rencontre entre ce dernier le Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam), le 1er octobre 2021 à Douala.
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Le chèque a été remis le 1er octobre dernier par l’ambassadeur de Chine au Cameroun au ministre délégué aux Relations extérieures.
La République populaire de Chine aide Le Cameroun à renforcer ses moyens de lutte contre le covid-19. Elle vient d’offrir 166 millions de FCFA à notre pays le 1er octobre 2021. Le chèque a été remis par l’ambassadeur de Chine au Cameroun Wang Yi Wu, au ministre délégué au ministre des Relations extérieures, chargé de la coopération avec le Commonwealth, Felix Mbayu... - Lire cet article
Des experts venus de 21 pays d'Afrique se sont retrouvés à Yaoundé du 27 au 29 septembre pour tabler sur la problématique du commerce illicite de médicaments. Un commerce qui prend des proportions inquiétantes et qui se déroule parfois, comme à Douala, en toute impunité. Pourtant le médicament de rue constitue un réel problème de santé.
Sous un ciel particulièrement ensoleillé en cette fin de mois de septembre, le marché central de Douala baigne dans une atmosphère des jours ordinaires. Entre son concert sonore assourdissant et les étals à même la chaussée, difficile pour l’usager de se frayer un chemin. Ce marché, l’un des plus grands de la ville, est aussi réputé être le lieu par excellence d’un commerce particulier: les produits pharmaceutiques... - Lire cet article
Selon le Dr Ngono Mballa Rose, expert en pharmacologie, le trafic des faux médicaments rapporte 25 fois plus que les trafics standards. L’on comprend alors l’intérêt et l’opportunité de l’atelier régional organisé par AfrIpi (« Droits de Propriété Intellectuelle et Innovation en Afrique »), en partenariat avec l’Organisation de la propriété intellectuelle (Oapi), sur la problématique des médicaments de qualité inférieure, contrefaisants et falsifiés en Afrique. Les travaux qui ont démarré ce 27 septembre et qui s’achèvent le 29 septembre prochain, verront la participation des experts des 17 pays membres de l’Oapi, ainsi que les spécialistes des ministères de la Santé, des Services de Police, de la Douane, des universitaires... - Lire cet article
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