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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Comment réduire le coût des médicaments pour les patients selon les experts - 05/06/2025 - Le360 - Maroc

Le système de tarification des médicaments au Maroc s’apprête à faire l’objet d’une révision en profondeur. Interrogés par Le360, Ali Lotfi, président du Réseau marocain pour la défense du droit à la santé et à la vie, ainsi que Tayeb Hamdi, médecin et expert en politiques de santé, proposent plusieurs pistes pour remédier à la cherté persistante des médicaments dans le Royaume. Éléments de réponse.

Une réforme en profondeur du système de tarification des médicaments est en préparation. C’est ce qu’a récemment annoncé le ministre de la Santé, Amine Tahraoui, devant la Chambre des représentants. Élaboré en concertation avec l’ensemble des parties prenantes, ce projet ambitieux vise à instaurer une tarification plus juste, équitable et transparente.

Cette déclaration ravive l’espoir d’une prise en charge enfin sérieuse — et surtout décisive — de la question structurelle de la cherté des médicaments au Maroc. Mais elle soulève également de nombreuses interrogations: jusqu’où ira cette réforme? Et surtout, sera-t-elle à la hauteur des attentes, tant des professionnels de santé que des citoyens?

«Il faut en finir avec la politique de raccommodage qui consiste à opérer des petites baisses insignifiantes des prix de certains médicaments dont la plupart sont, d’ailleurs, très peu consommés ou sont des génériques utilisés par les hôpitaux», lance d’emblée Ali Lotfi, président du Réseau marocain pour la défense du droit à la santé et du droit à la vie, interrogé par Le360... - Lire cet article


Nouvelle baisse des prix de médicaments au Maroc - 05/06/2025 - Le matin - Maroc

Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a approuvé une nouvelle baisse des prix de vente de plusieurs médicaments commercialisés dans les pharmacies. La liste comprend des traitements essentiels, en particulier ceux destinés à des maladies chroniques ou graves comme la maladie d’Alzheimer, les troubles endocriniens, ou encore les examens IRM nécessitant un produit de contraste.

Une nouvelle liste de médicaments princeps, génériques et biosimilaires commercialisés au Maroc, dont les prix ont été revus à la baisse, a été publiée au Bulletin officiel du 29 mai 2025. Cette liste a été révisée par le ministère de la Santé et de la protection sociale, suite à la demande des industriels pharmaceutiques.

Parmi les médicaments concernés, ALMANTIN, prescrit dans le traitement symptomatique de la maladie d’Alzheimer, voit ses prix légèrement réajustés. La boîte de 28 comprimés de 20 mg passe de 220 à 212 dirhams, tandis que celle de 56 comprimés est réduite d’un dirham, passant de 366 à 365 dirhams.

Dans le domaine des maladies cardiovasculaires, le médicament CONECTOR 10 mg, à base de rosuvastatine (une statine utilisée pour réduire le cholestérol), enregistre également une baisse. La boîte de 56 comprimés passe de 247 à 234 dirhams, et celle de 112 comprimés diminue de 448 à 426 dirhams... - Lire cet article


Économies sur ordonnance : attention au surdosage ! - 02/06/2025 - Pharmacie.ma - Maroc

Un document intitulé «Revue de la stratégie nationale de tarification des médicaments» circule abondamment sur les réseaux sociaux. Déjà fragilisés économiquement, les pharmaciens d'officine redoutent de nouvelles baisses de prix qui viendraient, une fois de plus, amputer des revenus déjà sous pression.

Souvenons-nous : en 2013, le décret n° 2-13-852 du 18 décembre 2013, relatif aux conditions et modalités de fixation du prix public de vente des médicaments fabriqués localement ou importés, promettait un triptyque gagnant : prix plus bas, consommation accrue de médicaments et équilibre financier des caisses. Six ans plus tard, la consommation n'a pas bougé ; il a fallu attendre la pandémie de Covid-19 et la généralisation de l'AMO pour voir la consommation de médicaments repartir à la hausse, ce qui inquiète aujourd'hui les gestionnaires des caisses.

Le rapport précité indique qu'il faut comprimer les dépenses, mais reconnaît cependant que les pharmacies marocaines, déjà fragiles, doivent être préservées. Le pays compte une pharmacie pour 2 800 habitants, bien en-deçà de la norme OMS (une pour 5 000). Par ailleurs, 63 % des médicaments les plus coûteux pour la CNSS ne rapportent qu'un forfait dérisoire aux pharmaciens. Dans ces conditions, chaque baisse de prix des tranches T1[1] et T2[2] s'accompagnera inéluctablement d'une diminution des revenus des pharmaciens d'officine.

En réalité, ce ne sont pas les baisses de prix des médicaments que les pharmaciens contestent ; c'est l'érosion inexorable de leur rémunération, faute d'honoraires pour les actes de dispensation, de prévention, de dépistage, de suivi des maladies chroniques ou pour le droit de substitution, etc. L'Europe l'a compris : la Belgique accorde une marge économique de 18,6 %, et le Royaume-Uni, de 4,7 %, mais compense par des honoraires de service. Résultat : les prix restent compétitifs et les pharmacies demeurent un pilier de santé publique... - Lire cet article


Prescription d’antibiotiques : des pratiques encore inadaptées dans neuf pays, dont le Maroc - 02/06/2025 - Hespress - Maroc

Une enquête récente menée auprès de médecins généralistes dans neuf pays à revenu faible ou intermédiaire – dont le Maroc – révèle les obstacles persistants à la prescription judicieuse des antibiotiques, en dépit de l’alerte croissante sur la menace mondiale que représente l’antibiorésistance.

Publiée dans la revue PLOS Global Public Health, cette étude met en évidence les pratiques cliniques en matière de prise en charge des infections des voies respiratoires supérieures, ainsi que le rôle des praticiens dans la propagation de la résistance antimicrobienne (RAM).

L’enquête, qui a analysé 1.008 réponses valides, montre que 62,1 % des médecins interrogés considèrent la résistance aux antibiotiques comme un problème majeur dans leur pays. Par ailleurs, 62,8 % estiment que la prescription d’antibiotiques en soins primaires contribue significativement à l’amplification de ce phénomène. Fait préoccupant : bien que 46,4 % reconnaissent l’étiologie virale de la majorité des infections des voies respiratoires supérieures, 40,7 % continuent à penser que les antibiotiques restent utiles pour leur traitement.

L’étude identifie plusieurs facteurs clés favorisant l’émergence et la dissémination de la résistance bactérienne : l’interruption prématurée des traitements par les patients, les prescriptions inadaptées, et le recours fréquent à l’automédication antibiotique. Ces pratiques, souvent ancrées dans le quotidien des soins de santé primaires, compromettent l’efficacité thérapeutique et accélèrent la sélection de souches résistantes.

En matière de formation continue, 94 % des médecins interrogés plaident pour la mise en place de programmes de formation spécialisés sur la prescription raisonnée des antibiotiques. Concernant l’usage des recommandations cliniques, seuls 45 % affirment les consulter régulièrement, tandis que 32 % le font de manière occasionnelle. Toutefois, plusieurs obstacles freinent leur application: l’obsolescence des référentiels disponibles, leur complexité, ainsi que l’absence de directives nationales adaptées aux réalités locales... - Lire cet article


Plaidoyer pour une politique pharmaceutique responsable. Une réforme vivement souhaitée pour une profession sous pression - 01/06/2025 - Libération - Maroc

Un communiqué du Secrétariat national du secteur des pharmaciens ittihadis vient de secouer le champ sanitaire marocain. Rarement un document professionnel aura cristallisé à ce point l’état de fatigue d’un secteur aussi vital, tout en proposant une feuille de route de réformes aussi claire que déterminée. Derrière la technicité des revendications transparaît une revendication fondamentale : redonner au pharmacien sa place légitime dans l’architecture de santé publique et au médicament son rôle de bien commun et non de simple marchandise.

Ce communiqué n’est pas une plainte, c’est une déclaration d’alerte lucide, portée par une profession qui refuse de sombrer dans l’insignifiance. Les pharmaciens ittihadis y exposent les dérives d’un système de régulation des prix des médicaments qu’ils jugent incohérent, opaque, et profondément déséquilibré.

L’analyse proposée est précise, documentée, sans effet de manche. Elle dénonce une marginalisation insidieuse du métier dans les grandes décisions de santé. Les signataires de ce communiqué observent, non sans amertume, que les orientations stratégiques prises par le gouvernement se font trop souvent sans concertation avec les acteurs du terrain. L’un des points les plus amers du document est cette exclusion flagrante des représentants de la profession pharmaceutique des discussions techniques. Une politique de l’ombre, opaque et unilatérale, qui compromet toute chance de réforme durable.

Le Secrétariat met également en lumière l’absurdité d’un système où le pharmacien reste accablé par des charges sociales mal calibrées, des obligations financières disproportionnées et une instabilité réglementaire permanente. Cette situation pèse lourdement sur les jeunes professionnels et affaiblit progressivement l’attractivité du métier.

A travers leur message, les Ittihadis réclament une réforme ambitieuse du cadre social, avec une répartition plus équitable des contributions, notamment dans les régimes de retraite et de sécurité sociale.

Dans une perspective plus large, les signataires du communiqué appellent à un débat sérieux, structuré et ouvert sur les compléments alimentaires, les plantes médicinales, et les produits de santé non conventionnels. Ces substances, largement consommées et promues sur les réseaux sociaux, échappent à toute régulation sérieuse, menaçant aussi bien la sécurité des patients que l’éthique professionnelle. Le Secrétariat réclame une mise à jour du cadre législatif, en particulier en ce qui concerne les dispositifs médicaux, les compléments et les produits de parapharmacie, afin d’harmoniser la pratique nationale avec les exigences de la loi 17-04... - Lire cet article


Propriété intellectuelle et accès aux médicaments : les exemptions ADPIC, une opportunité sous-exploitée - 30/05/2025 - Les Eco - Maroc

Alors que le Maroc tente de concilier protection des brevets et accès aux médicaments, des lois obsolètes et des contradictions institutionnelles sapent ses ambitions sanitaires.

Derrière les discours sur l’innovation, un système verrouillé préserve les intérêts des multinationales… au détriment des patients ! Un débat a été organisé récemment à ce sujet par la Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutiques (FMIIP), à l’occasion de la 6e édition des Pharma Day.

Il a porté sur l’équilibre entre protection des brevets pharmaceutiques et accès aux médicaments en Afrique, particulièrement au Maroc, révélant des tensions profondes entre impératifs économiques, sanitaires et juridiques.

Lors d’un panel, Dr Othoman Mellouk, responsable du programme de propriété intellectuelle et d’accès aux médicaments, et Mohamed El Saïd, professeur en commerce international et en droit de la propriété intellectuelle, ont exposé les défis posés par le système actuel de propriété intellectuelle (PI), tout en soulignant les opportunités et les pièges des réformes en cours. Analysons leurs arguments, les implications pour le Maroc et les pistes pour concilier innovation et santé publique.

Les flexibilités ADPIC : Un outil sous-utilisé

Dr Mellouk souligne que l’accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC), de l’OMC, tout en instaurant des brevets sur les médicaments, intègre des mécanismes de régulation pour en limiter les abus. Des «garde-fous» qui incluent des critères stricts de brevetabilité — nouveauté, inventivité et application industrielle — ainsi que des procédures d’opposition permettant à des tiers de contester la validité des brevets... - Lire cet article


Pharmacie : le Maroc couvre 75 % de ses besoins et approvisionne des marchés africains - 27/05/2025 - Hespress - Maroc

Le secteur des industries pharmaceutiques et médicamenteuses au Maroc a généré un chiffre d’affaires dépassant 23 milliards de dirhams en 2023, soit environ 5 % du produit intérieur brut industriel national. Désormais, cette filière stratégique assure plus de 75 % des besoins en médicaments du marché local, tout en orientant une part croissante de sa production vers l’exportation, notamment en direction du continent africain.

Le tissu industriel national se compose de 56 unités de production, employant près de 65.000 personnes, dont 12.000 en emplois directs, a indiqué Youssef Fadel, directeur général de l’Industrie au ministère de l’Industrie et du Commerce. Selon lui, la production pharmaceutique locale couvre 58 % de la demande nationale en valeur, tandis que 17 % de cette production est destinée à l’export.

Ces indicateurs illustrent le rôle structurant et stratégique du secteur dans la consolidation de la souveraineté sanitaire du Royaume et dans son rayonnement régional, a souligné Fadel. Ils traduisent également la dynamique de transformation du secteur, portée par une nouvelle génération de projets industriels à haute valeur ajoutée.

Parmi ces projets figure l’usine « Marbio », présenté comme un tournant majeur dans la production de vaccins au Maroc. Grâce à l’unité industrielle de Benslimane, le pays dispose désormais d’une plateforme technologique de dernière génération, capable de répondre aux besoins nationaux et africains, tout en renforçant son autonomie en matière de vaccins et de biomédicaments alternatifs. D’autres projets structurants sont en cours dans le domaine des biosimilaires, un segment stratégique qui permet l’accès à des traitements innovants à coût maîtrisé, notamment pour les pathologies chroniques.

De son côté, Samir Ahid, président de l’Agence Marocaine des Médicaments et Produits de Santé (AMMPS), a réaffirmé la montée en puissance de l’industrie pharmaceutique nationale. « Nos 56 sites industriels couvrent aujourd’hui plus de 75 % des besoins du système de santé marocain, tout en exportant vers de nombreux pays africains et au-delà », a-t-il précisé... - Lire cet article


Tahraoui annonce le lancement d’un processus de révision approfondie du système de tarification des médicaments - 26/05/2025 - Aujourd'hui le Maroc - Maroc

Le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Amine Tahraoui, a annoncé, lundi à Rabat lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le lancement d’un processus de révision approfondie du système de tarification des médicaments au Maroc.

En réponse à une question orale du Groupe Haraki portant sur la « Politique nationale des médicaments », le ministre a précisé que cette réforme vise à établir un équilibre entre le pouvoir d’achat des citoyens, encourager l’accès aux médicaments innovants et garantir la pérennité de la couverture sanitaire.

Un nouveau modèle de tarification des médicaments est en cours d’élaboration dans un cadre consultatif avec toutes les parties concernées, en vue d’adopter une tarification juste et transparente, assurant l’équité, basée sur des références internationales tout en tenant compte des spécificités nationales, a-t-il fait savoir.

La politique médicamenteuse constitue l’un des piliers fondamentaux de la réforme du système de santé national, sous le Leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a affirmé le ministre.

Et d’ajouter qu’elle repose sur plusieurs axes stratégiques, notamment la création de Agence Marocaine des Médicaments et des Produits de Santé (AMMPS), rappelant que cette agence est officiellement opérationnelle depuis la nomination de son directeur général par Sa Majesté le 18 octobre dernier, suivie de la tenue de son premier conseil d’administration... - Lire cet article


Autonomie pharmaceutique : l’OMS soutient l’ambition du Maroc - 13/05/2025 - InfoMédiaire - Maroc

La directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé pour la Méditerranée orientale, Dr Hanan Hassan Balkhy, a effectué du 5 au 7 mai 2025 sa première visite officielle au Maroc. Ce déplacement stratégique a permis de consolider les relations entre le Royaume et l’agence onusienne, autour de la couverture santé universelle, de la souveraineté pharmaceutique et du renforcement de la coopération régionale.

Reçue à Rabat par le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Amine Tahraoui, Dr Balkhy a salué les réformes en cours du système de santé marocain dans le cadre de la stratégie de coopération pays 2023-2027. Elle a exprimé le soutien de l’OMS à l’ambition du Maroc de renforcer son autonomie en matière de production de médicaments et vaccins.

Dans ce cadre, elle a rencontré Younes Hilali, directeur du laboratoire Maripou, spécialisé dans la fabrication de vaccins, et a visité le laboratoire national de contrôle des médicaments, ainsi que l’Agence marocaine des médicaments et des produits de santé, dirigée par Dr Samir Ahid. Elle a réaffirmé l’engagement de l’OMS à accompagner le Royaume dans la mise en œuvre de sa politique pharmaceutique nationale.

Au port Tanger Med, elle a mis en lumière le potentiel stratégique de la plateforme logistique pour améliorer l’accès régional aux médicaments et équipements médicaux, qualifiant l’unité nationale de surveillance sanitaire aux frontières de centre collaborateur de référence... - Lire cet article


Pharma et Supply Chain : une équation encore complexe - 09/05/2025 - Telquel - Maroc

La logistique dans le secteur pharmaceutique reste encadrée par des règles strictes, limitant certaines fonctions de la sous-traitance logistique. C’est notamment le cas du stockage. Younes Lamarti, directeur Pays d’AGL, nous explique cette spécificité logistique.

Le Maroc se distingue par une réglementation du médicament très encadrée : seuls les pharmaciens d’officine, les importateurs agréés, les laboratoires pharmaceutiques et les répartiteurs sont autorisés à stocker les produits pharmaceutiques. « En France, par exemple, les opérateurs logistiques peuvent obtenir le statut de stockeur et entreposer les produits pharmaceutiques. Cela permet d’optimiser les coûts logistiques et, à terme, de réduire les prix des médicaments. Bien entendu, ces stockeurs doivent respecter des normes strictes de sécurité et de qualité pour préserver l’intégrité du produit et protéger la santé du consommateur. Pour l’heure, notre intervention au Maroc se limite à la gestion des importations de produits pharmaceutiques », explique Younes Lamarti, directeur Pays d’AGL, l’opérateur logistique multimodal de référence en Afrique.

Une expertise internationale

AGL Maroc intervient principalement sur le segment international de la chaîne de valeur logistique, notamment pour l’importation d’intrants destinés à la fabrication locale de médicaments ainsi que de produits finis parapharmaceutiques. « Les produits pharmaceutiques finis nécessitent des conditions de température contrôlée, entre +15°C/+25°C ou +2°C/+8°C. Nous disposons d’un magasin sous douane, également à température dirigée, spécialement dédié à ces produits », souligne Younes Lamarti. Concernant les produits parapharmaceutiques, des installations similaires sont également mises en place. « Nous assurons même le dernier kilomètre, toujours sous température dirigée », précise-t-il... - Lire cet article




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