Il sera chargé de poursuivre le développement de solutions de santé, de renforcer les partenariats stratégiques et de contribuer à la transformation du système de santé marocain.
Il succède au Dr Sanaa Sayagh, nommée récemment à un poste de direction chez Roche en Indonésie.
Avec plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique, le Dr El Mekaoui possède une expertise en stratégie commerciale, ventes, marketing et affaires médicales, acquise dans des régions comme l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et l’Europe centrale et orientale.
Médecin de formation, il est également titulaire d’un Master en Gestion Biopharmaceutique de l’École Supérieure de Commerce de Paris (ESCP-EAP).
Au sein de Roche Maroc, il a occupé des postes comme Directeur des Ventes et du Marketing ainsi que Directeur des Opérations Commerciales... - Lire cet article
Le Ministère de la Santé a annoncé une révision à la baisse des prix de plusieurs médicaments essentiels, une décision qui s’inscrit dans le cadre d’une politique visant à rendre les traitements médicaux plus accessibles pour les citoyens. Cette baisse des prix concerne principalement des médicaments utilisés pour traiter des pathologies chroniques, des traitements onéreux en oncologie et des produits injectables, qui ont un impact direct sur la qualité de vie des patients.
Les prix de vente de certains médicaments ont été ajustés à la baisse, avec des réductions allant de quelques dirhams à plusieurs centaines de dirhams par boîte. Parmi les médicaments concernés, on retrouve des produits utilisés dans le traitement des maladies cardiovasculaires, du diabète, ainsi que des traitements pour les maladies auto-immunes. Par exemple, des médicaments comme le Durogesic et l’Enbrel, utilisés pour la gestion de la douleur chronique et des maladies inflammatoires, voient leurs prix diminuer de manière substantielle, ce qui permet de réduire les coûts pour les patients et les systèmes de santé... - Lire cet article
Le gouvernement s'apprête à réduire les prix de 190 médicaments, notamment ceux destinés aux maladies chroniques. Cette décision s’inscrit dans une démarche continue de révision périodique des prix des médicaments, qui a déjà permis de réduire les coûts de plus de 5.350 produits pharmaceutiques, selon les données publiées au Bulletin Officiel depuis 2021. Récemment, 169 autres médicaments, principalement liés aux pathologies chroniques, ont également vu leurs prix diminuer.
Lors de la présentation du budget sectoriel devant les deux chambres du Parlement, Amine Tahraoui a indiqué que, malgré les réformes successives, dont celle de 2013 encadrant la fixation des prix des médicaments, les tarifs restent une source de débat et de controverse... - Lire cet article
La vente de médicaments en ligne a, récemment, explosé au Maroc, incitant les professionnels de la Santé à appeler à une action urgente pour protéger la santé publique. À ce sujet, le ministère de tutelle a rappelé qu'une circulaire du président du Ministère Public encourage les procureurs généraux à prendre des mesures judiciaires contre les réseaux illégaux de distribution sur Internet.
La vente de médicaments en ligne a récemment pris une ampleur inquiétante au Maroc, échappant à tout contrôle et se déroulant en dehors du cadre légal. Ce phénomène a provoqué une réaction alarmée parmi les professionnels de la Santé, lesquels constatent la prolifération de ces pratiques, exacerbées par les publicités des influenceurs en ligne. Ces derniers appellent à prendre des mesures urgentes afin de stopper ces activités et de garantir la protection de la santé publique... - Lire cet article
Pour faire face à la pénurie de médicaments, le ministre de la santé, Amine Tahraoui, a présenté un plan visant à renforcer la souveraineté pharmaceutique du Maroc. De nouvelles dispositions sont prévues pour booster la production locale et sécuriser les stocks.
Lors de son intervention ce lundi à la chambre des représentants, le ministre de la santé, Amine Tahraoui, a mis l’accent sur l'importance cruciale du renforcement du stock stratégique de médicaments pour assurer la souveraineté pharmaceutique du Maroc. Cette initiative s’inscrit dans un cadre plus large visant à garantir un approvisionnement continu et sécurisé du marché national en médicaments et produits de santé... - Lire cet article
Il y a cinq ans, la crise du Covid-19 rappelait au monde l’importance de la souveraineté sanitaire. Produire, voire créer et concevoir localement des médicaments, mais aussi des dispositifs médicaux pour pouvoir soigner sa population en toute indépendance est devenu un idéal à atteindre. En Afrique, des entreprises et des centres de recherche commencent à émerger. C’est particulièrement le cas au Maroc.
C’est dans la banlieue de Rabat que Moldiag a implanté son unité de production. Et pour y accéder, vous devez présenter vos identifiants. ” Nous ne sommes pas autorisés à revenir sans cela », explique le Docteur Abdeladim Moumen, fondateur et directeur scientifique de Moldiag. Des équipements de protection (blouses, casquettes, etc.) répondant à des normes strictes. Ici, la start-up fabrique des kits de diagnostic. ” C’est unique en Afrique. Nous sommes les premiers à maîtriser toutes les étapes, depuis le développement 100% marocain jusqu’à l’industrialisation et la commercialisation. », explique-t-il... - Lire cet article
De nouvelles mesures réglementaires ont été adoptées pour renforcer la gestion des médicaments, encadrer la publicité et assurer une meilleure traçabilité des produits pharmaceutiques. Ces réformes visent à mettre fin au désordre qui sévit dans la promotion et la vente de médicaments.
Le gouvernement vient d'adopter le projet de loi n° 61.24 portant approbation du décret-loi 2.24.728 du 27 septembre 2024 complétant la loi n° 17.04 relative au code du médicament et de la pharmacie.
Ces nouvelles dispositions visent à renforcer la transparence et l'efficacité dans le secteur pharmaceutique, tout en simplifiant les procédures administratives... - Lire cet article
Le Maroc a adopté un nouveau décret visant à réglementer la publicité des médicaments, en application des articles 42 et 44 de la loi n° 17.04 relative au Code des médicaments et de la pharmacie. Publié dans le numéro 7363 du Bulletin officiel, ce texte établit des conditions strictes pour la communication des laboratoires pharmaceutiques, tant à destination du grand public que des professionnels de santé.
En ce qui concerne la publicité destinée au grand public, elle est désormais soumise à une autorisation préalable délivrée par l’Agence marocaine des médicaments et des produits de santé. Cette autorisation, appelée "Visa de publicité", ne peut être accordée que si le médicament concerné n’a pas été retiré du marché ou si sa distribution n’a pas été suspendue. Les supports publicitaires doivent obligatoirement mentionner des informations précises, comme le nom du médicament, son numéro d’autorisation, et les consignes nécessaires à une utilisation correcte. Les messages doivent également inclure un avertissement, stipulant qu’il est nécessaire de consulter un médecin en cas de persistance des symptômes... - Lire cet article
Le groupe indien Biocon Biologics, leader mondial des médicaments biosimilaires, franchit une étape majeure au Maroc. Après un démarrage commercial, l’entreprise prévoit de construire un site de production à Casablanca, avec un investissement de plus de 100 millions de dirhams.
Biocon Biologics, géant indien des biosimilaires, s’apprête à renforcer sa présence au Maroc en y implantant une unité de production dédiée à des médicaments innovants. Ce projet, qui mobilisera une enveloppe de 100 millions de dirhams, s’inscrit dans la stratégie du groupe visant à élargir son empreinte industrielle et à répondre à la demande croissante en traitements contre le cancer et les maladies auto-immunes... - Lire cet article
En France, l'alerte de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) concernant huit traitements anti-rhume, désormais soumis à prescription médicale obligatoire, suscite des interrogations au-delà des frontières.
Si ces médicaments, contenant de la pseudoéphédrine, sont jugés dangereux en raison de leurs effets secondaires graves, qu’en est-il pour le Maroc, où certains de ces produits sont également commercialisés ?
Les autorités sanitaires françaises rendent obligatoires à partir de mercredi la présentation d'une ordonnance en pharmacie pour se voir délivrer huit célèbres traitements anti-rhume largement considérés comme dangereux.
"Au regard d'une part des très nombreuses contre-indications, précautions d'emploi et des effets indésirables connus de la pseudoéphédrine et d'autre part du caractère bénin du rhume", l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) considère que "la possibilité d'obtenir ces médicaments sans avis médical fait courir un risque trop important aux patients", selon une décision dévoilée mardi.
À ce jour, aucune alerte similaire n’a été émise par les autorités sanitaires marocaines. Les pharmacies continuent de vendre librement ces traitements, et aucune circulaire du ministère de la Santé n’a été diffusée pour interdire leur commercialisation. Les officines marocaines confirment d’ailleurs que ces médicaments restent régulièrement prescrits par les médecins... - Lire cet article
La responsabilité du Leem ne saurait être engagée au titre d'un site tiers auquel l'Utilisateur aurait accès via un lien hypertexte présent sur le Site. Le Leem ne dispose d'aucun moyen de contrôle du contenu de ces sites tiers. En tout état de cause, le Leem n'est pas responsable de l'indisponibilité des sites tiers, de leur contenu, publicité ou autres éléments disponibles sur ces sites tiers. Plus d'informations
Ce site utilise des Cookies collectant des données pour optimiser votre navigation. Plus d'informations.
Les Entreprises du médicament (LEEM) ont pour missions de représenter et défendre l'industrie du médicament, conduire la politique conventionnelle avec l'Etat, négocier avec les partenaires sociaux, promouvoir et défendre l'éthique.
LEEM, Direction des Affaires publiques
58 bd Gouvion Saint Cyr
75858 Paris CEDEX 17